Il arrive aussi que Jonathan vienne me prendre alors que je suis en train de cuisiner. Alors que je prends soin d’avoir toujours le même short échancré avec sans rien dessous, je vaque à mes occupations. Quand je le vois débarquer dans la cuisine, je sais que je vais y passer. L’effet immédiat : ma queue commence à se gonfler et ma rondelle à se relâcher en prévision de ce qui l’attend.
D’un air de rien, Jonathan vient me faire quelques bisous dans le cou tout en commençant à flatter mon petit cul avec sa main. Séance tenante, j’arrête ce que je suis en train de faire et, la tête repoussée en arrière, je me laisse embrasser le cou et palper le cul.
Invariablement, Jonathan déclare « J’ai envie de toi ! », ou bien « J’ai envie de ton cul ! » quand il est déjà bien excité. De toute façon, ça se termine toujours de la même façon. Avec quelques variantes cependant.
Généralement, Jonathan commence par s’accroupir derrière moi, dégage ensuite la raie de mes fesses en tirant le short vers le haut. De mon côté, je lève une jambe pour lui faciliter l’accès à ma raie culière. Ainsi, cette façon, il a tout loisir de promener sa bouche le long de mon sillon fessier, langue la première.
J’apprécie trop ce moment où il commence à me bouffer le cul véritablement. Une jambe relevée sur le plan de travail de la cuisine, je lui offre ma rondelle à brouter sans ménagement. C’est généralement là que ses doigts entrent en scène. Ils m’écartent les bords du fion pour laisser le passage à sa langue agile et pointue qui me darde le trou.
Si Jonathan est pressé de me sauter, il se redresse et pointe sa pine au bord de mon trou mouillé de salive. Il commence toujours par me baiser tout doucement mais bien vite ce sont de grands coups de queue qu’il m’envoie dans le fond du cul, si forts que le plan de travail de la cuisine en tremble.
Ce dont je raffole aussi, c’est d’être défoncé sur la table de la cuisine. Je m’y allonge sur le dos, je relève les jambes, le cul bien au bord, prêt pour la saillie. Jonathan, très excité par ma position de petit vicieux qui lui offre son cul, ne tarde pas à me bourrer sans ménagement.
Je sens ses couilles butter contre mon cul à chaque va-et-vient de sa queue en moi. Je lui donne mes fesses comme une offrande. Il a tout loisir de les limer, tantôt doucement, tantôt avec acharnement.
Quand il accélère ses coups de queue et qu’il halète de plus en plus fort, je sais qu’il ne va pas tarder à me remplir. C’est le moment que je choisis pour me branler pendant qu’il me défonce comme un fou furieux. Nous arrivons assez généralement à être synchrones : Jonathan explose alors dans mes entrailles, y déversant tout son bon jus de mâle tandis que de mon côté je gicle ma jouissance, parfois tellement forte que je reçois mon propre jus sur la figure.