Retrouvailles

Nous nous rencontrons 10 ans plus tard, par hasard. Avant nous étions amants, elle du genre sensuelle. Nous allons boire dans un bistro quelconque, le premier venu. Nos souvenirs reviennent surtout les plus chauds.
Elle s’est marié depuis, oubliant nos serments d’amour éternels.
Je lui prends  la main qu’elle abandonne, comme avant. Nous nous regardons au fond des yeux. Une petit lueur brille dans son regard.
Quand je lui pose une question qui normalement me vaudrait une beigne, elle répond « oui ».
Nous sortons, je l’embrasse sur la bouche, sa langue répond à la mienne, comme avant. Nous partons comme des amoureux en nous tenant par la taille.
Je ne la détaille que dans la chambre, à l’hôtel. Ses yeux sont toujours aussi bleus, ses cheveux toujours bruns. Seule chose qui change, la hauteur de ses seins qui ne résistent pas à l’âge venant. Ça m’est égal, j’ai toujours autant envie d’elle, de ses goûts différents selon les endroits. Ce qui me change beaucoup c’est qu’elle porte une alliance.
Par contre chacun se déshabille pour s’offrir à l’autre. Nous restons debout collés corps à corps. Je commence à bien bander.

Tu est plus gros qu’avant.
Tu en profiteras d’avantage.
Mets moi là partout.

Je caresse ses fesses, je passe même par la raie à la recherche de son petit trou où j’aimais tant me perdre.
Elle m’entraîne sur le lit : je tombe sur elle. Je reste un moment ainsi avant de me mettre sur son coté, comme avant. Comme avant elle prend ma trique dans sa main, comme avant elle me caresse avant que ma main soit entre ses cuisses qu’elle ouvre seule.
Nous nous masturbons, comme avant. Elle sait quand elle doit arrêter. Nous nous allongeons normalement sur le lit, nos lèvres ne se lâchent plus. Son odeur revient en mémoire : mélange de safran et de résine. J’embrasse ses seins, son ventre et me retourne complètement. Je peux ainsi mieux aller la sucer. J’entends son soupir de soulagement : elle pensait que j’avais oublié ce lieu secret ?
Ma langue retrouve sa saveur. Mes lèvres aspirent son clitoris, toujours aussi long. Elle pose ses mains sur ma tête, comme pour me guider, de peur que j’ai oublié des détails de son intimité.
Comme si c’était possible de l’oublier. J’insiste avec ma langue pour son plaisir et par gourmandise. Elle me fait mettre sur le dos, reviens sur moi donner son sexe. Je lèche, j’embrasse, je suce, j’aspire, je fais tout pour son plaisir.
Elle se venge en prenant ma bite dans ses lèvres (qu’elles sont douces) Elle me lèche et m’aspire en caressant mes génitures. Cette fois elle s’enhardit en passant sa main entre mes jambes.
Il fallait que je le lui demande. Elle passe dans ma raie des fesses à la recherche de mon petit trou. Elle se souvient que j’aimais sentir son doigt dans mon cul pendant qu’elle me masturbait.
Notre relation particulière en 69 nous permet de retrouver toute les déviation de notre ancienne sexualité. Je ne voudrais pas jouir dans sa bouche, elle fait tout pour. Je sens monter l’orgasme, l’en averti. Elle continue à me sucer comme un biberon. Le résultat est qu j’éjacule dans sa bouche à longs jets de foutre.

J’avais tellement envie d’avoir ton sperme dans ma bouche. Goûte le.

Elle me tire la langue pour que je la prenne encore dans ma bouche. Je retrouve mon goût salé avec un peu de gluance (comment peut-elle aimer ça?) C’est elle qui abandonne la position. Elle me caresse le torse en descendant vers mon sexe qui débande. Elle le prend dans sa main, pile comme avant quand nous étions jeunes. Elle caresse le pubis, les couilles pour reprendre ma queue qui miracle ne tarde pas à rebander.
Elle me fait venir sur elle, entre ses jambes qu’elle ouvre comme elle ne l’a jamais fait devant moi en tout cas.Je vois les détails de sa chatte toute mouillée.

Baises moi.
Je te voudrais de l’autre coté.
Tu veux me sodomiser ?
Oui.
Prends mon cul.

Elle reste sur le dos, ouvre ses jambes. Elle sait bien me guider en prenant ma bite à pleine main. Je passe sur son sexe qu’elle me fait oublier, je passe sur son entre jambes pour venir à coté de son  anus. Il me semble ne l’avoir jamais quitté.
En tout cas je ne l’ai pas oublié. Je tiens ma bite pour la diriger vers cet anus que je préférais en elle. Je ne force pas du tout, j’entre très facilement : elle en soupire. Mon gland semble s’y reconnaître quand il entre. Je la sodomise totalement. Quand je suis au fond de son , elle fait exactement comme avant. Sa main vient renforcer son plaisir en se masturbant. Je sens ses spasmes de jouissances. J’allais me retirer quand elle de demande de continuer.
Je serre les dents, j’essaie de penser à autre chose  je ne veux pas éjaculer maintenant, je veux qu’elle jouisse plus que normalement.
Je ne peux plus me retenir et le lui dit :

nous jouissons ensemble.

Nous flemmardons au lit, je la caresse partout. Elle semble heureuse.
Mon mari ne me fait jamais jouir, toi oui. On se retrouve vendredi prochain ici ? Bien sur ma pute.
Et nous nous retrouvons pour baiser, avec ses inventions  à elle tous les vendredi.

fabrissa

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