Finalement, l’idée de mon mec n’était pas si mauvaise que ça. Au lieu de faire comme tout le monde en portant un déguisement classique, je me le ferais peindre carrément sur le corps. Ça n’est pas la pudeur qui m’étouffe et, au contraire, ça m’excitait plutôt de savoir que je serais à poil, ce soir devant tout le monde, même si on ne s’en rendrait pas forcement compte immédiatement.
Gabriel, le peintre qui m’avait été indiqué, m’ouvrit. Il était jeune et bien mignon, ma foi. J’étais troublé en me mettant à poil devant lui. Je m’allongeai sur la table que Gabriel m’indiquait. Après m’avoir peint le dos et les jambes, il me fit les ouvrir pour me peindre l’intérieur des cuisses, les fesses et… entre les fesses !
Quand le pinceau arriva là où c’est le plus doux et le plus sensible, ma queue se coinçait, très dure, entre moi et la table sur laquelle j’étais allongé. Les poils du pinceau glissèrent sur la fente de mes fesses et Gabriel me la caressa doucement.
Pour lui manifester mon plaisir, je me cambrais au maximum en creusant les reins. Il s’amusa à balayer la raie de mes fesses de long en large en s’attardant bien entendu sur ma rondelle qu’il chatouillait avec un malin plaisir.
De mon côté, je faisais bouger mon anus, comme pour lui dire que j’en voulais davantage, le contractant puis le relâchant à répétition. Ce petit manège dura plusieurs minutes. En mon for intérieur, j’espérais bien que le clignotement de ma rondelle finisse par le rendre plus entreprenant. Et c’est enfin ce qui finit par se produire…
Il reposa ce pinceau et choisit le plus gros qu’il avait sous la main pour continuer la caresse de mon entre-fesses. Toujours très doux avec moi, je ne m’attendais pas à ce qu’il change aussi brutalement de comportement…
Comprenant que j’avais trop envie qu’on me pénètre le trou du cul, il introduisit le manche du pinceau dans mon cul et me branla doucement l’oignon jusqu’à ce qu’il m’entende gémir de plaisir.
– Tu as l’air d’apprécier le traitement… lâcha-t-il en râlant.
Mes gémissements furent ma seule réponse.
Son doigt remplaça le pinceau dans mon anus et le pénétra bien en profondeur. J’avais les jambes grandes ouvertes et je me masturbais la queue sans me la toucher, juste en la frottant contre la table, tandis que, maintenant, c’était deux de ses doigts qui s’enfonçaient dans mes fesses.
Gabriel m’indiqua de me relever et me demanda de le suivre jusqu’à la douche. L’eau coula sur mon torse, sur mon dos, descendit sur mon ventre et s’infiltra entre mes fesses. Après m’avoir retiré la peinture, Gabriel fit glisser la pomme de la douche sous mes couilles, près de mon anus, et excita tout ça en réglant le jet sur la puissance maximale. C’était terriblement bon, de plus en plus jouissif.
Je n’arrêtais plus de bander très dur, d’autant plus que Gabriel me léchait en même temps. Sa langue allait et venait lentement sur mon gland, puis rapidement au rythme de mes coups de reins qui cherchaient à faire pénétrer ma queue le plus loin possible dans sa bouche. Je le déshabillai, lui retirai ses vêtements trempés et, à genoux, à mon tour je l’entrepris. Je pris sa queue dans ma bouche en massant ses couilles durcies. Sa queue, épaisse comme j’en avais rarement vu, était un véritable régal. Je me bâfrais littéralement de cette si grosse verge que je n’arrivais pas, malheureusement, à engloutir jusqu’aux couilles.
Je résolus le problème en mangeant alternativement sa queue et ses burnes. Toutes douces et imberbes, je les aspirais en alternance l’une après l’autre, en les suçant comme de gros bonbons plein de foutre.
– Continue comme ça, tu es vraiment un expert ! me dit-il, haletant, pour m’encourager à continuer la succion de ses couilles.
Je pense lui avoir mâchonné les burnes pendant dix bonnes minutes mais je revenais souvent à son gros gland joufflu pour varier les plaisirs. J’adore sucer mais l’idée de me faire mettre m’obsédait de plus en plus l’esprit, je dois dire… Surtout que l’eau brûlante qui coulait sur nous, me chatouillait agréablement l’anus.
Je me remis debout et, une jambe posée sur le bord de la baignoire, j’enfilais dans mon cul son beau mandrin gonflé.
Gabriel allait et venait lentement en moi, ma rondelle se resserrait sur sa queue au fur et à mesure qu’il m’enculait plus fort. Je jouissais bien du cul, j’étais aux anges !!
– Ta queue est trop bonne ! m’entendis-je lui dire en gémissant.
– Tu aimes les manches épais, hein, ma salope ! me répondit-il, excité à mort.
Gabriel retira sa queue de mes fesses puis s’appuya contre le mur et, en me soulevant légèrement les hanches, il m’assit sur sa queue. D’un coup, celle-ci s’enfila de nouveau dans mon cul, bien ouvert cette fois, et buta au fond. Gabriel voulait m’empêcher de bouger, chaque mouvement acrobatique de mes reins l’excitait encore un peu plus et manquait à chaque fois de le faire jouir.