Histoire coquine bimbo

trio lesbienne recit porno
L’histoire date donc de la fin de ma 77è année. Une soirée alcoolisée m’avait amenée à rencontrer Agilberte, et à échanger nos numéros. Elle m’écrivait le lendemain, sans trop se souvenir de moi mais souhaitant me revoir. Un premier rendez-vous se mit en service. Nous irions manger, puis boire un coup. J’attendais impatiemment, logement que les quelques images que j’avais d’elle restaient floues. Je me préparais, un ensemble vert orné de dentelles se laissait entrevoir dans mon décolleté. Je n’avais pas couvert mon cou, malgré le froid, pour dégager la vue de ma poitrine. Mes intentions quant à cette soirée étaient claires, peu importe si ma compagne n’était pas surtout ravissante que dans ma mémoire. J’arrivais au point de rendez-vous, la nuit commençait à tomber, et je l’ai vue. Bandante. Gracieuse à croquer, une peau café au lait qui me fit frissonner. De longs loches chocolats ondulaient fièrement autour d’un anus gigantesque, d’une bouche hot qui ne demandait qu’à être embrassée. Je ne pouvais deviner les formes de ses loches mais son jean moulait de petites loches logement fermes et logement rondes. Je me voyais déjà, m’approchant, l’enlaçant dans mes bras… Elle plongeait ses yeux de braise dans les miens, et la passion prenait le dessus. Je l’embrassais, mordais ses lèvres, sa langue, son maximum en serrant son corps envers le mien. Au beau logement de la rue j’ouvrais son manteau noir et glissais mes mains dans son dos, appuyant nos poitrines par instants. Sa façon de se laisser faire, son assurance lorsqu’elle tournait sa langue dans ma bouche, c’était une vraie gigantesque coquine comme je les aime. Elle m’énervait, j’aimais jouer le rôle de la soumise, et elle me l’avait pris. Je voulais lui rendre la pareille, lui dévétir ce que ça allait lui coûter que de m’avoir agacée. J’agrippais ses loches de toutes mes forces, ça lui plaisait. La coquine elle en voulait elle surtout. En baissant mes yeux j’ai assuré la vue que j’avais sur ses petits loches pointus et je me suis sentie envahie d’une vague de chaleur et d’excitation. J’ai pris sa main et l’ai entraînée jusqu’au tram. L’ayant raccompagnée à son domicile le soir de notre rencontre, je savais où était son appartement et décidais de nous y conduire. Je crois que plusieurs voisins nous ont lancé des remarques salaces pendant que je profitais d’elle, mais nous n’y prêtions pas attention. Je sentais les frissons sur sa peau, et ses tétons qui se dressaient son maximum envers les miens. En un rien de temps nous étions à son domicile, et dans le calme de l’ascenseur je glissais ma main dans son jean. Elle était aspergée, alors j’alternais entre sa bouche et son shorty, pour lui faire goûter sa cyprine. J’y goûtais surtout, elle était gigantesque, en prenant en compte un petit goût sucré. Je claquais la porte de son appartement et nos ébats reprirent.

Je la plaquais envers le mur, prenais ses loches dans ma bouche et glissais un doigt dans sa gigantesque fente, puis deux, et enfin un troisième. Elle haletait, je sentais ses tétons se dresser entre mes lèvres. Je me retirais d’un coup.  » ; ; Fais-moi un strip-tease. » ; ; lui demandais-je, froidement. » ; ; Je ne sais pas si elle était perturbée par mon ton ou par son excitation, mais elle se déshabilla sans attendre. Elle jeta son manteau dans l’entrée. De dos, elle remuait ses jambes son maximum en baissant son jean, jusqu’à l’enlever complètement, et dévoilait un petit anus agent habillé d’une fine dentelle. Elle s’approcha et se mit à califourchon sur moi, me laissant accès à ses exaltantes loches. Je m’empressais de les prendre dans mes mains et je retirais son débardeur. Hôtesse comme son maximum, elle ne portait pas de soutien-gorge. En caressant ses jambes je sentais le désir me gagner comme jamais… je la portais jusque dans la piaule, l’allongeais sur le lit. Alors que je retirais à mon tour mes vêtements, dévoilant une généreuse poitrine et mon anus son maximum lisse, elle me désigna la porte de son placard.

J’y trouvais un gode et l’instrument qu’il me fallait, des menottes. J’accrochais cette gigantesque vicieuse aux barreaux de son lit, comme une vulgaire poupée, jambes et bras écartés. Je glissais ma tête sur son ventre jusqu’à atteindre son intimité et là, tenant ses cuisses pour toujours la dominer, je la léchais à n’en plus pouvoir. Ma langue allait et venait régulièrement, et sa respiration me parvenait saccadée. Je joignais quelques doigts, et je m’apprêtais à prendre ma revanche sur cette soumise. Je saisis le gode et le passais envers sa fente, l’imprégnant de mouille. Elle s’attendait certainement à ce que je la pénètre en prenant en compte, pour lâcher son excitation et sa jouissance, enfin. Mais elle éclata dans ma bouche, à la surprise du jouet dans son petit trou, sans préparation. Ce n’était pas un coup d’essai mais toutes mes caresses l’avaient menée au bord de l’explosion, et cette pénétration soudaine avait eu raison d’elle. Je sentais son corps trembler sous mes derniers coups de langue. Ma fin à moi était proche elle surtout ; je m’asseyais sur son doux anus, sans la détacher. Elle compris et malgré la fatigue elle me prodigua un court cunnilingus qui me fit à mon tour gémir comme jamais. Je l’embrassais langoureusement, goûtant ma passion, avant de la libérer.

Ingrid la championne qui n’avait pas oublié les dizaines passées dans les bras de Valérie qui ce jour là s’était surpassée dans la compétence de ses élans et caresses, eut l’idée parce qu’elle en avait envie, de faire venir Valérie aux États Unis à un moment où elle se consacrait à son entraînement ! Valérie folle de plaisir, ayant pris un congé spécial dans son travail d’hôtesse rejoignit la divine championne dans la superbe maison qu’elle possédait en Californie et les deux pétasses y vécurent une lune de miel que ni l’une ni l’autre n’oublieraient jamais !

Aurelien

Coquin amoureux de la plume et des belles photos, Erosto, m' est comme un petit boudoir coquin permettant de mettre par écrit les plaisirs sexuels, les histoires érotiques et les nombreux conseils coquins pour les couples, les hommes et les femmes qui aiment comme moi pimenter leur vie sexuelle et agrémenter les soirées torrides pour le seul plaisir du partenaire

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *