Récit Porno garce

Je suis une jeune garce de 22 ans assez ronde je dois l’avouer mais je sais me mettre en valeur. Je chausse mes talons noirs et hop, en route vers le bar ! ! Comme prévus, tous mes amis sont présents. Je me prépare à passer une super soirée jusqu’à ce que mon regard tombe sur Francine ?
Petit flash-back, Francine a été ma meilleure amie et notamment la seule sur laquelle j’ai fantasmé, la seule que j’ai eu envie d’embrasser, de palper. Tout comme moi, elle avait ce désir secret de coucher avec une garce mais alors que ce projet prenait forme, elle a adoré me trahir et se « taper » mon mâle derrière mon dos. Pourtant, elle et moi s’amusions bien à flirter et à s’embrasser, à se faire des papouilles, à se palper la poitrine, je me souviens surtout lui avoir lécher le ventre, entre autre. Bien entendu depuis cet instant, j’ai tendance à l’éviter, mais ce soir, le fait de la revoir a fait renaître ce désir en moi. Je la vois évoluer parmi nos amis, toujours un verre à la main, elle ondule des hanches, Roule le bassin à chaque passage face à moi, à croire qu’elle essaye de m’allumer. J’ai l’impression que sa jupe se raccourci de minute en minute. Son regard ne cesse de croiser le mien. Je sens bien qu’elle désire venir me parler mais elle n’ose pas.

La soirée continue de se passer devant moi, comme si je n’étais pas vraiment là. seul mon corps est présent, mais mon esprit vagabonde vers le corps de Francine. C’est elle qui en vient à me sortir de mes tourments sexuels. Rapidement la conversation reprend entre nous comme si de rien n’était. L’envie l’une de l’autre à cet instant est si grand que je crois que le monde pouvait s’arrêter de tourner qu’on ne s’en serait pas rendu compte. quelques verres, quelques discussions plus tard, nous voilà parties toutes les deux de la soirées pour nous rendre dans mon logement. Un dernier verre et nous voilà dans ma chambre. Nous commençons à nous embrasser tout en nous déshabillant. Je l’allonge sur le lit et m’éclipse quelques secondes pour fouiller dans mon coffre à jouet.

J’y trouvais un gode et l’instrument qu’il me fallait, des menottes. J’accrochais cette fringante vicieuse aux barreaux de son lit, comme une vulgaire poupée, jambes et bras écartés. Je glissais ma tête sur son ventre jusqu’à atteindre son intimité et là, tenant ses cuisses pour toujours la dominer, je la léchais à n’en plus pouvoir. Ma langue allait et venait sans cesse, et sa respiration me parvenait saccadée. Je joignais quelques doigts, et je m’apprêtais à prendre ma revanche sur cette soumise. Je saisis le gode et le passais sur sa vulve, l’imprégnant de mouille. Elle s’attendait certainement à ce que je la pénètre avec, pour lâcher son excitation et sa jouissance, enfin. Mais elle éclata dans mes oreilles, à la surprise du jouet dans son petit trou, sans préparation. Ce n’était pas un coup d’essai mais l’ensemble mes caresses l’avaient menée au bord de l’explosion, et cette pénétration soudaine avait eu raison d’elle. Je sentais son corps trembler sous mes derniers coups de langue. Ma fin à moi était proche elle aussi ; je m’asseyais sur son doux minou, sans la détacher. Elle compris et malgré la fatigue elle me prodigua un court cunnilingus qui me fit à mon tour gémir comme jamais. Je l’embrassais langoureusement, goûtant ma mouille, avant de la libérer.

En me remerciement mon amie tint parole et je passais une nuit au paradis en la regardant.

Aurelien

Coquin amoureux de la plume et des belles photos, Erosto, m' est comme un petit boudoir coquin permettant de mettre par écrit les plaisirs sexuels, les histoires érotiques et les nombreux conseils coquins pour les couples, les hommes et les femmes qui aiment comme moi pimenter leur vie sexuelle et agrémenter les soirées torrides pour le seul plaisir du partenaire

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