Avec Jonathan, mon copain, c’est toujours de la baise torride, et souvent ça tourne à la folie pure. Par exemple, ces derniers temps, depuis qu’il m’a enfilé dans la cuisine, il ne jure plus que par ça. Ca fait d’ailleurs des lustres qu’on n’a plus baisé dans la chambre. C’est une manie qu’il a pris et qui ne me déplait pas du tout, je vous promets. Ce qu’il préfère, c’est me prendre, alors que j’ai décidé d’astiquer le sol. Lui, pendant ce temps m’en empêche… en m’astiquant… le cul !
La première fois, c’était lors d’un après-midi où il faisait très chaud. Je n’avais mis qu’un débardeur très échancré ainsi que d’un short, très échancré également, mais sans rien en-dessous. Il s’approcha de moi par derrière, alors que j’étais très péniblement en train de travailler, la sueur au front. Il commença à me passer doucement les mains sur les fesses à travers le tissu léger. J’allais me relever pour m’offrir à lui sur notre lit, mais il fit pression de sa main sur mes reins, m’invitant à rester à même le sol et dans cette position. Ses poignets se posèrent sur mes chevilles, comme pour prendre appui.
Il m’a dit :
– Frotte bien fort le parquet, ouiii, continue ! Tu vas voir comme je vais bien te faire jouir des fesses, encore une fois…
J’étais un peu gêné, mais le gêne a très rapidement fait place à l’excitation et l’envie de découvrir un plaisir encore nouveau. Ses mains se sont mises à s’infiltrer, chacune dans chaque jambière, en remontant mes cuisses jusqu’à mon anus, qu’il n’avait pas trop de mal à le voir intégralement en tirant légèrement le tissu. De ses doigts, il s’est mis à me le caresser, à le faire mouiller, jusqu’à ce qu’il me doigte en bonne et due forme.
Ma rondelle s’ouvrait peu à peu face à cette intrusion. Je me suis laissé aller. Il a approché sa tête de mon entre-fesse et doucement en approcha sa bouche jusqu’à ce que ses lèvres, puis la langue, caressent mon trou.
De mon côté, je n’attendais plus qu’une chose: me faire prendre, dans cette position et le plus vite possible ! Mon bas-ventre et mes couilles se contractaient légèrement de plaisir. J’étais déjà super excité quand il présenta le bout de sa queue à l’entrée brûlante de mon anus.
Sans peine, en m’ouvrant et me détendant le plus possible, j’étais prêt à engloutir sa pine que j’adore. Puis il s’est mis à aller en moi, lentement au début, puis de plus en plus vite ; en fait trop rapidement, tellement nous étions tous les deux très excités. Il a joui en moi, comme ca, et j’ai quant à moi giclé sur le parquet… que j’ai dû ensuite re-nettoyer ! Je me rappelle encore de cette première fois comme si c’était hier.
Maintenant, c’est systématique… C’est l’éternel recommencement dans la cuisine, comme si on ne l’avait jamais fait ! Et il faut dire que c’est surtout quand ça me prend de faire le parquet que lui, il vient me fourrer sa bite au cul.
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