Mon directeur

40 ans, mariée, bien dans ma tête et mon corps, malgré nos belles et intenses relations amoureuses avec mon mari, je me suis laissé charmer, séduire par mon jeune Directeur…
28 ans séparé, et étant son adjointe dans cette grande chaine de restaurants-pizzeria, et malgré sa sulfureuse réputation, (quelques collègues de travail avaient succombées à son charme, et ne regrettaient rien), avec ces insinuations, allusions, j’en jouais quelques peu. Le soir à la fermeture, je prenais souvent un verre en sa compagnie, sans que mon mari en soit jaloux. Jamais il ne me faisait le moindre reproche. Pendant le travail, en toutes discrétions, mon directeur, me glissait mots doux…, « osait-même » quelques furtifs effleurements, sans que je ne le repousse.
Un mercredi soir de foot à la télé et de fort orage, le personnel pouvait pour une fois partir de bonne heure, car nous avions finit le service très tôt. Dans la semi-obscurité, au bar on prenait une coupe et encore plus entreprenant il était. Poussée par je ne sais qui ou quoi, je succombais.  Des plus excitée j’étais dans ces bras, et m’abandonnais de plus en plus à ces caresses !!! Sans qu’on ait de réelle ébats, il me « renvoyait » chez moi, presque frustrée que cela s’arrête !!!
Ce samedi soir-là de printemps, j’acceptais qu’on aille ensemble prendre un verre dans un pub, et pour la première fois je montais dans sa nouvelle Mercedes décapotable. Comme à l’accoutumée, je me changeais dans le vestiaire, et sans hésitations aucune, je portais une petite et courte jupe à pois noire et blanche, avec une chemisette sans manche assortie, avec deux ou trois pressions défaites sur ma petite poitrine.  Les Moritos bus firent vite leurs effets, et des plus détendue j’étais, et même quelques peu émoustillée j’étais. Très, très libre étaient nos conversations, et malgré la foule dans ce pub, « presque » correctement on se tenait, car je risquais d’être vue et reconnue.  D’une manière des plus convaincante, il me proposait d’aller faire un tour dans la campagne avec sa décapotable, et dans l’oreille acceptais l’invitation…

Hum, hum, oui, emmène-moi…lui dis-je.

Très vite on quittait les lieux, et prenions des petites routes de campagne, où accélérations vertigineuses se succédait à des ralentissements. Ne pensant plus à rien ni personne, je prenais un réel et intense plaisir loin de tout dans cette auto, et lui laissais tout le loisir, dés qu’il le pouvait de me caresser…, dénuder…, malgré la ceinture….  Alors qu’il stoppait l’auto dans cette campagne déserte, il m’invitait à prendre le volant : timidement j’acceptais et  prenant sa place, après de merveilleux baisers et caresses, je lui concédais de conduire chemise ouverte…. et même avec mon string ôté… !!! Oui, oui, quasiment nue je prenais le volant et encore plus j’étais caressée, et avais du mal à me concentrer. Ni tenant plus, au bout d’un chemin, « cachés » par de hauts maïs, je stoppais l’auto, et encore plus crûment, je me penchais sur lui, et littéralement prenais des initiatives comme rarement. J’ouvrais son pantalon et longuement me régalais de son long et fin sexe, magnifiquement dressé, et dans un mélange de mots doux et crus à la fois, lui laissais entendre, deviner toutes mes envies. Muni de préservatif, dans l’auto, à l’extérieur, tel des affamés de sexes on s’aimait. A 40 ans, pour la première fois de ma vie, je me donnais entièrement à un jeune amant, et prenais de plus en plus de plaisirs… Ma jupette jetée à l’arrière, je n’avais plus que sur moi, scandales d’été ouvertes, avec talons, et ma chemisette ouverte sur mon corps nue…. Me retrouvant penchée sur le coffre arrière de son auto, jambes ouvertes, il tentait de me sodomiser, et refusais :

Non, non pas là pas comme cela, je t’en prie…, lui criais-je presque.

Des plus aimant il restait et acceptait. Encore et encore on s’aimait, jusqu’à épuisement total. Tout mon corps était en feu, quand je l’invitais à me ramener. J’eu beaucoup de mal à m’endormir une fois chez moi. Tout le dimanche mon mari me trouvait « bizarre » et mettais cela sur le compte de la fatigue.  Sans qu’il ne se doute de rien, le soir-même lors de nos ébats, je ne pensais, voyais que mon jeune amant devant mes yeux !!!
Le lundi, jour de repos, pleins de messages parfois sulfureux on échangeait avec Gérard, et acceptais de me rendre chez lui entre 15h et 18h. Prétextant une vente chez une copine, je m’y rendais avec l’accord de mon mari, et une fois mon auto dans le parking couvert, je prenais l’ascenseur. Le cœur battant je sonnais et du vestibule au salon, en passant par la chambre, on s’aimait, se donnait sans retenues.  Des plus demandeuse j’étais . Alors qu’on s’aimait dans le salon, devant les baies vitrées ouvertes, poussée par je ne sais quel démon, très persuasive j’étais en lui murmurant :

Oui, oui, prends-moi…, baise-moi…, j’aime…, c’est trop bon…, encore…, encore je veux… où tu veux…, comme tu veux…, quand tu voudras, je te veux…. !!!

Avec beaucoup d’habiletés, dans un mélange de mots crûs et doux à la fois, il me faisait chavirer, et j’en redemandais….  C’est après un rapide passage par la salle de bain, qu’accroupie sur son lit, avec délicatesse, raffinement, il me prenait et j’acceptais la sodomie… ! Là j’hurlais de plaisir comme jamais de ma vie.
Complètement exténuée, je rentrais à la maison, et des plus confuses j’étais. Tentant de parler à mon mari de mon aventure extraconjugale, je n’y arrivais pas.  Pendant quasiment deux mois, en toute discrétion, je menais une double vie, sans rien changer à mes habitudes. Aussi bien dans le restaurant, chez lui, où en extérieur, je me donnais avec plaisirs et envies, sans renier mon mari. Pour un des plus grands plaisir de mon amant, je me comportais réellement telle un « cochonne…, Salope…. » Que je ne suis peu en réalité.
Alors que j’apprenais ma promotion dans le restaurant, j’apprenais aussi le départ de Gérard vers Orléans, et mettions fin à notre idylle.
Sans lui préciser qui était la personne, un soir d’ébats amoureux dans le noir de notre chambre, j’avouais à mon mari, ma « passade », qui au début ni croyait pas, il pensait que c’était un « jeu » de ma part, et petit à petit il me comprenait et accepta, sans presque et peu  de reproches. Depuis encore plus intensément nous nous aimons, et parfois fantasmons sur des situations des plus coquines…, car sans que je lui l’avoue, mon jeune amant m’avait fait une proposition des plus indécente, impudique, et libertine, que j’avais « presque » acceptée : une relation à trois avec un copain à lui, sans que nous n’ayons le temps de l’accomplir, vu la rapidité des promotions….
Parfois encore aujourd’hui, lors de caresses solitaires, je m’imagine des choses que la morale exclue, et imagine des chose des plus obscènes, impudiques, et débauchés !!!

 

Merci à Deeppurple pour cette belle histoire. N’hésitez pas à envoyer les votre également.

deeppurple

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