L’Amour est dans le Pré
Facile de titré mon message je n’invente rien, mais dans mon cas « l’amour est dans le pré » ne fait pas référence à l’émission de M6 présentée par Karine Le Marchand. Non je n’ai pas rencontré un agriculteur en mal d’Amour avec qui j’ai fait ma vie. Mon aventure est bien plus coquine!
Bon avant je me présente, Maïténa femme sexy de 26 ans, grande passionnée de randonnée ce qui me permet d’avoir un joli cul bien galbé que j’aime enfermé dans un short moulant. Mon aventure coquine s’est déroulé voici 2 ans. En vacances dans le massif du Vercors en plein mois de septembre, je me suis inscrite à une randonnée pédestre organisée par l’office de tourisme.
Ce matin là, le soleil est au rendez-vous, alors je choisi une tenue de randonnée des plus sexy car j’aime que l’on mate mon corps.
Petit short en jeans découpé bien court qui laisse apparaître le dessin de la courbe de mes fesses et mets en valeur mes cuisses musclées, un débardeur blanc près du corps qui épouse parfaitement mes lignes et ne laisse aucun doute sur le fait que je ne porte pas de soutif, mes seins tout ronds (un beau 90C) ballotteront ainsi gentiment au gré de mes pas, lunettes de soleil, chapeau, sac à dos…. je suis à l’heure, 10h30 pile au point de rendez-vous devant une écurie très réputée dans la région.
Mon bel étalon
Après 10 minutes d’attente je suis toujours seule et arrive un grand beau jeune homme, la trentaine blond, musclé super bien foutu de partout.
Il se présente: -Richard, votre guide de randonnée pour la journée, nous pouvons y aller?
Passé le délai d’admiration du beau Richard, j’atterris d’un coup: – Euh, nous n’attendons pas les autres participants?
– Jeune fille, en cette période les activités touristiques sportives perdent en popularité. Vous êtes seule je suis votre serviteur!
Mon serviteur…. le pied je me redresse et poitrine en avant je le suis sur le chemin de randonnée!
Nous marchons pendant plus d’une heure, je bois toutes ses paroles, je ne cesse de l’allumé, le frôlant à chaque occasion, affichant des sourires et des regards évocateurs par dessus mes verres fumés.
Et puis j’ose le chauffer prétextant de refaire mon lacet, je me penche sans plier les genoux juste devant son regard ébahit et enfin il se lâche, il effleure la peau fine et douce du bas de mes fesses. Ce contact, cet instant de fusion me semble si intime que j’en frémis. Richard retire aussitôt sa main et redeviens très sérieux m’indiquant que nous devons prendre un chemin non balisé mais sécurisé qui nous permettra de profiter du paysage et de faire une pause déjeuner.
Telle une effrontée je rétorque: – Bien monsieur le guide je te suis! (il ne relève pas le tutoiement, un point pour moi)
Il a dit vrai la balade est sympa et nous arrivons rapidement dans un pâturage sauvage. Il m’indique un coin bien herbeux pour nous installer pour déjeuner… Je renouvelle mes avances penchant devant lui pour déposer mes affaires, il en tremble je le vois. Il se jette au sol et s’allonge sur le dos en soufflant bruyamment, il est à crans l’envie monte tout comme la chaleur.
Je vais tout faire pour l’exciter, j’ai vraiment envie de lui… Je m’assois à côté de lui, sors ma bouteille d’eau et pour me rafraîchir je m’arrose le corps d’eau fraîche, gémissant de plaisir.
Mes seins sont carrément visibles sous le débardeur blanc maintenant transparent, quand à mon short, il reçoit toute l’eau de la bouteille en me refroidissant au passage le feu que je nourris entre les cuisses.
Richard craque, il se laisse aller à me toucher, il me renverse en arrière et passe au dessus de moi. A califourchon, une jambe de chaque coté des miennes pour m’éviter de bouger.
-tu as trop joué avec mes nerfs, Maïténa !
-J’espère bien, j’aime les randonnées sauvages dans tous les sens du terme. Embrasse-moi !
Sa main glisse sous mon débardeur et s’empare d’un de mes seins. Sa bouche se presse contre la mienne, sa langue se glisse jusqu’à la mienne. Je lui offre ma bouche tout entière, jouant avec sa langue comme s’il s’agissait d’une friandise très sucrée. Son corps ainsi appuyé sur le mien me permet de sentir son érection, il est vraiment bien bâti cet étalon!
Il fait passer mon débardeur par dessus ma tête et inonde ma poitrine de baisers, descend jusque sur mon ventre et remonte ses lèvres en passant sur les flancs. Je ne reste pas à rien faire et lui passe mes mains dans les cheveux. Ses cheveux tout ébouriffés, autant que mes sens, c’est si bon en ce moment et dans cet herbage paisible. Il revient s’amuser avec mes seins, pinçant et mordillant mes tétons. Il tire doucement dessus et voyant que j’apprécie il tire plus fortement, c’est douloureux mais si bon.
Je glisse mes doigts sous sa ceinture, dégrafe son short et le pousse vers le bas de ses fesses le plus possible malgré ma faible longueur de bras. Avec ce mouvement, ses mouvements, une surprise m’attend.
-Richard, chaud lapin ! Tu n’es pas moins joueur que moi, dis donc ! Tu n’as pas de sous vêtement!
Redressé devant moi, avec un sourire enjôleur qui me fait encore plus fondre pour lui, j’empoigne sa bite bien dressée et commence à le branler sans pudeur. Quelques mouvements de vas et vient ne me permettant pas de profiter de toute sa longueur étant donné qu’il est toujours à califourchon sur moi. Il ne fait plus de détail et se relève d’un bon, me laissant pantois sur l’herbe. En un geste il jette son t-shirt dans l’herbe, fait sauter ses chaussures et retire son short.
-Whaouh, tu es encore plus musclé et beau que je ne le pensais ! Un véritable apollon. Hummm
Je me déshabille à mon tour intégralement en lui offrant un long spectacle sur mes seins dansant pendant que je baisse mon short en jeans qui me colle à la peau. Ma minette à l’air libre prend le frais en appréciant grandement la sensation des brins d’herbes qui viennent la frôler. J’ai pris pour habitude d’entretenir de très près la toison intime, pour ne pas dire de ne pas laisser de poil pubien dessus. S’il y a 3 millimètres de toison, c’est vraiment le maximum. J’aime quand mes amants sont eux aussi dépourvu de poils pubien, il est donc normal que j’en fasse de même. Maintenant nus tous les deux, nous nous contemplons quelques secondes. L’instant d’après, je suis à genoux juste devant sa verge dressée comme une barre de fer. Fière, droite, épaisse, veinée, parfaite quoi. Je la prends en bouche délicatement pour en savourer chaque petite parcelle et découvrir le plus possible ce jouet formidable qu’il me présente. Sa main dans mes cheveux, mes seins à l’air, un rayon de soleil dans le dos, une bonne bite dans la bouche, il n’en faut pas plus pour rendre une femme heureuse, je vous assure. Je joue avec ma langue sur son gland et ensuite son frein. D’abord hésitante car je sais que de nombreux hommes n’aiment pas cela, je deviens plus joueuse avec cette petite partie. Il a l’air d’apprécier pleinement en tout cas, ses mains ne cessent de se crisper pour me contraindre à avaler entièrement.
-Ne soit pas si pressé, je vais y aller ! Profite, comme moi.
Il se laisse faire et j’en profite encore plus. Jouant avec le bout et me rapprochant de plus en plus de son bas ventre à tour de rôle. Je finis par engloutir complètement son sexe. En gorge profonde, en ouvrant ma gorge complètement, il l’a sa pipe, et moi je l’ai aussi. Pleinement en moi, je continue de jouer avec en remontant lentement de ma gorge pour la mettre sur ma langue. Mes mains font rouler ses deux pruneaux de plus en plus gros, comme entrechoqués l’un contre l’autre, les sensations sont encore plus intenses pour les hommes. Jamais personne n’a pu résister longtemps à cette pratique. Quelques secondes plus tard, je confirme que personne ne peux résister quand je sens le gout de son sperme poindre dans ma bouche, j’adore le gout du liquide pré éjaculatoire, mais je ne veux pas le faire éjaculer si tôt. La suite de cette histoire