Rencontre avec la voisine

Que pourrai-je vous dire que le début du début ? Ce fut une nuit, longue et seul, que mon aventure finis par commencer. La lune plongeait ses rayons de luminescence dans la pièce ou j’avais trouvé repos et bonne complaisance. Le tic tac de l’horloge et les clac clac des voisins qui dansaient sur un air joyeux m’empêchaient de trouver le sommeil.

La lumière de la pièce intime de ma voisine s’était allumée et je pus en me levant quelque peu voir son magnifique corps imberbe par la fenêtre qui ballait et qui laissait les mouches entrer. Des petits seins bien attachés à ce corps bien taillé s’offrent à ma vision un peu motivé par le fait de découvrir enfin l’entre cuisse de cette voisine sans pudeur. Une belle sensation dans mes couvertures commença à lever le drapeau du bonheur. J’avais envie d’appeler cette coquine qui s’exhibait devant mes yeux fixes, pour une partie de, ça va ça vient intense.

La belle nudité allait prendre une douche et laver son corps encore épuisé d’une journée de tennis. Elle possédait une grande demeure plutôt belle à voir, même si quelques réparations ici et là auraient fait le plus de bien. Bientôt mon mât majeur de mon entre cuisse demanda plus d’espace que mon caleçon en laissait. La jeune et belle femme finit enfin par se retirer dans cette cabine qui dégageait de la vapeur sans retenue. Je décidai aussitôt de me rhabiller et de descendre au salon pour un remontant digne des vieux soulons de taverne.

J’étais maintenant d’attaque pour rendre une visite surprise à madame la voisine d’à coté. J’attendis qu’elle ressorte de son cabinet et j’allai claquer à sa porte. Elle me répondit en tenu non règlementaire pour commencer une discussion. Elle portait qu’une simple robe de chambre et je ne crois pas que d’autres vêtements auraient pus avoir été mis vu la ponctualité de ma visite. Elle me demanda ce que je pouvais bien lui vouloir à cette heure.

Je lui blablatais un discours sur sa grande beauté et je m’attendis à recevoir un coup lorsque j’évoquais le fait de l’avoir observé nue de ma fenêtre. Au contraire de mes attentes, elle rougit et me demanda si ça m’avait plu. Je ne pus rétorquer par la négation vus ce qu’elle avait provoqué dans mon pantalon.

Un sourire se grava dans sa figure et elle me proposa d’aller au salon boire un verre de dégradant à cerveau. Après deux ou trois verres de ce liquide brun, nous étions passablement avancé dans nos relations intimes. Elle me demanda si je voulais lui montrer mon corps vu que j’avais déjà eu l’occasion de la voir nue.

Je commençais à faire mon striptease que je pus remarquer sa main descendre le long de sont corps pour atterrir dans son entre jambe qui était maintenant à découvert.

Je désirais la culbuter pour une partie de ca va sa vient, mais elle me priait de terminer mon long et interminable show de découverture.

Après quelques minutes, je fus enfin nu à ses beaux yeux bleu clair. La luminescence de cette pièce laissait mes muscles transparaitre encore plus imposant qu’en réalité.

Deux doigts avaient envahi sa chatte découverte. Elle se releva, retira ses doigts pour ne pas paraître impolie, et retira cette dernière couche de vêtement entre nos deux corps. Enfin prête pour moi!

Sa bouche vint se coller à la mienne, Nos langues se cherchèrent quelques instant pour se caresser follement. Nos mains parcouraient le corps de notre contraire, bientôt je la culbutai pour commencer des ça va ça vient dans sa chatte lubrifiée à souhait.

Nos ébats amoureux durèrent une heure peut-être même deux qui pourrait le savoir puisque nous restâmes collé durant tout le reste de cette fabuleuse nuit.

Le lendemain, Je pus avoir un moment pour la caresser car la fin de semaine était arrivée et le matin était plus tard dans la journée. Ses parents devaient être arrivé durant la nuit car ni elle ni moi les avaient entendus arriver. Quelle surprise se fut d’arriver nez à nez avec le père de ma complaisante amie ! Elle du donner des explications à son père, qui ne me porta aucun préjudice sur cette nuit endiablée.

Le reste de la journée se passant plutôt mal pour moi, je n’étais pas très bon au tennis et subit une défaite cuisante. La jolie petite voisine m’invita chez elle pour boire un verre et peut-être une autre partie de ça va ça vient les jambes en l’air. La dégustation de ce jus de fruit terminé, je m’empressai de parcourir de mes mains le corps de cette douce voisine.

Elle ne m’opposa aucune résistance, mais je n’eu pas le temps de remonter ma main jusqu´à sa porte du bonheur, que sa mère entra dans la chambre. Elle savait ce qui était en train d’arriver, et me demanda d’y aller doucement avec sa fille. Je fut très désorienté vus que c’était la première fois que la mère d’une de mes copines de ça va ça vient me donnait un conseil.

Ce fut tout en douceur, pour ne pas déplaire à sa mère, que je débutai cette première partie de mon sport favori. Ses jambes lisses et longues comme aucune, son mont rasé et doux comme la peau d’un bébé, elle se laissait aller au gré de mes caresses plus prêt de fois en fois de sa rosette et de sa fente mouillée d’un liquide chaud et de bon gout. Mes lèvres juchées à l’entrée de son désire, la langue qui pénétrait son idéal. Elle poussait de tout petit cri pour ne pas éveiller une fois de plus sa mère en jaquette.

Mes mains tenaient enfin ses petits seins tout durs pointant le plafond. Elle ronronnait comme si chaque caresse la portait dans le bonheur intense. Mon cunnilingus bien appliqué fut enfin récompensé par son dernier crie plus fort et plus intense accompagné de ses cuisses qui me serraient les oreilles encore plus intensément. Son corps reposait dans un état semi comateux.

Revenu enfin à elle, je du obéir à cette voisine qui me proposait une charmante pipe. Mon bâton d’amour avait depuis longtemps pris la position du légionnaire bien droit. La charmante voisine déposait baiser sur baiser sur cette longue tige qui me procurait bonheur. Elle le lécha puis pu enfin gouter la première goute de semence. Sa bouche goba entièrement mon pénis et elle commença une partie de ça va ça vient entre sa bouche et ma queue. Ce ne fut pas long avant que je ne puisse plus me retenir et que j’y déverse de façon émotif mon liquide chaud au fond de sa gorge. Elle n’en perdait pas une goute et me fit ma toilette avant de revenir à ma hauteur pour me faire gouter de sa bouche ce qu’elle avait bu avec intérêt marqué. Nous fîmes enfin une partie de ça va ça vient à la façon missionnaire, puis je rentrai chez moi pour aller prendre une douche.

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