Trop excité

Apolline m’attrapa par la ceinture et me tira vers un grand placard, en fait une petite pièce garde-manger contiguë à la cuisine. Après avoir tiré la porte, elle se mit à genoux devant moi et ouvrit ma braguette.
— Mmmm alors, voyons voir ça.

Je sentis sa main chaude passer ma braguette, pénétrer dans mon slip et se poser sur mon sexe. Il me fallut un effort surhumain pour ne pas me laisser aller dans cette main si douce. Elle extirpa avec grand ménagement, mon sexe, au comble de l’excitation, de mon pantalon. Je savais que, dans l’état où j’étais, l’éjaculation n’était pas loin. Déjà, de mon gland, perlaient des gouttes de sperme.

— Vas-y doucement Apolline, je vais pas tenir.

Son regard et son sourire prirent cet air de malice annonciateur de bien des plaisirs.
— Oui je vois ça, mon petit Roland. Mais ne t’inquiète pas, je m’en charge. Par contre, il faudra me rembourser plus tard. Surtout que ça va me faire un supplément de dessert, c’est mauvais pour ma ligne ça.

Avec un regard franchement lubrique, elle emboucha directement mon sexe brûlant. Je tressaillis sous le contact humide et chaud de sa bouche, mais réussis à ne pas jouir. Apolline ne me laissa pas de répit, elle se mit à faire aller et venir de façon énergique mon sexe dans sa bouche. Elle s’acharnait sur mon sexe avec une gourmandise frisant la boulimie. Une vague de plaisir fantastique ne tarda pas à me submerger, me forçant à étouffer un cri de jouissance. Pour mon plus grand plaisir, alors que j’éjaculai, Apolline continua à me sucer, prolongeant divinement mon orgasme. J’étais véritablement au septième ciel et ma belle continua à engloutir mon sexe avec gloutonnerie jusqu’à ce que je débande, après avoir éjaculé encore et encore. Pendant que, vaincu par le plaisir, je m’assis par terre, ma femme se releva en essuyant sa bouche du revers de la main. Elle souriait toujours, presque avec un air moqueur.

— Eh bien, mon petit cochon, on ne croirait pas qu’on s’est envoyé en l’air hier soir. Bon, je te laisse le temps de te remettre, je vais rejoindre les filles.

Avant de quitter la pièce, elle se pencha pour m’embrasser tendrement.

APOLLINE cougasy

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *