Surprise en VTT

Cet après-midi il fait chaud et le temps est magnifique, mon mari vient de partir travailler pour la journée.

Je décide d’aller faire un tour de VTT dans les bois qui sont à quelques kilomètre de chez nous.

Je ne sais pas si c’est la chaleur torride ou si c’est parce que j’étais en train de penser à ma dernière nuit avec mon mari, mais je décide de me caresser un peu en quittant ma jupe et mon string avant de mettre ma tenue de sport.

Mon sexe est humide, d’une main je saisie mon clitoris et commence à me caresser, l’effet est immédiat, maintenant je mouille vraiment.

Je continue quelque instant puis je plaque tous mes doigts sur mon sexe et me branle avec vigueur, le désir se fait de plus en plus fort et je m’arrête net car un mouvement de plus et je jouis, je regrette à cette instant l’absence de mon mari pour la journée.

Enfin, je met mon cuissard en me disant qu’une trentaine de kilomètre en VTT à travers les bois auront rapidement raison de mon excitation.

Il fait de plus en plus chaud, je pédale comme une forcenée mais après bien des efforts j’arrive enfin au bord du bois, encore quelque mètres et je m’y engouffre à vive allure, à cet instant j’apprécie la fraîcheur et les senteurs des bosquets sous les arbres.

Il règne en ces lieux un calme intense, je suis sans doute seule dans ce bois car tout le monde doit être à la plage avec cette chaleur.

Je baisse mon rythme et commence une ballade tranquille à travers le bois, évitant les ronces et autre piège naturel.

Au bout d’une demi-heure de ma ballade , j’arrive dans un chemin, je roule lentement car il devient de plus en plus étroit, je m’arrête et j’aperçois en face de moi, derrière un magnifique chêne quelque chose bouger.

Sans doute un petit animal, je pose mon VTT et avance doucement en contournant l’arbre.

J’arrive à 10 mètres de mon but quand j’ai la surprise de voir qu’il s’agit d’un homme d’une quarantaine d’année en train de pisser contre l’arbre, un jet sort dru d’un sexe de belle dimension.

Je me sens ridicule à ce moment là et je m’arrête donc de marcher, l’homme m’aperçoit, me sourit et fini son besoin, je m’apprête à repartir d’ou je vient, lorsque l’homme se recule d’un mètre se met face à moi et commence à se caresser le sexe.

Je reste sans dire un mot, comme hypnotisée, il doit me prendre pour une cinglée nymphomane, chose que je ne suis pas.

Lui aussi ne bouge pas, il continue à se caresser doucement en souriant et de l’autre main baise son short jusqu’à mi cuisse.

Son sexe augmente de volume et se dresse face à moi, il est de bonne taille, j’aperçois le gland dans une cadence dirigée par la main qui maintenant le branle.

Je suis hypnotisé par cette queue qui est maintenant raide et dans sa plus belle taille, sans doute une trentaine de centimètres et un diamètre qui va bien avec.

L’homme me fixe dans les yeux, il semble sur de lui et je ne sais pourquoi mais il à un coté rassurant qui me met en confiance rapidement.

Il continue à se branler, je n’ose pas bouger et je ne sais pour quelle raison mais je n’ai pas envie de repartir, d’un mouvement des yeux et de la tête presque autoritaire il me fait signe d’approcher.

D’un pas hésitant je m’approche de lui, je suis maintenant à 1 mètre, je sens son odeur, il a courut et transpire encore un peu, son souffle est calme, il se branle et à chaque fois que sa main descend sur sa queue il s’arrête et d’un léger coup de rein vers l’avant m’impose la vue sur son gland qui est maintenant gonflé et rouge de désir, je vois très bien une grosse goutte translucide perler sur son méat.

D’un geste de la tête il me fait voir le sol, j’ai bien compris ce qu’il veut, c’est la première fois que je me retrouve dans cette situation, j’ai le réflexe de tourner la tête mais je vois seulement le chemin étroit plein de végétation, et mon VTT couché dans l’herbe, je ne sais si c’est pour m’enfuir ou pour voir si quelqu’un peut nous surprendre.

Il me refait un geste de la tête encore plus insistant, il s’impatiente et me fixe dans les yeux, à ce moment là, je n’en crois pas ma réaction mais je baisse les yeux fixant sa queue raide et doucement je m’incline et me met à genoux devant lui.

Sa queue est devant mon visage, arrogante et fière, l’homme continue à se branler quelques instant puis l’immobilise face à moi, puis me caresse le visage avec son sexe complètement érigé et gonflé pour ensuite la poser sur le coin de mes lèvres.

Je sens qu’il pousse afin que je le suce, je ne comprend ce qui m’arrive mais je saisie sa queue à mon tour et de ma main lui imprime de longs mouvements de haut en bas, puis la dirige vers moi et la prend à pleine bouche.

Elle est chaude et légèrement salée, sans doute la transpiration, mais je sais très bien qu’il vient d’uriner et ça ne me dégoutte pas, au contraire. Je ne me reconnais plus. Je m’étonne même de voir la passion que je prends à sucer et aspirer goulûment cette queue. J’ai du mal à la rentrer à fond, tellement elle est grosse, mais je m’efforce, comme une putain à ouvrir mes mâchoires au maximum pour l’engloutir complètement.

D’une main je le branle tandis que je suce de plus belle. Tantôt j’arrive à l’engloutir au fond de ma gorge tantôt je lui suce le gland en utilisant bien ma langue. Je ne le crois pas, je suis à genoux au milieu des bois en train de sucer un homme totalement inconnu. Moi qui n’ai jamais trompé mon mari et qui ai toujours refusé de le sucer trop longtemps, et en plus j’y prends un plaisir immense à me trouver dans cette situation avilissante.

L’homme que j’avais fini par oublier tellement j’étais accaparée par ce sexe, pousse de petits râles saccadé en soufflant de plus en plus fort, il m’appuie doucement sur la tête afin de bien sentir sa queue au fond de ma bouche. Et en s’arque boutant il me saisit des deux mains par la nuque et déverse en moi des saccades de sperme chaud, visqueux que je m’empresse d’avaler comme une affamée. Lorsqu’il a fini de se répandre, je m’enfonce encore plus son sexe au fond de ma gorge, déclenchant en moi une jouissance inattendue comme si un nerf reliait mon clitoris à ma glotte. Mais je me rendais seulement compte maintenant que pendant toute ma fellation, je serrai convulsivement mes cuisses entre elles comprimant ainsi mon clitoris.

Son sexe toujours en bouche, il me saisit sous la mâchoire et d’un mouvement me fait comprendre de me lever, je le suce encore quelques instants puis je me relève laissant sa queue à l’horizontale ayant à peine débandée.

Je suis maintenant debout face à lui, son regard est brillant. Il semble avoir du mal à se remettre de ma prestation et je vois à son regard son désir revenir au maximum, il me prend par une épaule et d’un mouvement circulaire me retourne contre le chêne sur lequel je m’appuie des deux mains. Je ne bouge plus, je me laisse totalement faire, je n’ai aucune réaction sur ce qui m’arrive, j’ai la tête contre l’arbre je sens l’écorce qui m’écorche légèrement la joue.

L’homme saisie mon cuissard à deux mains et le baisse d’un coup jusqu’aux chevilles, des frissons parcourent ma peau nue. Ensuite il pose ses deux mains sur mes fesses et me les malaxe avec vigueur, il m’écarte les deux fesses en les tenant éloignées fortement quelques secondes. Je sens son regard posé sur mon intimité. Je ne suis pas gênée, au contraire ça m’excite.

Après ce traitement j’entends qu’il se met à genoux derrière moi. Je sens son souffle sur mes fesses et de ses deux mains il m’écarte de nouveaux les lobes. Quelque chose de chaud et d’humide se pose sur mon anus. J’ai un sursaut, jamais personne n’a touché cette partie de mon corps. Pourtant, je me relâche et accepte immédiatement son contact, je m’abandonne totalement sans retenue aucune, creusant même les reins pour lui faciliter la tâche.

C ‘est délicieux il me lèche la raie avec sa langue, je n’ai jamais connu une telle sensation, je sens une chaleur intense m’envahir les reins, je pousse de petit râles et m’accroche de plus belle à l’arbre. Sa langue s’attarde sur mon anus et se vrille pour s’y introduire. Je me sens honteusement mais agréablement fouillée.

Je cambre les reins et pousse mes fesses contre se visage qui me dévore l’intimité. Il s’arrête, me laissant à vide et avide, mais ma frustration de dure pas longtemps, son doigt remplace sa langue contre mon anus.

Il l’appuie plus fort et je lui facilite le passage en me relâchant les sphincters, son doigt à eu raison de la résistance naturelle de mon cul et continue sa progression au fond de moi, il s’arrête un instant et repart en arrière puis recommence. Il me branle le cul avec un doigt, je sens qu’il m’écarte dans un mouvement tournant, puis il met un deuxième doigt, je commence à ressentir une légère douleur, un peu gênante, mais bien vite le désir de m’avilir encore plus, brise mes dernières résistances et pendant que de son autre main il me saisit le clitoris et me branle, un plaisir malsain monte en moi.

Mes grands mouvements de hanche contre ses doigts montrent que je suis prête à subir tous les assauts et les derniers outrages. Je sens comme une envie de déféquer mais je n’en ai cure, je m’abandonne à sa pénétration, je suis une femelle qui réclame la saillie.

Il retire ses doigts et se relève derrière moi. Une frustration s’empare à nouveau de moi, je ne veux qu’une seule chose, qu’il continue. Tout le reste de mon corps est immobile, je suis offerte, je ne bouge plus dans cette position de soumission au mâle, seuls mes reins cambrés sont animés d’un mouvement d’impatience,

Je sens maintenant sa queue contre mes reins, elle est dure, bien raide et grosse, très grosse, trop grosse ? Mais impatiente, dans un mouvement rapide lorsqu’elle descend, pour s’immobiliser entre mes fesses, j’ai un éclair de lucidité et je réalise ce qui va m’arriver, je serre mes fesses afin de l empêcher de continuer .

Il prend sa queue d’une main et la promène lentement de haut en bas dans le sillon de mes fesses, il s’arrête maintenant contre mon anus lubrifié par sa langue et préparé par ses doigts.

Il joue de son gland sur mon petit trou, sa respiration s’accélère, je sens la pression de sa queue sur mon anus, il insiste, mais je résiste tant bien que mal à ses assauts. Mais la chaleur de mes reins reprend le dessus et oubliant toute retenue je donne un coup de reins pour m’empaler.

Mon anus se dilate sous la pression, il me force, c’est douloureux, je souffle profondément en serrant le chêne fortement avec mes doigts, il me saisit par les hanches et dans un souffle rauque il me pénètre.

Son gland est énorme mais je sens bien passer, il est en moi, il ne bouge plus, je sens que mon cul s’est ouvert à son maximum et qu’il ne peut aller plus loin. Je tremble et me décontracte autant que je peux, je veux qu’il entre tout entier sa colonne de chair dans mes intestins. Peu importe s’il le fait sans me déchirer ou non, je veux qu’il entre.

Malgré mes gémissements, la pression de ses mains sur mes hanches augmente et je comprends alors que rien ne l’arrêtera, je m’ouvre encore quelques secondes mais rien n’y fait., il ne peut entrer plus loin.

A ce moment tout bascule dans mon esprit, est-ce par soumission, par un désir inavoué d’une telle expérience, ou tout simplement par la puissance de sa pénétration mais je m’abandonne et pousse comme pour aller à la selle

Je relâche mes fesses, je les écarte comme de l’intérieur de mon ventre pour lui faciliter le passage, je prend appui de mes deux mains contre l’arbre en face et je pousse.

Mon anus s’ouvre au passage de sa queue si puissante et si raide, il s’arrête alors, se redresse légèrement, je sens son regard sur mon cul.

Il malaxe mes fesses doucement, je ne comprend pas ce qui m’arrive car j’attend la suite avec impatience, je désir maintenant qu’il continue.

De nouveau il me saisit par les hanches et reprends sa progression, tel un pieu il s’enfonce doucement en moi, chaque centimètres de sa queue me pénètre inexorablement, c’est interminable je ferme les yeux, en soufflant par la bouche ouverte. J’ai l’impression que mon ventre va exploser, la douleur est vive, je souffre et j’ai envie dans ma tête qu’il s’arrête, mais mon cul demande qu’il continue et il sait bien que rien ne peut l’arrêter, il continue lentement à m’enculer.

Il s’arrête un instant, recule un peu, va-t-il ressortir ? non il recommence encore à s’enfoncer, la douleur est trop forte je serre les dents, j’inspire profondément, il s’arrête une fois encore, me saisit à nouveau par les épaules de ses deux mains et d’un grand coup de rein il s’enfonce jusqu’à ce que je sente son ventre entrer en contact avec mes fesses. Je suis enculée jusqu’à la garde.

Sous la puissance de son assaut, je hurle en me cognant la tête, je suis sous la violence du choc.

Maintenant son pubis ainsi que ses grosses couilles velues viennent cogner contre mon cul endolori, je suis pourfendue par sa queue plantée au plus profond de moi. Il ne bouge plus, il halète et souffle dans mon cou, il se retire presque entièrement, la sensation et agréable, mais frustrante, je ne veux pas qu’il sorte mais au moment où son gland arrive sur l’anneau de mon sphincter il me pénètre de nouveau jusqu’à la garde d’un coup de rein.

Je crois m’évanouir de douleur en même temps et de nouveau je sens ses grosses couilles contre mon cul.

Mes jambes tremblent, j’ai du mal à me tenir debout. Il recommence, de long va et viens. Mais cette fois-ci il se retire doucement pour ensuite m’enculer lentement mais puissamment bien à fond.

Une chaleur intense m’envahit, je sens ses aller et retours au fond de mes entrailles, je suffoque, grogne, gémis et mords l’écorce du chêne à pleines dents. Pourtant à un moment, une drôle de sensation vient se répandre en moi, comme si mille fourmis envahissaient mon cul. « Ce n’est pas possible, je vais jouir ! » mais cette phrase je ne le pense pas, je viens de la dire à haute voix. Le son de ma voix faisant cet aveu me trouble encore plus.

A ces mots il redouble d’intensité, il me pilonne le cul, c’est délicieux, à chaque retour il ressort sa grosse queue de mon cul pour la remettre ensuite plus profond à chaque fois. Il semble animé d’une rigueur de métronome. Je ne sais combien de temps dure il m’encule, mais ça me fait un bien fou dans les reins, ma tête a complètement déconnecté de mon cul. Je me sens une femelle lubrique uniquement accaparée par son plaisir à la recherche de sa jouissance.

Avec sa main il me branle le sexe, le mouvement s‘accélère, il arrête pour me prendre par les épaules, il m’empale encore une fois. Au même instant je jouis violemment, saisie d’une jouissance que je n’ai jamais connue, différente de celle que j’ai dans mes rapports habituels avec mon mari ou lors de mes plaisirs solitaires. Mes jambes vacillent, ma tête va exploser, c’est trop de plaisir d’un coup, je gémis fortement, ma respiration est suffocante, tout mon bas-ventre est irradié de plaisir, un plaisir qui entre dans mon anus comme s’il y était imposé par cette monstrueuse verge. Il rentre encore une fois en moi et dans un souffle rauque il décharge de longues giclées de sperme que je sens couler au fond dans mon cul contre les parois de mes boyaux. Je voudrais que ces moments ne finissent pas. Je sais à l’instant que ce plaisir va devenir pour moi une nécessité et que je n’aurai de cesse d’y goûter à nouveau.

Je sens ensuite sa queue ressortir doucement de mon cul, il la frotte de bas en haut sur ma raie, m’encule de nouveau jusqu’à la garde deux ou trois fois, entretenant l’irradiation de plaisir dans mes reins. Puis se retire et plus rien, je reste un instant sans bouger puis je m’effondre à terre à genoux au pied de l’arbre. Je reste comme ça, les fesses à l’air, mon cuissard baissé sur mes mollets. Des palpitations animent sur mon anus endolori et irrité par tant de passion, je reste sans dire un mot à essayer de comprendre ce qui vient de m’arriver.

Quand je retrouve ma lucidité, je m’aperçois que l’inconnu à disparu et réalise alors que je viens d’assouvir un vieux fantasme que je n’osai même pas m’avouer à moi-même clairement, tellement il se heurtait aux barrières de mes convenances, mais qui venait parfois me visiter plus librement la nuit dans mes rêves, celui de sucer un homme et ensuite de me faire enculer.

Avec difficulté je me rhabille, j’ai du mal à marcher pour récupérer mon VTT, je rentre ensuite chez moi sans poser mes fesses sur la selle. Avec une seule idée en tête, je vais demander à mon mari de m’enculer. Je ne sais pas comment il va le prendre, il ne me l’a jamais demandé. Tant pis s’il n’accepte pas, car je sais que j’irai souvent me promener seule dans ce bois.

Alice ponice

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