Trio avec mon frère (deuxième partie)

Je me masturbai pour m’endormir et me réveiller tôt. J’ai fait le café et je m’assois en robe sur le perron.

J’entendis un bruit à l’intérieur et Daphné sorti avec sa tasse de café en robe de chambre et s’assit à côté de moi.

« Salut, » dit-elle.

« Salut, » répondis-je. Je la regardais, pris la tasse à côté de moi pour la siroter. « Sans regrets? »

« Non » Dit-elle après un moment. « Pas du tout ». Je lui tendis la main et, après une hésitation, elle la prit et la serra.

« Nous pourrions partir en randonnée aujourd’hui » dis-je. « Il y a une piste que je connais, plat, dans la forêt. »

« Juste toi et moi, d’accord? » dit-elle. Surprise, j’ai accepté.

La piste était à une douzaine de kilomètres dans les collines. Je garai la voiture dans un coin où elle serait à l’ombre la plupart de la journée. Je lui montrai le chemin et lui dit qu’il appartenait au même ami de ma mère et qu’il était privatisé.

Daphné pris le sac à dos la première et nous partîmes. Après une courte montée brutale on descendait le long d’un ruisseau qui s’écoule dans le lac. La promenade était agréable, on pouvait entendre les oiseaux chanter, voir les écureuils dans les arbres et on sentait un légère brise s’abattre sur nous.

« On peut parler de la nuit dernière? » me demanda-t-elle lorsque nous étions sur le sentie depuis une bonne demi-heure.

« Bien sûr, mais arrêtons-nous d’abord. Il y a un coin tranquille pas loin, nous pourrons nous arrêter là ». Je voulais aussi lui parler, ainsi qu’à mon frère.

Nous y sommes arrivés une dizaine de minutes plus tard. Un petit bosquet qui pourrait ne pas être de la piste si l’on ne sait pas qu’il existe. Nous nous sommes assises, bu du coca light et nous nous regardâmes.

« Je n’ai jamais rien fait de tel auparavant » a déclaré Daphné. Elle me regarda dans les yeux attendant que je lui réponde.

« Moi si, un peu. J’étais à une soirée une fois qui s’est transformée en orgie. Nous étions trois, célibataire et nous avons principalement regardé. »

« Principalement? »

J’ai juste souri.

« C’était amusant d’être regardée. »

« C’était vraiment amusant de vous regarder. »

Elle se mit à rire. « Ton frère … »

« Ouais. » J’ai pris une longue gorgée, se souvenant de ma main sur sa queue, sa bouche sur mon mamelon, sa langue et la mienne se touchant.

« Je pense que tu en attendais plus de lui que ce que tu as eu hier soir. » Me dit-elle sans me regarder.

« C’est mon frère Daphné, mon frère jumeau. » Je me demandais qui j’étais en train d’essayer de convaincre.

« Alors vous n’avez jamais…? »

« Non, c’est la première fois que… nous nous sommes touchés. »

« Et bien, Jon a un peu perdu la tête pendant notre relation » Elle essayait de ne pas sourire.

« La façon dont il m’a embrassé après le sexe, c’était quelque chose » répondis-je avec effrontément.

« Ouais, tu as raison, c’est vrai. »

« Daphné, tu serais pas en train de dire que je souhaiterai coucher avec mon frère? »

Elle se mit à rire.

« Pourquoi devrais-je? Tu es sa sœur. Tu n’es pas une menace. Cela ne me dérangerait pas de le partager avec toi, parce que tu ne pourras jamais me l’enlever.  »

Je n’y avais pas pensé de cette façon.

« Tu as raison, je ne ferai pas ça, je ne pourrai pas, c’est impossible » soupirai-je. « Mais comment se sent-il à ce sujet? Est-ce qu’il t’en a parlé? »

« Je pense que ce qu’il s’est passé la nuit dernière n’était pas banale. Ça n’a pas d’importance si vous être frère et sœur, une partie de lui à besoin de toi. »

J’ai bu et je me suis assise pendant un certain temps. « Ouais, eh bien, le sentiment est réciproque. Alors que dois-je faire, lui sauter dessus quand tu n’es pas là?  »

Elle se tourna vers moi et retira un mèche de cheveux noir de son visage et me dit « Robin, je ne vais pas vous faire commettre l’inceste sans être à côté de vous pour vous apporter un soutien moral. »

« Ou soutien immoral selon le cas. » Nous nous mime à rire à gorge déployée tout en se rapprochant physiquement. J’ai fini par avoir ma tête sur son épaule et je n’avais aucune envie de bouger. Cela n’a pas semblé la déranger non plus. Je décidai de continuer la conversation.

« Je suis lesbienne, tu sais » dis-je

« Je me demandais. Bisexuelle, je suppose. »

« Je n’ai pas de préférences. Je prends ce qui s’offre à moi, si cela me plait.  »

Ses doigts se baladaient sur mon genou.

« Je te plais? » me demanda-t-elle.

« Eh bien, oui. Et moi? » Je n’étais plus sûre de qui faisait des avances à l’autre.

« Je n’ai jamais été avec une autre femme auparavant. » Elle se mit à rire et me regarda. « Tu as déjà entendu ça auparavant? »

« Oui, c’était moi qui l’avait dit, c’était il y a 6 mois et j’étais encore vierge des femmes. » J’ai regardé sa main, toujours sur mon genou.

« Ça te tente? »

« Quand tu m’as touché la nuit dernière, je dois avouer que ça m’a plus. Cela m’a excité. Je me suis dit que, j’aimerai bien essayer. » Sa main solidement posée sur mon genou.

« Tu sais, » dit-je en mettant ma main sur la sienne, le cœur battant « J’ai appris beaucoup de choses lors de cette soirée, les trios procurent beaucoup de plaisir. »

« Un trio? Tu veux dire, Jon, toi et moi?

« Ouais. »

« Tu as appris ça à la soirée? Juste en regardant? »

« Nous, les trois femmes étions les seules personnes célibataires. On peut dire qu’on s’est laissé prendre par l’atmosphère. »

«Alors, tu as rejoint un couple? »

« Non, on a joué toutes les trois ensemble. L’une des deux autres femmes était expérimentée avec les femmes. Elle nous a appris de nombreuses choses. Je pense qu’un trio avec un homme procurera au moins autant de plaisir. »

Elle me regardait, timidement. Je me penchai vers elle pour l’embrasser. Mes lèvres se sont rapprochées des siennes et, en essayant d’y aller lentement mais elle ne semblait pas intéressée. Sa langue s’est finalement mêlée à la mienne et elle prit les choses en main à ma grande surprise. Puis elle passa ses bras autour de mon cou pendant que, de mon côté je passais ma main sur ses fesses, passant sous son short et sa culotte pour finalement jouée avec la fente entre ses fesses.

Sa langue explora ma bouche. J’aime ce sentiment d’avoir la langue de quelqu’un dans ma bouche. D’avoir deux langues qui s’enroulent comme le cou de deux girafes.

Rapidement, je me mis à pousser sa langue pour me mettre à explorer sa bouche avec assiduité. Je sentais la chaleur monter entre mes jambes.

Le baiser pris fin. Nous nous regardâmes pendant un moment et je touchai son visage. Elle se mit à rougir.

« D’accord? » Demandai-je. J’avais peur de briser le silence, de peur de briser le moment.

« Oui, » dit-elle, sa voix à peine plus forte qu’un murmure.

Je tirai sur son débardeur pour le faire passer au-dessus de sa tête. Elle portait un soutien-gorge de sport que je retirai pour libérer ses seins. Je me mis à les caresser tout en lui enlevant son short et sa culotte. Elle s’assit les jambes croisées, les coudes sur ses genoux, et me regarda me déshabiller. Je me sentais en confiance sous son regard. Une fois nue, je m’agenouillai à côté d’elle, un genou touchant sa jambe.

Elle posa sa main sur la jambe, se pencha et la fit partir de ma cuisse pour aller sur ma hanche puis sur mon sein droit. Elle essaya de prendre mon sein dans ma main mais celui-ci déborda. Elle se rapprocha aussi près que possible de moi, mettant un genou entre mes jambes. Nous nous sommes embrassées, ventre contre ventre et poitrine contre poitrine. Nous nous embrassions et cette fois, ma main se trouvait profondément dans la fente de son cul. Jusqu’où me laissera-t-elle aller? Mon index trouva le bord de son anus, puis son centre. Elle se mit à me saisir par la taille tout en m’embrassant. J’ai retiré mon doigt de son anus, épargné pour le moment.

J’ai commencé à faire parcourir mes lèvres sur son corps. La peau duveteuse de sa joue est devenue humide sous mes lèvres, et elle haletait quand je suis arrivée au lobe de son oreille. Puis je plaçai ma langue dans le creux de sa clavicule, dégustant la sueur sur sa peau. Puis je suis arrivée à la poitrine. J’ai fini par tout lécher, sauf son mamelon.

Elle arqua son dos, la respiration haletante, et quand je jugeai que le temps était bon (et que je n’en pouvais plus d’attendre plus longtemps), j’aspirai son mamelon dans ma bouche. Elle haletait et me pris la tête et poussa un grognement lorsque ma langue se pose sur le téton. Puis j’ai relâché son mamelon et me mis à alterner ma langue sur son mamelon. Finalement, j’ai réalisé le même chemin vers son autre sein pour réaliser le même travail.

Ce jeu se fini dans bal de baiser puis elle insista pour s’essayer sur mes seins. Je m’allongeai dans l’herbe rugueuse, remua les épaules pour tuer une démangeaison au milieu de mon dos. Elle chevaucha mes hanches et je mis mes mains sur ses seins pendant qu’elle m’embrassait.

Je n’aime pas mes seins tant que ça la plupart du temps. Ils sont trop grand, attire beaucoup l’attention (des fois de manière indésirable) et me donne mal de dos. La seule fois où je les aime c’est lors de relation sexuelle que ce soit juste me masturber dans son lit la nuit ou avec quelqu’un d’autre. Ils sont si sensibles, que j’ai parfois la sensation qu’il y a un lien direct entre eux et mon clitoris. Je me suis déjà fait jouir juste en jouant avec mes seins.

J’ai donc commencé à être excitée quand Daphné mis son nez entre mes deux seins tout en les prenant dans ses deux mains. Je la sentais prendre sa respiration et lécher. Je mis mes mains sur ses hanches pour ne rouvrir les yeux que lorsqu’elle se retira de mes seins. Nous nous sommes alors regardées en souriant.

Elle se pencha de nouveau, pris mon sein gauche de ses deux mains et se mit à travailler sur mon mamelon.

Sa bouche sur ma poitrine était exquise. Elle semblait y consacrer la totalité de son attention. Ma chatte était en feu, je sentais des picotements dans mon clitoris. Mon vagin se mit à fonctionner comme un robinet puis, l’inattendu, elle me fit jouir.

Elle savait ce qu’elle venait d’accomplir et ralenti ses attentions. Elle se remit sur moi et je l’enveloppai de mes jambes et bras.

« Tu as vraiment joui? » m’a-t-elle demandé, la bouche près de mon oreille.

« Oh, ouais. »

« Jon semble aimer me sucer les seins. Je voulais comprendre pourquoi. »

« As-tu aimé? » Demandai-je.

« Oui! »

Daphné était d’humeur exploratoire maintenant. Ses doigts commençaient à se balader le long de mes côtes, sur mon ventre, sur le bord de mon pubis. Ses yeux et les miens avaient suivi leur chemin. Et quand elle s’arrêta, j’écartai mes jambes, bougea mes jambes pour la motiver à venir. Elle me regarda, se lécha les lèvres et m’embrassa. Elle semblait nerveuse. Je mis ma main sur sa tête pour la guider. Pendant le baisé, je sentis ses doigts descendre entre mes jambes pour commencer leur exploration. Elle commença timidement puis pris de l’assurance. Je savais ce qu’elle pensait, c’était bizarre de toucher le sexe d’une autre femme pour la première fois.

Elle n’a pas eu de mal à trouver mon clitoris qu’elle ne touchait que très brièvement, comme si elle voulait me montrer qu’elle l’avait trouvé. Puis elle remonte les plis de mes lèvres intérieures pour y aventurer un doigt à l’intérieur, rapidement suivi par un deuxième. Ses deux doigts me remplissaient comme une queue mince. J’en voulais plus. Si elle avait des doutes sur la façon de me faire plaisir, le temps était venu d’y mettre fin. Je rompis le baiser.

« Je veux que tu y mette ta langue » dis-je. Elle regarda l’endroit où se trouvaient ses doigts, descendit en retirant ses doigts et posa ses mains sur l’intérieur de mes cuisses tout en les poussant pour les écarter encore plus.

Elle souffla doucement sur ma vulve, inhalant mon odeur. Alors que j’étais sur le point de pousser sa tête, elle a plongé. Elle passa sa langue sur mes lèvres, goûtant le jus provenant de mon intérieur, et finalement mon clitoris.

J’ai du mal à me souvenir de la suite. Sa langue était magique sur mon sexe. Je me souviens avoir pris une mèche de cheveux et de l’avoir roulé dans mes doigts et que des vagues de plaisir m’ont submergées. Je me souviens d’avoir joui bruyamment. Je me souviens aussi m’être goutée lorsque je l’ai embrassée par la suite. Puis elle roula sur le dos.

Après avoir retrouvé mon équilibre, je me penchai pour embrasser sa poitrine, puis frotter ma joue le long de sa cuisse. Elle avait l’air de savoir ce que je voulais qu’elle fasse sans que je lui dise. J’étendis sur le dos et elle leva sa jambe pour la passer au-dessus de ma tête. Je lui pris les hanches dans mes mains et la tira en arrière pour que sa chatte se retrouve juste au-dessus de moi. Regardant entre en ses jambes, je vis ses seins balloter puis sa tête apparut pour voir ce que je faisais.

Je baladai mes mains sur ses fesse et regarda la vulve se trouvant au-dessus de moi pour y mettre deux doigts. Elle était humide et bien mes doigts sont rentrés sans problèmes. Je retirai ma main droite et mis deux doigts de ma main gauche en elle. Afin de mieux préparer la suite.

Je lui ai baisé la chatte avec mes doigts pendant quelques minutes et je l’ai senti me lécher l’intérieur des cuisses. Puis j’ai tiré sa chatte vers ma bouche grande ouverte pour pouvoir en gober un maximum. Elle avait un goût neutre, pas aussi présent que les autres femmes que j’avais pu goûter. Je lui embrassai la vulve en gardant soigneusement ma langue loin de son clitoris mais en allant plutôt vers le bas, près de son anus. Elle tremblait au-dessus de moi, l’haleine fraîche contre ma chatte mouillée.

Finalement, je me mis à lécher son clitoris en en faisant le tour. Elle se mit à gémir. Une chose sympathique en faisant l’amour à une autre femme, et de pouvoir lui faire ce que l’on aimerait qu’on nous fasse. Elle avait fait un beau travail sur moi.

J’ai brièvement mis mon majeur dans son vagin, mais mon intention n’était pas de la doigter. Au lieu de cela je mouille le bord de son trou du cul avec sa mouille et a commencé à insérer mon doigt dans son anus. Elle gémit fort et mis sa langue dans mon vagin. Elle essaya de mettre sa langue aussi loin que je mettais mon doigt dans son anus. J’ai continué à effleurer son clitoris de plus en plus rapidement.

« Oh, Ouuui! » elle a crié. Je sentais son sphincter convulser autour de mon doigt, suivie d’un rétrécissement de ses lèvres, et son jus jaillit dans ma bouche. Elle faisait « hungh, hungh, hungh», au rythme des contractions de son orgasme, et j’ai eu à avaler son jus de chatte pour empêcher la noyade.

Lentement, Daphné se redressa, en faisant attention de ne pas s’asseoir sur mon visage. Je retirai mon doigt de son anus. Puis elle se retourna et se jeta sur moi. Nous étions étendus là s’embrasser et à se caresser pendant un moment.

«Mon Dieu, que c’était bon», dit-elle enfin. Elle descendit de moi et s’assit sur l’herbe, la plante des pieds serrés, laissant la brise souffler sur sa chatte.

« Tu en veux plus? Quelque chose de fou? » J’ai demandé, à genoux à côté d’elle, mon bras gauche autour de sa taille svelte.

« Aussi fou que tu le désires », dit-elle, puis elle mit sa main sur ma joue. « Je ferais tout ce que tu voudras. »

Je mets ma main entre ses jambes, taquinant ses lèvres avec mes doigts. Elle s’appuya contre moi et mis d’abord un doigt en elle, puis deux, les tournant doucement pour l’ouvrir. J’en mets trois en elle, puis quatre. Ses yeux sont devenus plus gros que son col de l’utérus quand elle réalisa ce que je faisais, mais elle n’a jamais dit un mot, me caressant le visage et en attendant la suite.

Les quatre doigts étaient serrés au début mais ma persistance paya et mon pouce pu bientôt rentrer. Peu de temps après, j’avais mon poing dans son vagin. Une fois qu’elle accepta ce qu’il se passait, elle ferma les yeux en serrant mon bras.

« Tu vas bien? » Demandai-je.

«Ouais. Je n’avais jamais imaginé que je pourrais en prendre autant… ugnh! « J’avais commencé mes va et vient, mon poing la baisait. Mon corps bourdonnait tellement j’étais excitée. Il ne lui fallut pas longtemps pour qu’elle se mette à jouir. Je me mis à jouir moi aussi lorsqu’elle gémissait. Je savais ce que c’était que de se prendre un poing mais je n’avais jamais eu l’occasion de le faire à quelqu’un d’autre. Cela valait la peine d’avoir attendu.

Lentement, je retirai ma main d’elle. Elle l’attrapa et la lécha pour la nettoyer et m’embrassa. Je me sentais rassasiée, rien envie de faire d’autres que d’aller me coucher. Je m’allonge dans l’herbe et elle s’assit à côté en me regardant. La dernière chose dont je me souviens c’est qu’elle vient mettre ses mains sur mes seins.

Robin anagi

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