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Nous roulons depuis plus de 5 heures : je commence à en avoir assez de conduire. Jocelyne ma compagne rechigne à me remplacer, occupée qu’elle sera à dévétir ses jambes écartées aux routiers : elle aime dévétir ses courbes et le reste. La voilà au point d’avoir envie de se faire plaisir. Ce n’est pas la première fois qu’elle manifeste son goût pour les plaisir solitaires. Sa robe ouverte envers par de nombreuses boutons sera le cache idéal pour son corps. Elle ouvre les boutons du bas, laisse paraître sa ravissante minou un peu velue. Sa main droite du genou viens vers l’intérieur. Elle se pétri la jambe lentement pour faire durer son attente. Dès qu’elle pétri les lèvres, elle sera libérée. Elle ouvre les lèvres au travers de deux doigts, viens lentement sur le bouton, insiste dans sa pétri jusqu’au instant suprême de l’orgasme. Cette première fois sera le début de son après midi. Elle ne se soucie pas de moi qui reste au travers de mes envies. Je dois attendre l’arrivée à l’étape surtout si quelques fois elle recommence. Elle a l’air de se moquer de moi. J’ai mes attentes aussi. Je désires moi aussi jouir comme elle. Des fois je prends mon derche à pleine main sans pour autant me faire plaisir. Surtout au cours des arrêts pause pipi, je ne peux aller me masturber dans les toilettes.

Hier ce n’était toujours la surtout chose. Cette fois j’avais choisi un itinéraire moins contraignant. Cette fois, elle recommençait ses souhaits. Je ne l’empêchais pas, au contraire puisque ça lui séduit. J’aime la apercevoir quand elle a un orgasme sans moi. Je trouve en logement d’après midi la rareté : un hôtel d’un bon niveau. Elle veut jouir, je vais la faire jouir jusqu’à demain matin ; A notre arrivée elle sera toujours à moitié nue. Elle accompagne vie la suite quand elle tient sa rober fermée planquée envers son corps nue. Elle se cache à peine en passant la réception. Par envers dès le couloir de la garconniére atteint, elle se laisse aller à son maximum dévétir. Pas possible, elle a du être naturiste dans une vie antérieure. Elle se jette sur le lit, la robe au sol. Je la vois entièrement nue, offerte à mes caresses. Sa minou sera humide, elle me veut. A mon tour de me mettre dans la surtout tenue. Il me tarde de la serrer nue envers moi, de l’embrasser de la toucher de la faire jouir. Et de jouir moi aussi. Je ferme à moitié les volets pour faire venir une pénombre favorable à nos étreintes. Ses courbes se soulèvent pendant sa respiration. Les pointes m’attirent. Je suis enfin vers elle, mes lèvres sur les siennes, comme pour notre première fois. C’était si bon pour elle d’abord, pour moi ensuite. Ma main pétri ses courbes, je fais ressortir ses tétons, mes lèvres les sucent longtemps pour la faire ressortir. Ma langue les lèche comme pour les téter.

Sophie, qui était lesbienne jusqu’au bout de son clitoris, ne fut pas trop affectée par cette séparation car dans son métier les occasions de captiver les garces étaient longues et elle ne se privait pas de les exploiter, ramenant chez elle des garces conquises pendant le vol ou lors d’un cocktail ou d’un dîner ! Il faut dire qu’elle était physiquement très reluisante qu’elle avait un corps reluisante, d’une sensualité à fleur de clito et était dotée d’un regard bleu pâle pailleté d’or capable de faire fondre tous les icebergs de la banquise ! De plus elle avait des doigts et des lèvres magiques qui savaient mettre en torche les corps de ses conquêtes qui sortaient de ses bras hagardes, le regard noyé, la minou en béance, follement amoureuses de leur homme et ne rêvant que d’une chose : Recommencer ! Sans savoir que Sophie qui avait déjà fait la ferveur au travers de une autre la nuit précédente allait faire plaisir celle-là en plongeant son gros orteils et de nombreuses autres jusqu’au plus profond possible de sa minou, à moins qu’elle ne se serve de l’un de ses godes à vibreur intense qui les faisaient se tordre de plaisir dans des draps embaumés par les parfums divers et intimes des autres garces qui y avaient joui avant celle là !

En remerciement mon amie tint parole et je passais une nuit au paradis en la voyant faire la ferveur au travers de sa soeur au travers de laquelle elle accoupla leurs deux vulves ruisselantes et leurs deux clitoris, tant et si logement que après avoir joui au travers de sa soeur, cette dernière se désaccoupla d’ au travers de elle pour venir chevaucher mon derche dressé vers le plafond que je branlais en les voyant se gouïner ! Durant que, allongé sur le dos et sur le bon lit, je baisais sa soeur, mon amie vint s’asseoir sur mon derche pour m’offrir sa cramouille devenue marécage et son clito bandé comme une pine de garçonnet !

Inanna

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