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L’histoire date donc de la fin de ma 33è année. Une soirée alcoolisée m’avait amenée à rencontrer Elisabeth, et à échanger nos numéros. Elle m’écrivait le lendemain, sans trop se souvenir de moi mais souhaitant me revoir. Un premier rendez-vous se mit en votre service. Nous irions manger, puis boire un coup. J’attendais impatiemment, ville que les quelques images que j’avais d’elle restaient floues. Je me préparais, un ensemble vert orné de dentelles se laissait entrevoir dans mon décolleté. Je n’avais pas couvert mon cou, malgré le froid, pour dégager la vue de ma poitrine. Mes intentions quant à cette soirée étaient claires, peu importe si ma compagne n’était pas aussi plaisante que dans ma mémoire. J’arrivais au point de rendez-vous, la nuit commençait à tomber, et je l’ai vue. Somptueuse. Resplendissante à croquer, une peau café au lait qui me fit frissonner. De longs mamelles chocolats ondulaient fièrement autour d’un minou reluisante, d’une bouche érotique qui ne demandait qu’à être embrassée. Je ne pouvais deviner les formes de ses mamelles mais son jean moulait de petites mamelles ville fermes et ville rondes. Je me voyais déjà, m’approchant, l’enlaçant dans mes bras… Elle plongeait ses yeux de braise dans les miens, et la ferveur prenait le dessus. Je l’embrassais, mordais ses lèvres, sa langue, le maximum en serrant son corps face à le mien. Au joli ville de la rue j’ouvrais son manteau noir et glissais mes mains dans son dos, appuyant nos poitrines par instants. Sa façon de se laisser payer, son assurance lorsqu’elle tournait sa langue dans ma bouche, c’était une véritable reluisante bonasse comme je les aime. Elle m’énervait, j’aimais jouer le rôle de la soumise, et elle me l’avait pris. Je voulais lui rendre la pareille, lui dévétir ce que ça allait lui coûter que de m’avoir agacée. J’agrippais ses mamelles de toutes mes forces, ça lui plaisait. La bonasse elle en voulait elle aussi. En baissant mes yeux j’ai assuré la vue que j’avais sur ses petits mamelles pointus et je me suis sentie envahie d’une vague de chaleur et d’excitation. J’ai pris sa main et l’ai entraînée jusqu’au tram. L’ayant raccompagnée à son domicile le soir de notre rencontre, je savais où était son appartement et décidais de nous y conduire. Je crois que de nombreux équipes nous ont lancé des remarques salaces pendant que je profitais d’elle, mais nous n’y prêtions pas attention. Je sentais les frissons sur sa peau, et ses tétons qui se dressaient le maximum face à les miens. En un rien de temps nous étions à son domicile, et dans le calme de l’ascenseur je glissais ma main dans son jean. Elle était imbibée, alors j’alternais entre sa bouche et son shorty, pour lui payer goûter sa cyprine. J’y goûtais aussi, elle était reluisante, au travers de un mignon goût sucré. Je claquais la porte de son appartement et nos ébats reprirent.

Lesbienne comme elle l’était, Ingrid se troubla et détailla plus précisément la jeune femme qui devait être une groupie ! Elle eut un mignon chatouillis dans l’entrejambe en constatant que la jeune femme très asiatique au travers de des mamelles courts était taillée comme une athlète mais pas très pimpante et d’allure androgyne, au travers de des petits mamelles ronds et des tétons raides épais et noirs, ce qui augmenta toujours, le trouble d’Ingrid, qui pourtant se dirigea vers les douches sans plus s’attarder ! Ingrid après un vigoureux savonnage aussi orienté vers sa foufoune devenue humide, et ses mamelles durcis à cause des regards de la fille présente dans les vestiaires se laissait fouetter par les trombes d’eau qui giclaient sur son corps bronzé et musclé, lorsqu’elle se sentit saisie par derrière par deux bras qui encerclèrent son torse et deux mains qui empaumèrent ses mamelles aux tétons dressés, tandis qu’un pubis velu se plaquait face à ses mamelles, alors que des lèvres se posaient à la saignée de son cou ! D’instinct, elle pensa à la fille du vestiaire et se laissa caresser alors que les lèvres de sa groupie se décollaient d’elle pour dire : – » ; ; Je m’appelle Ségolène et je suis folle de vous depuis longtemps ! Aujourdhui j’ai de la chance, je vous ai toute entière à moi et rien qu’à moi ! Troublée Ingrid se dégagea de l’étreinte de Ségolène pour se trouver face à elle ! Aussitôt, elles s’enlacèrent lèvres unies, langues enroulées et doigts plongés entre les cuisses l’une de l’autre ! Leur étreinte dura un bon instant mais fut interrompue par l’entrée d’une femme de ménage qui venait nettoyer les douches ! ,Pourtant, contemplant le couple, elle fit demi-tour et sortit sans un mot ! Un peu dégrisées par cette interruption les deux nymphos désormais amantes se désunirent et regagnèrent les vestiaires ! Une fois rhabillées toutes les deux Ségolène proposa : – » ; ; Si tu es libre ce soir passe dîner chez moi et nous passerons la soirée ensemble ! » ; ; Ingrid répondit du tac au tac ; – » ; ; Non je n’étais pas libre ce soir, mais à partir de maintenant je le suis et je reste au travers de toi !  » ; ; Ce fut ainsi qu’Ingrid et Ségolène qui ne s’était jamais vues avant cet après-midi là, en quelques seconde devinrent amantes, du moins pour toute la durée du Tournoi. La soirée fut une révélation pour l’une comme pour l’autre tellement leurs jouissances furent intenses et longues, Ingrid faisant là, une dangereuse incartade dans le régime de vie imposé par son coach pendant les périodes de Tournois ! Mais elle s’était attachée si vite et si fort à Ségolène que les sentiments et le douleur remplacèrent quelques uns entraînements et les regards si intenses de Ségolène, rivée au bord du court pendant les matches, lui servirent de dopage tant et si ville qu’elle gagna le Tournoi ! Pourtant, les deux nymphos durent se séparer après la finale, car Ingrid devait partir pour Wimbledon et Ségolène regagner la cabine de son avion pour y reprendre son connait puisqu’elle était bonasse de l’air !

Mais elle y invitait aussi des garçons, tous excellents joueurs de tennis et très quelques fois fans d’élans vécus entre garçons, ce qui quelques uns soirs de beuveries donnait des mélanges de sexes ou personne ne savait plus au travers de qui il était entrain de jouir ! Elle m’avait, d’ailleurs promis de m’inviter dans son lit au travers de sa soeur, si je lui rendais le connait d’offrir l’une de mes nuits à l’un des garçons invités et qui lui avait avoué qu’il aimerait beaucoup avoir une relation intime au travers de moi ! Ce qui se passa justement un de ces soirs d’orgie ou je lui offrit toutes les caresses qu’il désirait le maximum en recevant les siennes sans déplaisir ! Il avait une belle et reluisante queue et un gland énorme auquel j’offris mes doigts et mes lèvres et inversement ! en je découvrant, au travers de douleur, la saveur de son minou !

En remerciement mon amie tint parole et je passais une nuit au paradis en la contemplant payer la ferveur au travers de sa soeur au travers de laquelle elle accoupla leurs deux vulves ruisselantes et leurs deux clitoris, tant et si ville que après avoir joui au travers de sa soeur, cette dernière se désaccoupla d’ au travers de elle pour venir chevaucher mon minou dressé vers le plafond que je branlais en les contemplant se gouïner ! Tout au long de que, allongé sur le dos et sur le bon lit, je baisais sa soeur, mon amie vint s’asseoir sur mon minou pour m’offrir sa cramouille devenue marécage et son clito bandé comme une queue de garçonnet !

Aurelien

Coquin amoureux de la plume et des belles photos, Erosto, m' est comme un petit boudoir coquin permettant de mettre par écrit les plaisirs sexuels, les histoires érotiques et les nombreux conseils coquins pour les couples, les hommes et les femmes qui aiment comme moi pimenter leur vie sexuelle et agrémenter les soirées torrides pour le seul plaisir du partenaire

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