Histoire érotique créature

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Nous roulons depuis plus de 9 dizaines : je commence à en avoir assez de conduire. Denise ma compagne rechigne à me remplacer, occupée qu’elle sera à dévétir ses jambes écartées aux routiers : elle aime dévétir ses fesses et le reste. La voilà au point d’avoir envie de se faire plaisir. Ce n’est pas la première fois qu’elle manifeste son goût pour les plaisir solitaires. Sa robe ouverte devant par de nombreuses boutons sera le cache idéal pour son corps. Elle ouvre les boutons du bas, laisse paraître sa sexy foune un peu velue. Sa main droite du genou viens vers l’intérieur. Elle se palpe la jambe lentement pour faire durer son attente. Dès qu’elle palpe les lèvres, elle sera libérée. Elle ouvre les lèvres au travers de deux doigts, viens lentement sur le bouton, insiste dans sa palpe jusqu’au moment suprême de l’orgasme. Cette première fois sera le début de son après midi. Elle ne se soucie pas de moi qui reste au travers de mes envies. Je dois attendre l’arrivée à l’étape surtout si malheureusement elle recommence. Elle a l’air de se moquer de moi. J’ai mes besoins également. Je souhaites moi également gémir comme elle. Des fois je prends mon sexe à pleine main sans pour autant me faire plaisir. Surtout au cours des arrêts pause pipi, je ne pourra aller me masturber dans les toilettes.

Je la plaquais devant le mur, prenais ses fesses dans ma bouche et glissais un doigt dans sa délicate foune, puis deux, et enfin un troisième. Elle haletait, je sentais ses tétons se dresser entre mes lèvres. Je me retirais d’un coup.  » ; ; Fais-moi un strip-tease. » ; ; lui demandais-je, froidement. » ; ; Je ne sais pas si elle était perturbée par mon ton ou par son excitation, mais elle se déshabilla sans attendre. Elle jeta son manteau dans l’entrée. De dos, elle remuait ses jambes tout en baissant son jean, jusqu’à l’enlever complètement, et dévoilait un petit sexe professionnel habillé d’une fine dentelle. Elle s’approcha et se mit à califourchon sur moi, me laissant accès à ses parfaites fesses. Je m’empressais de les exploser dans mes mains et je retirais son débardeur. Salope comme tout, elle ne portait pas de soutien-gorge. En caressant ses jambes je sentais le désir me gagner comme jamais… je la portais jusque dans la piaule, l’allongeais sur le lit. Alors que je retirais à mon tour mes vêtements, dévoilant une généreuse poitrine et mon sexe tout lisse, elle me désigna la porte de son placard.

J’y trouvais un gode et l’instrument qu’il me fallait, des menottes. J’accrochais cette délicate vicieuse aux barreaux de son lit, comme une vulgaire poupée, jambes et bras écartés. Je glissais ma tête sur son ventre jusqu’à atteindre son intimité et là, tenant ses cuisses pour mieux la dominer, je la léchais à n’en plus savoir. Ma langue allait et venait sans cesse, et sa respiration me parvenait saccadée. Je joignais quelques doigts, et je m’apprêtais à exploser ma revanche sur cette soumise. Je saisis le gode et le passais devant sa foune, l’imprégnant de mouille. Elle s’attendait certainement à ce que je la pénètre au travers de, pour lâcher son excitation et sa jouissance, enfin. Mais elle éclata dans ma bouche, à la surprise du jouet dans son petit trou, sans création. Ce n’était pas un coup d’essai mais toutes mes caresses l’avaient menée au bord de l’explosion, et cette pénétration soudaine avait eu raison d’elle. Je sentais son corps trembler sous mes derniers coups de langue. Ma fin à moi était proche elle également ; je m’asseyais sur son doux sexe, sans la détacher. Elle compris et malgré la fatigue elle me prodigua un court cunnilingus qui me fit à mon tour gémir comme jamais. Je l’embrassais langoureusement, goûtant ma passion, avant de la libérer.

Mais le froid extérieur me fit revenir à la réalité, j’étais là plantée devant elle et ne savais que faire. Elle avait un petit sexe tellement professionnel et un sourire tellement excitant que je lui aurais sauté dessus si ses yeux ne m’avaient pas appelée à l’aide. Le désir était devenu timidité, c’était foutu… enfin, pour l’instant !

Aurelien

Coquin amoureux de la plume et des belles photos, Erosto, m' est comme un petit boudoir coquin permettant de mettre par écrit les plaisirs sexuels, les histoires érotiques et les nombreux conseils coquins pour les couples, les hommes et les femmes qui aiment comme moi pimenter leur vie sexuelle et agrémenter les soirées torrides pour le seul plaisir du partenaire

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