Un séjour original

J’avais à cette époque beaucoup de temps à perdre, menant une vie de dilettante complet, depuis quelques succès en affaire qui m’avaient permis de mener une existence de petit rentier. Je dois reconnaître que je suis assez paresseux de nature. Un ami, Frédéric, m’avait proposé de me prêter sa maison, sur la côte d’azur, pour y passer quelques jours de vacances. J’avais quelques préjugés sur cet endroit, que j’imaginais très surfait, mais j’acceptai pourtant. Je ne sais pas pourquoi, avant que je parte, mon ami me dit que je devais m’attendre à ne pas m’ennuyer. J’allais rapidement comprendre le sens de ces paroles mystérieuses.

J’arrivai, en voiture, le soir, très fatigué après avoir roulé toute la journée. J’avais mis du temps à trouver la villa. Je garai ma voiture. A la porte, une jeune femme d’un peu plus de vingt ans, en bikini, m’attendait. J’avais des lunettes de soleil et j’avoue en avoir profité pour la regarder. C’était une brune au visage long, bien faite, avec deux seins magnifiques.

– Bonjour ! Vous avez fait un bon voyage ?

– Assez, merci. Vous êtes… ?

– Je suis chargée de l’entretien de la maison. Je m’occupe des chambres et des invités. Je fais aussi le service. Mais vous devez être fatigué… entrez donc !

Elle fit quelque pas dans l’entrée, et, là encore, je pus admirer des fesses bien fermes. Il faisait assez chaud et, malgré l’épuisement, je commençais à ressentir une certaine excitation. Elle se retourna, me sourit, et me demanda si je voulais boire quelque chose. Je demandais un peu de porto. Elle me servit rapidement un verre.

– Il y a d’autres personnes à part vous, ici ?

– Eh bien il y a une femme qui loge ici, mais que vous verrez peu. Je crois qu’elle écrit ; en tout cas, elle passe toutes ses journées dans sa chambre et s’y fait livrer ses repas. Et puis il y a Sophie, la cuisinière.

– Et vous, quel est votre nom ?

– Moi ? Je m’appelle Marie.

Je la regardais. Elle disait tout cela en cambrant ostensiblement le buste, ce qui faisait jaillir sa poitrine. Alors que je me demandais si elle était en train de m’aguicher, je me fis la remarque que sa tenue n’était pas très habillée ; je le lui dis. Cela la fit rire. Elle m’expliqua que Frédéric lui avait dit qu’elle pouvait se vêtir comme elle le désirait. Mais il avait rajouté que lorsqu’il avait des invités et que sa tenue les gênait, elle devait en changer.

– Voulez-vous que j’en change ?

– Oh, pas du tout, ce maillot vous va très bien.

– Mais je comprends tout à fait que vous ne vouliez pas me voir ainsi ! Ce ne sera l’affaire que de cinq minutes ! Je vous présenterais ce que je peux mettre et vous me direz ce qui vous plaît !

Séduit à l’idée de voir ses habits – je fantasme beaucoup sur les vêtements féminins – j’acceptai de la suivre jusqu’à sa chambre, au dernier étage de la maison. Elle ouvrit une armoire. Il y avait une collection impressionnante de robes diverses, mais aussi des jupes et des chemises légères. Il y avait l’embarras du choix. Je croyais maintenant devoir choisir, mais elle n’avait pas fini sa présentation. Elle tira le tiroir d’une commode, à côté, où je vis plusieurs soutiens-gorge. Et, toujours innocemment, un autre dans lequel se trouvaient toutes ses culottes.

– Commençons par les culottes, voulez-vous ? Laquelle préférez-vous ?

Il y en avait un certain nombre. Je ne savais pas trop laquelle choisir. J’optai pour une simple dentelle blanche. Je la lui tendis. J’étais de plus en plus excité. Mais j’étais loin d’imaginer ce qu’elle allait faire : elle ôta devant moi le bas du bikini, dévoilant une chatte ravissante et s’apprêta à enfiler la culotte. C’était trop pour moi ; je fermais la porte de sa chambre et, avant qu’elle ait pu mettre la culotte de dentelle, glissais ma main sur ses cuisses.

– Mais… l’habillement ? Essaya-t-elle de protester.

– Plus tard ! Soufflais-je.

Mes mains se contentaient de glisser doucement sur ses cuisses. Elle s’allongea sur le lit, tandis que je continuais, m’approchant toujours de son endroit sensible. Puis, je suivis les bords du doigt, sans même effleurer les lèvres ; je passai le bout du majeur juste entre la cuisse et le début de sa chatte. Elle haletait sans rien dire. Comme je ne la touchais toujours pas, elle finit par me supplier d’y venir. Je lui demandai si elle mouillait. Elle hocha la tête. Je glissai rapidement mes doigts à l’intérieur de sa chatte, cherchant son clitoris tout en explorant bien chaque recoin de ce délicieux petit endroit. Puis, je sortis mon doigt et goûtai à sa mouille. Elle n’était pas mauvaise. Je lui aurais même volontiers léché le sexe si je n’avais pas eu, à l’égard de sa condition de servante, une sorte de volonté de domination.

Je lui ordonnais de me déshabiller. Elle s’exécuta rapidement, se mettant à genoux devant moi pour m’ôter complètement mon pantalon. Elle baissa mon caleçon et dut me soulever les pieds pour l’enlever complètement. Enfin, je lui dis d’ouvrir la bouche. Elle rougit un instant, mais s’exécuta. Bien évidemment, j’y rentrais mon sexe tout de suite après. Elle se mit à sucer tout en me branlant. Elle gémissait délicieusement, mais d’une manière encore trop… élégante à mon goût.

Je lui ordonnais donc de gémir comme un animal. Elle obéit tout de suite. J’étais trop excité pour me contenir plus longtemps : je lâchai tout dans sa bouche. Mon foutre débordait un peu, mais je lui ordonnai de bien se lécher les lèvres et de tout récupérer. Elle sourit, et me demanda si elle pouvait autre chose pour moi. Je lui dis qu’il fallait qu’on finisse de s’occuper de ses vêtements. Finalement, je lui dis de ne pas porter de culotte. Elle devait ensuite mettre une robe noire de serveuse de restaurant, avec un petit tablier élégant devant, qui mettait encore plus ses seins en valeur.

Elle me montra ma chambre. Je m’endormis rapidement.

Auteur: APOLLINE cougasy

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