SDF

Il faisait frais, le vent du Nord soufflait sans cesse depuis des semaines. Je me tenais dans ma pauvre couverture sous un porche un peu à l’abri.
En face de moi une porte s’ouvre : un très bel homme en sort. Lui n’a pas froid couvert comme il est. Mon seul soucis, en traversant la rue, est de me glisser chez lui. Qu’est ce qu’il peut me faire après : me flanquer dehors ?
Je suis presque entrée. Je sens des odeur d’intérieurs que j’ai oubliées depuis le temps que je ne vis plus ou à peine. Je ne peux même plus satisfaire mes besoins essentiels comme jouir, faire l’amour,  comme j’aimerais recommencer une seule fois. Je peux faire pipi ou caca en me cachant ! Tiens au point où j’en suis je suis capable de me prostituer pour un abri.
Oh, oui, une nuit à l’abri, ça doit être bien.
J’entre sous ce porche. La porte se fermait, elle s’ouvre brusquement. Il revient. Il va me mettre dehors.
Mon sourire sonne faux, il ne va même pas me regarder avant de me jeter là d’où je n’aurais jamais du partir.
Ce n’est pas lui, c’est une jeune femme, la sienne sans doute. Elle me prend en pitié, me pousse chez elle. Ce n’est pas un bol, mais la soupière qu’elle me sert. C’est bon, c’est chaud.
Elle ajoute un verre d’un vin que je ne peux définir.
Quand lui revient il me toise, elle le calme. Je me lève pour partir quand elle me retient encore.
Elle me guide vers une chambre. Je vais passer une bonne nuit au chaud. Mais je ne suis pas encore tranquille, elle m’oblige à passer dans une salle
de bain que dessert cette chambre. Pour être sure que je me décrasse, elle m’y suit.
Je suis obligée de me mettre nue devant elle qui inspecte mon corps : elle cherche quoi, des poux ? Elle rempli la baignoire, me fait m’y allonger. Elle ramasse les hardes que je porte, les entasse pour les jeter.
C’est chaud, c’est agréable, j’ai envie en étant nue de ma caresser. Je ne vais pas le faire comme ça devant elle.
Pas moyen de m’en débarrasser, elle vient me laver le dos. Elle a raison je n’y arrive pas seule. En plus lui vient voir pourquoi sa femme ne le rejoint pas. Il se rince l’œil.
Elle fait plus que me laver le dos, elle descend sa main sur ma taille, sur mes pauvres fesses.
Elle me fait lever alors que j’étais si bien dans l’eau. Ça main reste sur mes fesses, elles les caresse doucement, c’est agréable, même si je sens le regard de son type.
Elle doit être un peu vicieuse, ou alors c’est dans la mode du moment, elle passe sa main dans la raie. Et lui qui regarde toujours. Je sens bien la main venir visiter mon entre jambes. Elle va s’arrêter oui. Ben, non elle continue, elle arrive vers le minou. Je sens ses doigts s’introduire dans mon intimité. C’est bien la première fois qu’un autre femme me fait ça, en plus devant son mari. La caresse inespérée, inhabituelle. J’ai ouvert les cuisses, prise par un brusque désir.
Je ne demandais rien, je suis caressée, bien caressée, dans le seul but, il me semble de me donner un orgasme. Il y a si longtemps que je n’ai pas joui. Je me laisse faire en ouvrant presque trop mes jambes. Et lui qui inspecte ce que me fait sa femme.
Elle arrête tout pour que je m’essuie, que je revienne dans la chambre. Je suis gênée, je ne vais pas me coucher ainsi. La femmes vient contre moi, elle ouvre les drap, m’y plonge. En me couvrant elle insiste :
– Si vous voulez vous masturber ne vous gênez pas, faites le. En cas de besoin soit mon mari soit moi seront là.
Je ne sais pourquoi je la retiens quand  elle part. Elle ouvre les draps à nouveau, elle passe ses mains chaudes sur mon corps. Je mouille. J’ai envie. D’elle peut être, de jouir oui, même s’il la faut seule. Elle commence une longue caresse qui passe par mes seins, mon ventre, ma fourrure, la fente puis  plonge vers ma chatte toujours humide.
Elle fait venir son mari qui à son tour me caresse, plus brusquement, mais que c’est bon. Je me laisse aller quand sa main à elle passe sur mon sexe, puis plus bas pour se diriger vers mon petit trou.
Elle me caresse là, lui prend ma bouche sur la sienne.
Je suis leur esclave consentante. Sa langue vient dans ma bouche , sa main à elle est sur mon anus.
Ils s’entendent bien pour mon plaisir.
Je vois quand même qu’il lui passe une main sur ses fesses. Il lui fait ce qu’elle me fait quand elle entre deux doigts dans le cul. C’est bien la première fois qu’une fille me fait ce genre de familiarité. Pourtant je pars dans un grand orgasme.
Il la met nue devant moi, il est aussi vite nu. Je vois une bite pour la première fois depuis longtemps.
Elle se penche sur moi, m’embrasse sur la bouche pendant que lui m’embrasse bien plus bas. Je sens leurs  deux langues s’agitaient en moi. Ils me donnent deux plaisirs totalement différent mais complémentaires.
Elle prend sa queue dans une main, elle la guide vers moi, vers mon sexe où il ne traîne pas pour me la mettre, aidée par son épouse. Je suis entièrement prise par ce plaisir inouïe de la baise que j’ignore depuis trop de temps.
Je ne sais comment elle s’arrange, elle arrive à passer pars dessous lui une main qui veut fouiller l’autre trou. J’ai une double pénétration involontaire. Qu’est ce que c’est bon de baiser ainsi à trois avec une femme totalement poussée à ses extrémités.

Ils me laissent enfin passer la nuit presque tranquillement, sauf qu’elle revient se coucher près de moi, m’embrasse, me caresse à peine pour se couler contre moi.
Depuis plus d’un mois nous vivons un véritable roman érotique. Quand le matin il part travailler, je la remplace en le suçant, en lui avalant son jus. Nous poursuivons nos plaisirs avec elle. Je ne savais pas comment baiser une autre fille, je le sais maintenant, c’est meilleur qu’avec une vrai bite.
J’aime les voir ensemble, elle sur lui, les sexes dans la bouche de l’autre, moi qui me touche. Ou en fin de semaine quand il me baise ou m’encule, qu’elle l’aide pour me lécher le sexe ou le cul.
Ils m’ont appris une foules de chose pour baiser de mieux en mieux.
Je suis bien mieux chez eux en baisant que dehors à me geler. Ça dure puis trois mis, j’espère rester avec eux, je commence à la aimer l’un et l’autre.

fabrissa

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