Mon asiatique

Le matin je prends le bus, le midi je prends le même bus, en aller et retour, le soir, toujours le même, parfois c’est avec le même chauffeur. Triste routine que ma vie, mais depuis ce jour, tout va mieux.

Ce matin là, une jeune asiatique est venue agrémenter mon voyage de 20 minutes en transport en commun. Nous sommes le 21 mai 2014. Il fait beau, et déjà chaud en cette matinée. Je suis en pantalon léger et chemisette. Elle, longue, élancée, elle est en jupe courte, largement au dessus du genou et en top, elle porte une espèce de chemisier ample, ni transparent, ni opaque, juste ce qu’il faut pour être sexy mais pas vulgaire.

Au lieu de me plonger dans mon smartphone à lire et regarder ce qui se passe sur Twitter, je décide de la regarder, de profiter de cette belle vue sur son corps élancé et excitant.

J’ai toujours eu un faible pour les femmes asiatiques, je ne sais pas pourquoi, en plus je n’ai jamais eu l’occasion de faire l’amour à une de ces femmes. Est-ce justement parce que c’est une femme qui me fait fantasmer que j’en ai tant envie, je suis bien incapable de me l’expliquer. Celle-ci est agréable à regarder. Elle, comme moi, nous sommes seuls dans ce bus rempli.

A force de la dévorer amoureusement du regard, elle me regarde à son tour. En quelques secondes elle se met à sourire. C’est pour moi ce sourire, j’en suis persuadé, mais je n’ose pas me frayer un chemin pour aller lui parler.

Une station puis deux, elle descend. Je me réveille juste à temps pour voir que c’est la mienne également. C’est fou comme le temps passe plus vite avec l’esprit occupé.

En descendant du bus, je comprends pourquoi ce sourire, ce n’est pas pour moi, mais pour la bosse qui s’est formée dans mon pantalon. Je bande presque fort maintenant. Je me cache en portant mon sac à dos sur le devant de mon érection pour la cacher le plus possible.

La journée se passe aussi peu agréablement que les autres, mais mon esprit vagabonde jusqu’à des pensées impures mais tellement bonnes. Je prie une bonne partie de la journée pour que ce soir, cette belle asiatique fasse le trajet retour avec moi. Qui sait.

Et non, le trajet ne se fait pas en sa compagnie, mais avec tous ces autres travailleurs le nez plongé dans leur téléphone. Je les rejoins également et retourne sur Twitter.

« J’ai vu un ange aujourd’hui » c’est le premier tweet de la journée. Dans la foulée, mes followers me demandent des informations, de raconter.  Je leur en fais part volontiers, certains s’amusent, d’autres m’envoient des photos  de femmes asiatiques en très légères tenues, et même nues, d’autres ne disent rien et c’est tant mieux.

Le soir, seul dans mon lit, j’en rêve. Je rêve de cette asiatique qui me parait être très coquine et pourtant je n’ai pas discuté avec elle. Je rallume la petite lampe de chevet, je prends mon Ipad et je me lance sur Sexfion.com à la recherche de films porno avec des asiatiques. Je ne mets pas longtemps à en trouver. L’Ipad dans une main, ma verge dans l’autre, je ne me concentre pas sur le film, mais sur la femme du bus. Je me branle. Mon éjaculation est si abondante et puissante ce soir que de nombreuses giclées viennent recouvrir une partie de l’écran de l’Ipad.

-C’est malin, tu n’as plus qu’à nettoyer tout ça avant que ça sèche.

Je nettoie l’écran et ma bite. Je m’endors comme un bébé.

Le lendemain matin je m’arrange pour arriver 2 minutes plus tôt à l’arrêt de bus dans le folle espoir de voir mon asiatique. Le bus arrive elle n’est pas là. J’attends jusqu’à la dernière seconde pour monter. Personne. Je monte et m’assoie à une banquette pour deux personnes. Au moment où les portes se ferment, une main passe entre les portes, immédiatement suivie par le corps de la personne. C’est elle.

Son regard couvre le bus, elle vient s’assoir à coté de moi. J’en suis tout troublé. Moi qui ne suis pas si timide que cela, je n’ose même pas aborder la conversation. Pourtant je pourrais.

Je ne sais pas combien de centaines de mètres elle a du courir, mais sa peau basanée relui de sueur, rien d’énorme, mais des petites gouttes très érotiques se sont formées sur ses bras et le haut de sa poitrine. D’ailleurs ce haut de poitrine si légèrement vêtu me fait de suite de l’effet. J’empoigne mon sac à dos que je pose non délicatement sur mon sexe, me fracassant un testicule au passage.

Mon asiatique est vêtue cette fois d’un pantalon blanc léger protégeant ses nus pieds en lanière de cuir noir, le haut, un décolleté vertigineux, non transparent mais moulant parfaitement le volume de ses seins que j’estime être un bonnet D. Elle a des cheveux longs qu’elle a attachés en tresse qui lui retombe sur le nombril.

-Je me suis assise à coté de vous. Ca ne vous gêne pas ?

-Oh non pas du tout !

-Ah !

Je crois que je suis démasqué sur ce coup là.

-C’est vous hier qui m’avait regardé ? Je ne me trompe pas ?

-Euh oui peut-être…

Je ne vais tout de même pas lui dire que je me suis branlé en pensant à elle.

-Humm, si si, je me souviens de… votre sac à dos. Ce n’est pas le genre de compliment que je favorise, mais au moins, c’est clair et bon à savoir, surtout que vous savez rester à votre place apparemment.

Si je le pouvais, je crois que je lui roulerais une pelle de suite en lui mettant une main au cul et l’autre sur un de ses seins qui me fait de l’œil.

-Je vous sens troublé

-Non, enfin, c’est que je suis plutôt timide, et je dois bien vous avouer que ce n’est pas tous les jours qu’une belle femme comme vous s’assoit à coté de moi

-Et modeste en plus. Vous êtes séduisant, ce n’est pas les conquêtes qui doivent manquer. Enfin, ça ne me regarde pas, veuillez m’excuser.

-Il n’y a pas de problème voyons

La conversation ne s’éternise pas, notre arrêt venant d’arriver.

-Passez une bonne journée lui dis-je à la volée

-Merci

Je ne cherche même pas à l’embrasser sur la joue, quel boulet. D’un autre coté, elle voit que je ne suis pas un de ces charognards qui ne pensent qu’au sexe, et pourtant. Je n’ai qu’une envie en la regardant partir dans l’autre direction. La prendre en levrette sur le dossier du banc, la retourner pour enfourner ma langue dans sa bouche, l’entendre crier mon prénom et qu’elle me supplie de la faire jouir.

Le soir venu, nous nous retrouvons sur la même banquette que le matin. Cette fois la conversation est plus détendue. J’apprends qu’elle s’appelle Victoria, qu’elle a 23 ans, et qu’elle vit avec sa sœur dans un appartement non loin de chez moi. J’y ai même rendez-vous le lendemain.

Ce vendredi 23 mai je ne travaille pas. Vive les RTT. J’en profite pour ranger et nettoyer de fond en comble mon appartement. Je suis légèrement manique sur l’ordre et la propreté de mon appartement ce qui me vaut quelques grivoiseries de mes potes, mais l’admiration de mes conquêtes, et de celles de mes potes.

Il est 13 heures 45, l’heure pour moi de me rendre au salon de massage à 300 mètres de l’appartement. J’aime me faire masser au moins une fois par mois, c’est dingue comme on se sent mieux ensuite.

J’arrive et ce n’est pas ma masseuse habituelle qui me reçoit, mais une autre qui est tout aussi élégante et calme. Rien que d’entendre sa voix douce, je me sens détendu.

Elle me fait entrer dans la petite pièce prévue pour les massages et me demande de me déshabiller.  Je me déshabille et m’allonge sur le ventre pour profiter de la chaleur qui se dégage de cette table de massage.

Quelle minutes plus tard, ma masseuse revient et se met à me masser la tête. Ses gestes sont tendres mais précis et fermes à la fois. Ses mains descendent sur mon dos, parcourent même mes bras durant de longues minutes. Les jambes et les cuisses sont massées un peu plus tard. Ses mains viennent effleurer par moment mes testicules. Heureusement que je suis sur le ventre car ma bite est en train de prendre de l’ampleur.

A la moitié du massage, elle me demande de me retourner, c’est toujours comme ça. Même si je ne sais pas combien de temps, quelle heure il est, je sais que c’est à la moitié de la séance que la masseuse me fait mettre sur le dos. Je bande encore de ses caresses bien plus excitantes que celles de ma masseuse habituelle.
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Auteur: Aurelien

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