J’ai 36 ans et ma femme 35 ans, depuis que nous sommes ensemble, nous avons put tester pas mal de chose et faire pas mal de chose. Nous avons essayé l’exhib, les sextoys et autres petites coquinerie, mais depuis un certain temps, l’envie d’aller plus loin pour raviver une certaine passion sexuelle commençait à poindre son nez. C’est en parlant, petit à petit que le mot libertinage fut lâché, ni par l’un ni par l’autre particulièrement, mais par les deux. C’est venu à nous naturellement, et franchement, c’est mieux que l’infidélité, enfin, en ce qui nous concerne. Moi Cédric, j’ai finit par fantasmer sur le fait de voir un autre homme baiser ma femme sur Lyon, mais pas seulement. A force de jouer tous les deux avec les sextoys et le gode ceinture, à force de la voir prendre du plaisir à me sucer la bite, j’en suis arrivé au point de vouloir moi aussi gouter à ces plaisirs, à une bite, pas simplement sucer un gode, si réaliste soit-il.
De là à la tromper avec une autre femme, ou même avec un homme, non merci, mais partager un homme tous les deux, ou une femme, à oui, l’idée me plaisait fortement. Un soir je lui ai parlé de cette idée. Et si nous pratiquions le libertinage sur Lyon pour rebooster notre sexualité, mais pas avec un couple, du moins pas maintenant, mais avec une femme si elle le souhaite, mais surtout avec un autre homme. Je lui fais part de mes envies, en lui expliquant clairement que je souhaite un homme pour elle, et pour moi.
-Comment ça pour toi ?
-Oui, je veux te voir prendre du plaisir avec un autre homme, mais je veux également profiter de lui. Je veux lui sucer la bite comme tu le fais. Je veux qu’il vienne en moi, comme toi avec ont gode ceinture.
-Ah, tu te décides. Tu es sûr de toi ?
-Oui. Je crois que nous allons prendre du plaisir tous les deux.
Nous continuons à parler de ce trio toute la soirée, à savoir ce que nous admettions de faire et de ne pas faire, à ce donner un code si jamais nous nous sentions pas bien le moment venu, mais surtout, nous commençons les recherches.
-Tu veux que l’on appel Pascal, ou un autre ami ?
-Chéri, ce n’est pas qu’ils ne sont pas appétissants, même loin de là, mais c’est tout de même risqué de faire du sexe et de partager notre couple avec un ami, surtout la première fois, tu ne crois pas ?
-Oui tu n’as pas tort, mais alors qui ?
-Il y a un stagiaire dans mon entreprise lyonnaise. Il n’arrête pas de me regarder attentivement, je peux peut-être tâter le terrain ?
-Mais je ne sais pas qui il est. Après tout essaie, on verra bien, tu connais mes gouts de toute façon.
Et nous voilà au beau milieu de la nuit, avec l’idée folle de réaliser notre premier trio libertin.
Le grand soir arrive rapidement. Un vendredi soir. Ma femme me la détaillée sommairement, mais sans entrer dans les détails non plus, laissant planer le suspense au dessus de ma tête. Qu’est ce qu’elles peuvent être coquines les lyonnaises tout de même. Isabelle sort de la salle de bain avec un micro robe qui ne demande qu’à remonter sur ses hanches à chaque pas qu’elle fait. Robe moulante qui souligne ses hanches et ses fesses bien rondes que j’adore cajoler ou martyriser, et pour le haut, un décolleté largement prononcé comme j’aime aussi. Un décolleté laissant apparaitre une large vallée entre ses seins, 95 D, de 35 ans. Des seins lourds, fermes, ronds, un régal, tant pour les yeux que pour toute autre activité.
Elle m’a fait mettre mon jean noir et un polo ni trop ample, ni trop moulant, juste ce qu’il faut pour former mes épaules sans former mon ventre.
On sonne à la porte, ça ne peut-être que lui, David, le stagiaire lyonnais que ma femme fait venir pour notre trio. Je n’ai pas le temps d’arriver à la porte, qu’elle l’a déjà ouverte en grand. Mon cœur s’emballe instantanément. Je ne le vois qu’en partie pour l’instant, c’est un homme assez grand, d’une belle couleur ébène foncée. Il fait la bise sur les joues de ma femme qui se redresse sur ses hauts talons pour qu’il ne se baisse pas de trop. Je sens déjà ma bite gonflée d’excitation en voyant la cambrure de ma femme ainsi faite.
-Cédric, je te présente David, notre invité.
-Enchanté, lui dis-je en lui serrant virilement sa main, malgré que ma main soit largement enveloppée dans la sienne.
-Tout le plaisir est pour moi. Isabelle m’a beaucoup parlé de votre couple et de toi.
-Ah, en bien j’espère. Entre, ne reste pas dans l’entrée.
Nous allons tous les trois dans le salon, Isabelle, David et moi pour finir la marche. Assis Isabelle et moi dans le canapé, nous nous caressons la main face à notre nouvel ami et bientôt amant lyonnais. Un verre dans l’autre main, la discussion n’est ni désagréable ni déplaisante, juste comme des amoureux qui se toisent, qui s’appréhendent petit à petit. Cette situation me rappelle tant les jeux de séduction d’étudiants que je ne me rends même pas compte que je bande jusqu’à ce qu’Isabelle touche la bosse de mon pantalon.
-Ca à l’air d’aller Cédric dit-elle en me caressant le pantalon.
-Oui en effet, excuse-moi, excuse-moi aussi David.
-Il n’y a pas de mal voyons, je sais ce que c’est de bander.
Isabelle fière de moi devant pareille érection me libère la bite en ouvrant le pantalon sans autre forme de procès. Elle écarte l’élastique de mon caleçon pour que ma queue prenne toute sa taille et se déroule toute dressée.
-Tu sais ce que c’est, mais tout de même, n’est-elle pas trop imposante, plus imposante que la tienne ?
-Pas vraiment !
-ah bon ! je ne demande qu’à voir ça.
Isabelle se lève en laissant sa jupe remonter volontairement. Elle s’assoit à coté de David et tout en le regardant dans les yeux lui ouvre le pantalon. Elle me fait la même chose gardant la surprise de taille pour le final.
Quand sa queue ébène sort de son boxer je ne peux restreindre un cri.
-Ah oui, en effet.
Isabelle regarde cette queue bien plus épaisse que la mienne et de 5 bons centimètres plus longue que la mienne.
-Wouahou, quel engin, c’est à se demander comment tu fais pour ranger ça la dedans.
Ni plus ni moins, la seconde d’après elle avait déjà la bouche et la langue enroulées autour de sa queue noire.
-Tu ne viens pas Cédric. Je croyais que tu voulais gouter une bite et sucer comme je le fais.
-Euh… Oui… J’arrive
J’arrive, c’est vite, dit, oui c’est moi qui ai voulu, mais tout de même. Je prends mon courage à deux mains et viens à mon tour embrasser cette bite, découvrir les sensations d’avoir une queue dans la bouche, et pas n’importe laquelle en plus.
Je me mets à lui sucer la bite aussi bien qu’Isabelle me le fait. Je joue avec son gland, je passe ma langue de chaque coté en essayant de l’avaler assez profondément. Elle est tellement longue que je n’y arrive pas, mais ce gland, quel puissance, quelle douceur et pourtant si ferme. Je comprends que les femmes adorent tailler une bonne pipe.
Isabelle nous dit, à David et à moi que nous serions tout de même mieux installés dans la chambre. En arrivant dans la chambre, notre chambre. Elle monte debout sur le lit et commence à faire descendre sa robe, laissant voir de plus en plus ses seins magnifiques et ses hanches de rêves. Il ne lui reste qu’un petit string pour cacher son triangle d’amour.
-Cédric, mets toi nu, et rejoins moi. David, mets toi nu et allonge toi sur le lit.
Nous nous exécutons tous les deux. C’est fou comme elle est grosse sa queue ! Je ne peux pas m’empêcher de la regarder, de l’admirer, elle m’attire tant.
David allongé sur le lit reçoit l’entre jambe d’Isabelle sur le visage. C’est elle qui vient profiter d’un cunnilingus en lui savourant la bite.
-Accompagne moi Cédric, nous ne serons pas trop de deux pour sucer un engin pareil.
Je ne me fais pas prier pour profiter de ce bel engin fièrement dressé, au point même que je le suce tout seul. Isabelle me regarde faire profitant des coups de langue de notre nouvel ami. Elle me regarde sucer une grosse bite et prendre plaisir à sucer. Je joue avec ses testicules toutes lisses et bien gonflées, j’ai une folle envie de les gober et de le sentir en moi.
C’est en entendant jouir Isabelle que je me rends compte que je n’ai rien regardé, que je n’ai pas profité du spectacle pour me concentrer uniquement sur cette belle bite ébène.
-Eh bien, ça va Isabelle, il a l’air d’être aussi performant de la langue que bien membré notre David.
-Oh oui, tu ne m’as jamais fait un cunnilingus pareil !
-Merci !
-Ne le prend pas mal, mais franchement, c’est le pied, à moins que je ne sois encore plus excitée par ce que je te vois sucer une bite. David, tu n’aurais pas envie de glisser ta verge dans un autre endroit ?
-Oh si ma belle avec plaisir, tu le veux dans lequel.
-Non pas dans le mien si cela ne te dérange pas, plus tard pour moi. Là je suis au bord de la crise de nerfs avec ton cunnilingus, mais tu pourrais peut être assouvir le fantasme de notre timide Cédric.
-Avec plaisir, son petit cul me plait bien.
Il me guide pour que je me mette sur le bord du lit. La tête sur le matelas, les fesses en l’air, comme Isabelle lorsque je m’apprête à l’enculer. Je sens son doigt humidifié passer sur ma rondelle. Une petite poussée et il glisse son doigt dedans. David s’amuse avec son doigt, il le fait tourner, sortir, rentrer.
-Ne fais pas le timide, vient !
-Je ne voudrais pas que tu es mal, ma petite lope.
-Attends bouge pas, je reviens.
Isabelle va à l’extrémité de la chambre et sort notre gode ceinture, un spécimen de bonne dimension en largeur et en longueur.
-Tu vois avec quoi l’on joue ?
-Ah oui, monsieur Cédric est un grand gourmand.
Ce n’est plus son doigt que je sens passer sur ma rondelle, c’est son gland, son gros gland violacé que j’ai sucé avec gourmandise.
En quelques secondes, il vient de faire entrer sa bite en moi, comme dans du beurre. Je le sens bien en moi, il commence à me pistonner, de plus en plus énergiquement j’adore.
-Ca va ? Me demande-t-il
-Oh oui ça va.
-Je peux tout mettre alors ?
-Défoule-toi lui répond Isabelle avant même que je ne parle.
Je pensais naïvement qu’il m’avait glissé toute sa bite, mais non, il en reste dehors, et même pas mal de centimètres. Il me pistonne carrément maintenant. Tous ces centimètres de vraie bite, pas du plastique, c’est excitant, c’est bon, c’est trop bon, je peux sentir mon cul cassé en deux, ma verge gonflée à bloc, comme jamais, et mes couilles rebondir dans tous les sens tellement il y va fort. Isabelle profite de la situation pour venir se mettre devant moi. J’ai le loisir de lui donner quelques coups de langue quand il ne me secoue pas trop fort, ou de lui tamponner son clito quand il vient trop fort au fond de mon cul. Je me sens plein de plaisir, je me sens soumis, mais tellement puissant en même temps.
-N’éjacule pas en moi par contre.
-Ne t’inquiètes pas, je suis encore loin de l’éjaculation, même si j’adore être dans tes petites fesses. Il faut tout de même penser à Isabelle, on ne va pas la laisser simplement avec des cunnilingus.
David me pistonne encore quelques temps. J’en profite largement pour avaler la mouille dégoulinante d’Isabelle, c’est simple, je ne l’avais jamais vu mouiller autant jusque maintenant. Nous prenons un maximum de plaisir tous les deux. Le moins que l’on puisse dire c’est nous avons grandement réussi à pimenter notre vie sexuelle ce soir.
Après m’avoir limé les fesses, David est venue baiser Isabelle à son tour. Je ne peux tout de même pas lui refuser cela, il faut absolument qu’Isabelle sente sa grosse verge à son tour. David la prend en levrette tout d’abord pendant qu’en profite pour planter ma verge dans sa belle bouche à pipe. Nous baisons ma femme tous les deux. Moi dans sa bouche, ne me souciant que de son plaisir et en contrôlant mon excitation le plus possible, pendant que David lui harponne la fente aussi fort qu’il me l’a fait quelques minutes avant. Je comprends qu’elle aime cette position, on peut sentir toute la bite, c’est parfait. Isabelle gémit, elle jouit, une fois, deux fois, elle est toute en sueur, David aussi à force de s’activer en nous deux.
S’en est de trop pour moi, j’éjacule en gros jets de sperme, sans même prêter attention que je suis dans la bouche d’Isabelle. Elle ne rechigne pas à l’ouvrage et avale le sperme. Isabelle n’avait jamais avalé mon sperme jusque là.
-Désolé, je ne voulais pas.
Tout en étant encore pistonné par David, elle me regarde avec un grand sourire mais la bouche fermée. Elle s’échappe de l’emprise de David et vient vers sa verge toute humide. Isabelle lui retire le préservatif et pose sa bouche sur son gland. D’un long mouvement de va et vient, elle le masturbe tout en lui léchant le gland. Elle m’attire à eux par son autre main pour me guider vers sa verge toute droite. Sans même dire un mot, elle pose ma bouche sur la bite de David pour que je lui fasse une fellation. Elle appuie sur ma tête pour enfoncer cette belle bite dans ma bouche. Je n’ai pas le choix, il faut que je suce David, ce qui est loin de me déplaire, même si je commence à comprendre ce qu’elle veut.
Sans dire un mot, elle bouge le bassin de David dans ma bouche pour qu’il me baise la bouche, en quelques minutes, David éjacule tout son foutre sur ma langue, dans ma bouche. Sa main toujours sur ma tête, je ne peux pas reculer.
David se détend, et moi j’ai toujours le sperme de David dans ma bouche, pas moyen de l’avaler, c’est trop chaud et gluant, sans être de mauvais gout. Isabelle vient poser ses lèvres sur les miennes et nous nous embrassons amoureusement en laissant mon sperme et celui de David se répandre dans nos bouches. Deux spermes mélangés à nos salives, mélangés au gout de sa cyprine, nous avalons tout sans nous préoccuper de David.
Nous restons tous les trois étendus sur le lit, chacun sur l’autre, dans le désordre le plus complet, nous ne parlons pas, il n’y a que les respirations qui se calment petit à petit et les caresses des mains sur les partenaires que nous pouvons entendre.
Chacun prend une douche et nous nous retrouvons dans le salon, à la même place qu’il y a de cela quelques heures. La soirée s’est terminée plus calmement, mais depuis, nous avons revus plusieurs fois David, qui n’est plus qu’un stagiaire, mais aussi notre partenaire de soirées sexe sur Lyon.
D’autres partenaires tout aussi bon amant viennent nous rejoindre dans noter lit. A vrai dire, si la majeure partie du temps nous passons une annonce pour rencontrer d’une cougar et faire plaisir spécifiquement à madame, il nous arrive de chercher uniquement des hommes gays pour s’occuper de moi, et des couples pour s’occuper de nous deux.
Faut bien avouer qu’avec la rencontre cougar sur Lyon comme on la vit, madame n’est jamais restée sur sa faim. Non seulement car elle sait faire bander longtemps les jeunes hommes, mais peut-être également par le fait qu’ils sont un peu chamboulés par notre mode de vie. A près tout, ce n’est pas important. Ce qui compte, pour nous, c’est que la femme mature soit pleinement satisfaite sexuellement, baisée longtemps et par tous les trous, que ces orgasmes de cougars soient puissants et épuisants. Le sexe avec les femmes matures (sur Lyon ou pas), je le recommande à tous les jeunes hommes qui viennent ici lire notre récit sexe.