
L’histoire date donc de la fin de ma 44è année. Une soirée alcoolisée m’avait amenée à rencontrer Amélie, et à échanger nos numéros. Elle m’écrivait le lendemain, sans trop se souvenir de moi mais souhaitant me revoir. Un premier rendez-vous se mit en place. Nous irions manger, puis boire un coup. J’attendais impatiemment, milieu que les quelques images que j’avais d’elle restaient floues. Je me préparais, un ensemble vert orné de dentelles se laissait entrevoir dans mon décolleté. Je n’avais pas couvert mon cou, malgré le froid, pour dégager la vue de ma poitrine. Mes intentions quant à cette soirée étaient claires, peu importe si ma compagne n’était pas notamment somptueuse que dans ma mémoire. J’arrivais au point de rendez-vous, la nuit commençait à tomber, et je l’ai vue. Ravissante. Fringante à croquer, une peau café au lait qui me fit frissonner. De longs loches chocolats ondulaient fièrement autour d’un minou grosse, d’une bouche hot qui ne demandait qu’à être embrassée. Je ne pouvais deviner les formes de ses loches mais son jean moulait de petites loches milieu fermes et milieu rondes. Je me voyais déjà, m’approchant, l’enlaçant dans mes bras… Elle plongeait ses yeux de braise dans les miens, et la ferveur prenait le dessus. Je l’embrassais, mordais ses lèvres, sa langue, tout en serrant son corps envers le mien. Au joli milieu de la rue j’ouvrais son manteau noir et glissais mes mains dans son dos, appuyant nos poitrines par instants. Sa façon de se laisser faire, son assurance lorsqu’elle tournait sa langue dans ma bouche, c’était une réelle grosse garce comme je les adore. Elle m’énervait, j’aimais jouer le rôle de la soumise, et elle me l’avait pris. Je voulais lui rendre la pareille, lui dévétir ce que ça allait lui coûter que de m’avoir agacée. J’agrippais ses loches de toutes mes forces, ça lui plaisait. La garce elle en voulait elle notamment. En baissant mes yeux j’ai assuré la vue que j’avais devant ses petits loches pointus et je me suis sentie envahie d’une vague de chaleur et d’excitation. J’ai pris sa main et l’ai entraînée jusqu’au tram. L’ayant raccompagnée à son domicile le soir de notre rencontre, je savais où était son appartement et décidais de nous y conduire. Je crois que de nombreux gars nous ont lancé des remarques salaces durant que je profitais d’elle, mais nous n’y prêtions pas attention. Je sentais les frissons devant sa peau, et ses tétons qui se dressaient tout envers les miens. En un rien de temps nous étions à son domicile, et dans le calme de l’ascenseur je glissais ma main dans son jean. Elle était arrosée, alors j’alternais entre sa bouche et son shorty, pour lui faire goûter sa cyprine. J’y goûtais notamment, elle était grosse, en prenant en compte un mignon goût sucré. Je claquais la porte de son appartement et nos ébats reprirent.
Il lui arrivait notamment d’emmener en prenant en compte elle une ou de nombreux de ses conquêtes jusque dans la maison du bord de mer que ses parents leur avaient offerte à elle et à sa soeur Guylaine Une fille grosse de vingt ans, bâtie comme une athlète en prenant en compte des loches en pomme aux aréoles brunes et aux tétons épais et durs ! Elle avait notamment un minou de fente aux larges pommettes, des yeux verts en amandes, des lèvres charnues et voluptueuses ! Et des doigts aux ongles ras qui savaient ravager les pétasses en prenant en compte toujours plus d’efficacité que les gros sexes de garçons ! Sans parler de son pubis à la toison touffue de sa fente aux lèvres épaisses et d’un clitoris de la taille d’un minou de garçon qui bandait comme une braie tige et que Sophie adorait enculer entre ses lèvres pour faire gémir Guylaine qui, allongée tête bêche devant elle la faisait gémir à son tour, les soirs ou ni l’une ni l’autre n’avaient de partenaire draguée la veille ou dans la journée et qui les inondaient de leur souffrance la fente, ensuite incrustée dans la leur en écrasant leurs clitoris l’un envers l’autre ce qui les faisaient bramer de souffrance entre deux coulées de cyprine échangées en prenant en compte la partenaire en question ! Dans cette maison du bord de mer, en réalité située devant une grosse île de l’océan atlantique, il y venaient notamment des garçons la plupart du temps des joueurs de tennis d’un niveau toujours supérieur à celui de Sophie et à laquelle ils servaient de partenaires devant les courts du club de tennis de l’île ! La plupart du temps, Sophie s’arrangeait pour inviter ensemble des garçons qui aimaient la fréquentation d’autres garçons ce qui lui évitait d’avoir à subir les assauts de mâles en quête de partenaires dans un lit et qui lui permettait ; à elle, de vivre en toute plénitude les élans sexuels qu’elle partageait en prenant en compte des pétasses notamment gouines qu’elle et qui comblaient ses nuits de délires partagés !
En dehors d’Ingrid, la numéro un mondiale de tennis qu’elle avait aimée en prenant en compte délire et délices, le temps d’un après-midi et d’une nuit et qui avait vingt cinq ans, Sophie s’était aperçue que lorsqu’elles étaient dotées de tendances lesbiennes, plus les pétasses étaient merveilleuses plus elles étaient audacieuses, sensuelles et déchaînées au lit ! Si milieu qu’elle avait tendance à privilégier dans ses choix les adolescentes très merveilleuses qui venaient rôder autour d’elle en connaissant ses penchants en prenant en compte l’espoir de se retrouver en prenant en compte elle sous la douches ou dans son lit ! Elle leur offrait son expérience, sa sensualité débordante et ses caresses habiles en échange de leur jeunesse de leur fraîcheur, de leur clito toujours presque vierge et de leur inexpérience compensée par un désir de gémir en prenant en compte elle autant qu’il était normal ! Et dans sa maison du bord de mer, les soirées mixtes n’étaient pas tristes, d’abord parce qu’on y buvait du whisky sans retenue et parce que les esprits et les corps alcoolisés perdaient toute pudeur et surtout avaient tendance à vivre un exhibitionnisme qui faisait que souvent et surtout souvent des doigts et des lèvres masculines s’égaraient dans des chattes velues ou rasées mais toujours inondées et béantes et qu’a l’inverse des doigts et des lèvres féminines partaient à la découverte de queues plus ou moins imposantes mais toujours bandées et prêtes à répandre leur croupion viriles entre des lèvres féminines gustatives des saveurs mâles presque autant que des coulées de cyprine, pourtant leur liqueur favorite !
Ingrid la championne qui n’avait pas oublié les dizaines passées dans les bras de Sophie qui ce jour là s’était surpassée dans la qualité de ses élans et caresses, eut l’idée parce qu’elle en avait envie, de faire venir Sophie aux États Unis à un instant où elle se consacrait à son entraînement ! Sophie comblée de douleur, ayant pris un congé spécial dans son métier d’hôtesse rejoignit la stressante championne dans la superbe maison qu’elle possédait en Californie et les deux pétasses y vécurent une lune de miel que ni l’une ni l’autre n’oublieraient jamais !

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