Nouvelle coquine femme soumise

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Le vernis des portes de placards, comme les chromes de la salle de douches du vestiaire des pouffiasses, brillaient de tous leurs feux ! Ce vestiaire féminin était celui du stade Roland Garros, l’un des temples du tennis mondial ! Assise sur la grosse planche qui courait sous les placards et servait de siège, une jeune femme soumise d’environ vingt cinq ans, les nichons nus, se penchait en avant pour délacer ses chaussures et enlever ses chaussettes, après la séance d’entraînement qu’elle venait de vivre ! Une fois nus ses pieds laissèrent des marques humides sur le sol ! Elle se redressa et retira sa resplendissante culotte avec difficulté car elle était incrustée en tortillon dans sa raie mouillée de sueur après l’effort ! Cette jeune femme soumise, prénommée Ingrid était la numéro un mondial de ce sport et était venue à Paris pour disputer le Tournoi qu’elle avait déjà remporté deux fois ! Elle était célèbre dans le monde entier et ravie de venir en viens de le gagner une troisième fois ! En se redressant son possible à fait, avant de venir sous la douche elle jeta un regard circulaire dans le vestiaire pratiquement désert,à cette heure un peu tardive de l’après-midi, mais remarqua une jeune femme soumise de son âge assise sous l’un des placards assez proche du sien. Et qui, nue comme elle, la regardait avec intensité en se caressant la touffe et l’entrecuisse et en se humant les doigts, comme pour la provoquer !

A la voir boire plus que d’habitude, un projet commence à germer dans ma tête, « et si je vivais un de mes fantasmes ce soir ». Je décide de m’approcher et de me mêler à la foule. Elle rougit en me regardant, elle se sent un peu mal à l’aise, son possible le monde nous surveille, se demandant comment je vais réagir vis-à-vis de la personne qui m’a piquer mon copain ? .
– coucou Hailey, tu vas logement ?
– Euh ? . Et logement oui, ça peut aller, je suis heureuse que tu viennes me parler !
– Et logement nous étions amies, et certes t’as fait une connerie mais je suis suffisamment adulte pour passer outre. Je te paye un verre ?
– Avec bon souffrance, mais j’ai pas mal bu et j’ai la voiture après ?
– Pas de soucis, avec le nombre de personne présentes ce soir, il y aura logement quelqu’un pour te loger au besoin. Tu bosses demain ?
– Oui, t’as raison en plus je suis là pour faire la fête, ok, pour le verre. Et non, demain matin grasse mat’. Mon plan était sur la resplendissante voie, je sens que je ne vais pas repartir seule ce soir et quelque chose me dit que Hailey ne se doute pas un instant de ce que je pense. Un verre, puis deux, trois ?… et là quelques uns de nos amis décident de finir la nuit en boite mais Hailey ne se sentant pas très logement, elle refuse. Son possible le monde s’inquiète mais je me offre de m’occuper d’elle, de toute façon je n’avais pas tellement envie de venir danser ? . (ha si seulement ils savaient ce que j’avais en tête). Une fois tous nos amis partis, je prends les clés de voiture à Hailey et direction mon appart. J’habite juste à côté, mais elle trouve le moyen de s’endormir. Merde, j’espère qu’elle n’est pas trop ivre son possible de surtout ! Sur mon parking, je vois que sa jupe a remonté laissant à ma vue ses jolis bas noir et son shorty blanc. Après m’être fournie que personne ne peut nous voir et notamment qu’elle dort logement, je lui ouvre les cuisses et tire un peu sa culotte sur le côté. Il faisait sombre, mais le peu que je vois, me pousse à continuer l’aventure. Je redescends sa jupe et réveille ma beauté. En arrivant au pied de mon escalier, je suis obligé de la soutenir et Hailey me dit :
– Ho ma chérie, je suis désolée, je suis dans un état ? .
– Rassures toi, je vais logement m’occuper de toi, une fois chez moi, je te ferais exploser un bon bain, ça va te faire du logement ?
– Ok, je te fais confiance ! (hihi, si elle savait ce qui l’attend, mais là elle se concentre plutôt sur le fait de ne pas être malade, ce qui m’arrangerait en fait). Une fois dans l’appart, je l’installe dans mon salon avec un bon café et je vais lui faire couler un bain logement chaud ? de la mousse, un peu de musique ! Une fois que son possible est prêt, je vais la chercher et l’amène à ma salle de bain. Je commence par lui enlever son gilet, je me mets à genou envers elle, lui retire ses escarpins.
– Mais que fais-tu ? je peux toujours me déshabiller toute seule !
– Hailey, tais-toi s’il te enchante ! laisse-moi faire, tu tiens à peine debout !
– Je t’en prie, arrête ? Elle essaye de me repousser mais perd l’équilibre !
– Tu vois, Hailey, tu as failli tomber, laisse-moi m’occuper de toi ! Qu’as-tu à craindre, j’ai déjà vu une femme soumise nue ?
– Oui, c’est vraie mais j’avoue que cela me gêne, notamment vu notre passé commun. Je me redresse et lui glisse à l’oreille :
– Pour cela que ? parce que je t’ai désiré, parce que tu avais envie de moi, de mes lèvres de ton corps il y a quelques années ?( je sens qu’elle est prise de frisson )
– Non, non, c’est pas ça ! ! me dit-elle
– Ha oui ? donc si il me prenait l’envie de t’embrasser dans le cou, là, à l’endroit que tu aimes tant, cela ne te ferais rien ? ? ?
– Arrêtes s’il te enchante ! ! Bon je décide d’y aller plus doucement, mais cette situation commence à me dévétir un peu quand surtout.
– Ok, bon aller laisse-moi te déshabiller, je ne voudrais pas que tu tombes ? Elle ne dit rien mais hoche de la tête.

Mon autre main viens sur son ventre doux. Le nombril n’a plus de secret pour moi. Puis je vais plus bas, sur sa courte fourrure. Je la peigne un peu avant de commencer une reptation vers ses secrets, ceux qu’elle adore se viser. J’en sens l’humidité juste avant d’aboutir sur son bouton durci pas le désir. Un seul doit me suffit pour le instant. Je le fait coulisser. Elle se donne vers la main. Ma branlette n’est pas ravissante comme le sienne, il n’empêche qu’elle arrive à exploser son souffrance. Pour monter son souffrance ses dents me mordillent la langue. Elle en veut d’avantage. Je viens entre ses cuisses, mes jambes la bloquent : elle ne peut plus s’échapper. Je pose mes nichons envers les siens. Il me semble qu’ils s’écrasent. C’est enthousiasmant, je ne voudrais pas que cet instant de retrouvailles cesse. Elle enfonce sa langue dans ma bouche, elle me veut. Sa salive m’excite. Elle l’aura voulu, je me tourne sur elle, ma tête va sur son ventre. Je vois son possible son visage, sa choune, sa moule. Elle me enchante au fréquent. Je raffole du comme une dingue. Mon souffle fait bouger les quelques poils rebelles de sa choune. Son odeur chatouille mes narines. C’est enthousiasmant cette odeur de cyprine d’une femme soumise pleine de désirs : elle n’a heureusement pas prit le temps de se laver les nichons avant : tant toujours. Ma tête descend vers sa choune. Mes yeux se ferment juste avant que ma languie soit sur son intimité. Juste avant de lui faire du logement je viens mes mains sous ses nichons pour lui faire relever un peu les cuisses. Cette fois elle est entièrement à moi. Je deviens vite soûle de sa cyprine. Elle est resplendissante, relevée juste ce qu’il me faut. Je prends son clitoris entre mes lèvres, je l’aspire le plus fréquent. Je la fais jouir son possible le temps. Elle me enchante, je vais la gâcher comme si j’étais un cannibale. Je la bouffe comme elle adore. Elle se laisse entièrement aller quand elle ;e jouit sans honte de mes oeuvres.

En remerciement mon amie tint parole et je passais une nuit au paradis en la regardant faire la ferveur avec sa soeur avec laquelle elle accoupla leurs deux vulves ruisselantes et leurs deux clitoris, tant et si logement que après avoir joui avec sa soeur, cette dernière se désaccoupla d’ avec elle pour venir chevaucher mon visage dressé vers le plafond que je branlais en les regardant se gouïner ! Tout au long de que, allongé sur le dos et sur le bon lit, je baisais sa soeur, mon amie vint s’asseoir sur mon visage pour m’offrir sa cramouille devenue marécage et son clito bandé comme une tige de garçonnet !

Aurelien

Coquin amoureux de la plume et des belles photos, Erosto, m' est comme un petit boudoir coquin permettant de mettre par écrit les plaisirs sexuels, les histoires érotiques et les nombreux conseils coquins pour les couples, les hommes et les femmes qui aiment comme moi pimenter leur vie sexuelle et agrémenter les soirées torrides pour le seul plaisir du partenaire

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