Les jouissances de ma femme Partie 1

Je me trouve propriétaire d’une masure dans la grande banlieue. Enfin c’est ce que je pense avant de l’avoir vu.
C’est un véritable château un XVIII°, remis en état, modernisé. Qu’en faire. Ma femme voudrait en faire un hôtel, pas moi, enfin en un sens.
Quelles pubs dans la presse locale suffisent pour attirer la clientèle que j’ai choisie. En personnel c’est économique puisque un seul couple disons dans la quarantaine suffit.
J’y vais en semaine le plus souvent. Ma clientèle féminine est bien là. Des célibataires ou voulant se faire passer pour telles, des couples de femmes. De rares hommes sont acceptés.
C’est extraordinaire le nombre de femmes qui viennent en l’absence de leur mari. Elles y passent presque tout l’après midi dans une chambre ou dans  un salon où elles se retrouvent entre deux isolement relatifs. J’ai installé un danse floor. Il est presque toujours occupé surtout par des amoureuses. Car oui, chez moi je reçois des femmes qui s’aiment ou qui le disent et le montre souvent en s’embrassant et se caressant devant les autres ou certains soirées dans une véritable décharnement sexuel. Mon épouse a voulu essayer les lieux. Voici donc son récit

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Je suis arrivée au château vers 15 heures. Je pensais être en avance. Plusieurs femmes seules étaient déjà aux salons. J’en remarquais au moins deux couples : le premier composé d’une grande blonde qui devait diriger l’autre, et le deuxième qui ressemblait à un couple normal sauf que la plus grande devait être la soumise. Je suis invité par une fille très charmante, sexy dirait mon époux.

Nous sommes sur la piste de danse, au son d’un slow.
Elle m’entraîne dans ses pas mieux qu’un homme.
Elle murmure des mots gentils à mon oreille.
Je sens ses lèvres sur mon cou.
Elle me serra contre elle, je sens une de ses jambes venir entre les miennes.
Elle commence à m’exciter sérieusement.
Et sa bouche s’approche de la mienne, elle ose sa bouche sur la mienne.
Je ne sais pourquoi je lui donne ma langue.
Elle m’invite à prendre une boisson. Je me méfie de l’alcool, elle non. Nous trinquons pour nous. La voilà qui me prend dans ses bras. Elle m’embrasse sérieusement. Je commence à mouiller.
Elle sait comment faire pour m’inviter encore pour une danse, mais cette fois nous finissons dans une chambre voisine Je m’étonne en sentant que je la voudrais. J’ai envie d’elle dans me bras, je voudrais quelle me caresse, qu’elle m’embrasse qu’elle me masturbe. Je e livre à elle, qu’elle fasse de moi ce qu’elle veut.
C’est un peu ce qu’elle fait en me déshabillant.
Je m’expose nue devant une inconnue, je ‘en ai pas honte, je voudrais la voir aussi nue, ce qui ne tarde pas, mon Dieu qu’elle est adorablement sexy.
Elle n’attend pas longtemps pur m’entraîner sur le lit à ses cotés. Elle m’embrasse sans cesses, je ouille sans arrêt. Enfin elle passe une main sur les seins. J’aime bien ça. Sa main passe sur le ventre. Je me laisse faire, j’espère qu’elle va vite aller sur ma chatte. J’ai soudain besoin des caresses d’une femme.Sa main passe entre mes jambes, vers le genou. Elle la remonte vers mon sexe, je mouille toujours et d’un sel coup je la sens dans la fente. Je remue pour mieux la sentir.

Je ne sais exactement ce qu’elle me fait, en tout cas ça me fait du bien. Je me donne en entier à cette inconnue. Elle se tourne maintenant, me donne son sexe sur la bouche et prend le mien. Sa langue me fait un bien fou. J’essaie de le lui rendre. Me voilà faisant l’amour avec une autre femme. Si j’avais su que ce soit si agréable je l’aurais fait depuis longtemps.
Ma langue se délecte de sa cyprine qui ressemble finalement à la mienne. Mais je la trouve bien meilleure. Comme je trouve doux la chair de son sexe. Je pousse la  curiosité (est-ce de la curiosité ?) jusqu’à avancer vers son anus. Je le trouve ce petit trou ridé et légèrement odorant. Là c’est ma volonté de la lécher et de forcer ma langue pour qu’elle aille à sa découverte. Il s’ouvre délicatement. Elle me laisse faire cette chose insensée d’avoir ma langue dans son cul. Si elle me laisse faire, elle par contre n’hésite pas à mettre deux doigts directement dans le mien. Je soupire longuement en jouissant. Elle répond par le soupir similaire, seuls les accents différent.

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Le récit de ma femme s’arrête d’un seul coup. Je comprends la suite, elle a bien jouit, a rendu la caresse avec sa lange ou ses doigts. Je doit deviner pendant qu’elle se donne à moi comme par pénitence, alors qu’elle jouit plus que les fois précédente.

fabrissa

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