Ma cousine hollandaise

Dans la famille, ma cousine Josyane avait mauvaise réputation. On chuchotait qu’elle couchait avec ses copains depuis le début de l’adolescence et qu’elle faisait bien pire maintenant qu’elle vivait seule en appartement. De deux ans son cadet et d’une extrême timidité avec les filles, je fantasmais souvent sur cette sulfureuse cousine lors de mes branlettes quotidiennes. Je m’imaginais contempler son regard à la fois tendre et cochon, embrasser sa bouche aussi habile à susurrer des mots d’amour qu’à sucer une grosse bite bien bandée, palper ses seins fermes, respirer les effluves paradisiaques de sa vulve et goûter la mouille âcre et enivrante de son entre-fesses. Je n’aurais toutefois jamais osé lui faire la moindre avance et j’avais pratiquement renoncé à assouvir un jour le désir violent qui m’étreignait chaque fois que je me trouvais en sa présence lors des réunions de famille.

Mais le hasard arrange parfois les choses. À 19 ans, je devais quitter le domicile de mes parents pour entreprendre des études universitaires dans la ville où habitait ma séduisante cousine. L’ayant appris, celle-ci m’offrit d’habiter quelques jours chez elle, le temps de louer un studio. Elle n’avait aucune idée du trouble qu’elle suscitait en moi; comment pouvait-elle se douter que le jeune intello puceau qu’elle accueillait dans son appart rêvait de la baiser dans toutes les positions imaginables?

Je suis donc arrivé chez elle. Elle m’installa dans la chambre d’amis, en me disant de faire comme chez moi et de me mettre à l’aise. C’est plutôt elle que j’aurais aimé mettre à mon aise. Le premier soir, je n’arrivais pas à dormir; la savoir couchée dans la chambre voisine me rendait fou de désir. Était-elle nue dans son lit? Peut-être se masturbait-elle avec un gode, ou avec un vibrateur à piles. Peut-être même était-elle en train de mettre un rouge vif sur ses lèvres pulpeuses et de revêtir son corps parfait de lingerie fine tout aussi rouge, pour se diriger vers ma chambre, ouvrir la porte, se jeter sur moi avec passion et m’initier à tous les plaisirs. Je n’en pouvais plus, il fallait que je me change les idées. Je me mis à parcourir les livres qui traînaient dans une petite bibliothèque. Une publication attira vite mon attention, à cause de la femme nue qui ornait la couverture.

C’était une revue hollandaise. Évidemment, je ne comprenais rien au texte, mais les images se passaient heureusement d’explications. On y voyait les étapes successives d’une fellation. Sur la première photo, la fille léchait les couilles du mec. Ensuite, elle passait sa langue sur sa queue, puis elle serrait le gland entre ses dents. Sur la photo suivante, la bite avait disparu, engloutie dans la bouche de la femme. Enfin, la cochonne était photographiée la face maculée de sperme; elle affichait un sourire épanoui, visiblement satisfaite de son travail. J’avais déjà vu des photos érotiques, mais jamais rien de tel; il faut dire qu’à l’époque (les années 70), la révolution sexuelle n’en était qu’à ses débuts et la Hollande était un des rares pays à autoriser des publications aussi explicites.

J’étais bouleversé. D’une part, je n’avais jamais imaginé gicler ainsi au visage d’une femme et je découvrais une pratique d’une indécence fascinante; d’autre part, la présence de cette revue chez ma cousine confirmait les rumeurs qui couraient dans la famille : Josyane était une vraie salope, et elle était donc peut-être assez libérée sexuellement pour baiser avec son cousin. Encore fallait-il que je surmonte ma timidité pour lui faire une proposition. Mais c’était pour plus tard. Dans l’immédiat, ma queue me faisait mal à force d’être dure et elle exigeait un soulagement immédiat. Je repris donc une fois de plus les gestes familiers mille fois répétés : lécher le poignet droit et frotter doucement le bout du gland sur la peau sensible et humide, pendant qu’un doigt de la main gauche caressait l’entre-cuisses et remontait jusqu’à l’anus qu’il titillait, puis pénétrait légèrement alors que la main droite amorçait un va-et-vient énergique le long de la pine. Ce fut une de mes meilleures branlettes; j’étais plongé dans un délire érotique où Josyane et la fille de la revue me suçaient goulûment et profitaient de leur léchage pour s’échanger des baisers obscènes au bout de mon membre dressé vers le ciel. La jouissance fut extrême et des flots de sperme se répandirent sur mon ventre. Si seulement Josyane avait été là pour se beurrer de cette crème onctueuse qui, je le savais maintenant, conférait au visage des femmes une exquise beauté. Qui sait? Ce n’était peut-être que partie remise.

Le samedi suivant, ma cousine avait organisé une fête chez elle. Entremetteuse dans l’âme, elle voulait présenter une copine à un ami esseulé. Le déclic avait dû se produire puisque vers la fin de la soirée, le nouveau couple s’était discrètement éclipsé dans la chambre de Josyane. Les autres invités étant partis, je me retrouvais seul au salon avec ma cousine.

« Je crois qu’ils en ont jusqu’au matin », dit-elle à propos des amoureux dont les rires et les gémissements filtraient de la porte fermée de sa chambre. « Je suis mieux d’oublier mon lit pour cette nuit. »

« Il y a toujours le mien », osai-je répondre, en me disant que je n’avais rien à perdre et que je risquais tout au plus une gifle qui m’aurait ma foi comblé d’aise, venant de la main d’une aussi jolie femme.

Nullement décontenancée, Josyane répliqua d’un air moqueur : « Ne compte pas sur moi pour t’aider à lire au lit. Je ne comprends rien au hollandais. » J’étais sidéré. « Lorsqu’on veut se branler à l’abri des regards indiscrets, on ferme la porte », ajouta-t-elle en riant. Elle avait donc tout vu. J’allais répondre n’importe quoi lorsqu’elle s’approcha de moi et me glissa à l’oreille : « T’as une queue appétissante, du genre qu’on aime sucer. » Et sans un mot de plus, elle dézippa mon pantalon et baissa mon slip d’où surgit mon vit tel un ressort trop comprimé. Elle commença par le couvrir de baisers, puis le parcourut de sa langue experte en insistant longuement sur le point le plus sensible à la base du gland. Elle le prit ensuite en bouche et imprima à ses lèvres un mouvement de succion qui me fit vite atteindre un paroxysme d’excitation.

Au gré du va-et-vient de sa tête, mon membre disparaissait entre ses lèvres rouges vives pour réapparaître luisant de salive et plus tendues que jamais. J’ai soudain senti venir le plaisir. « Je vais jouir, putain! » À ce cri, Josyane retira ma queue de sa bouche et l’agrippa solidement à la base afin que le foutre lui inonde le visage. Le premier jet fut le plus puissant, projetant des gouttes blanchâtres jusque dans ses cheveux, dans lesquels je plongeais mes doigts crispés par les spasmes de l’orgasme. Les jets suivants atterrirent sur son front et ses joues, puis dégoulinèrent vers le nez et le menton. Après mon dernier soubresaut, elle ramena ses doigts vers le gland pour en extraire le reste du jus qu’elle s’empressa de lécher avec délectation.

« Tu m’as toute salie, cochon. Allez, lave-moi », m’intima-t-elle alors d’un ton autoritaire. Malgré des années de masturbation assidue, je n’avais jamais osé goûter mon sperme, mais je ne pouvais rien refuser à Josyane. J’allais devoir briser ce tabou. Je me suis donc penché vers son admirable visage dont le foutre rehaussait les traits pour lécher toute la crème que mon pénis y avait déposée. Quand j’ai eu achevé cette besogne, ma cousine plongea la langue dans ma bouche pour en récupérer la précieuse semence. Enivré par ce coït oral, je me enhardis à glisser la main sous la jupe de Josyane pour lui caresser la chatte. Sa réaction ne fut pas celle que j’attendais. Elle retira doucement ma main, se releva et s’en alla dans la chambre en refermant la porte derrière elle. Visiblement, mon dépucelage n’était pas au programme et je dus me résoudre à dormir sur le canapé.

Quelques jours plus tard, je quittais l’appartement de Josyane pour m’installer dans mon studio, où j’ai vécu une foule d’expériences érotiques que je raconterai sans doute un jour. Maintenant marié depuis longtemps, je n’ai jamais pu convaincre ma femme d’accepter l’éjaculation faciale. Je n’ai pourtant pas renoncé à cette pratique. Chaque fois que mes affaires m’amènent à Amsterdam, je fais un détour par le quartier chaud. Lorsque mon sperme se répand sur le visage offert de la pute hollandaise, je me souviens de la fille de la revue et, surtout, de ma cousine Josyane qui restera toujours ma Hollandaise à moi.

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