Je m’appelle Luc et je suis marié depuis plusieurs années à ma douce Séverine. Notre entente est parfaite, et notre complicité sexuelle est intense. Bref je suis un homme comblé.
Séverine à une jeune sœur qui s’appelle Gaëlle. C’est une working girl ultra sportive.
Elle ne vit que pour son travail et la sculpture de son corps. Personnellement je la trouve trop mince, mais il faut avouer que son corps mis en valeur par des tenues très près du corps est agréable à regarder.
Au niveau sentimentale, au grand désespoir de ses parents, on ne lui connaît pas d’histoire sérieuse. Elle considère les hommes comme du consommable. Elle se plaît à dire qu’elle n’a pas besoin d’avoir un homme tout le temps sur son dos, mais juste de temps en temps car dans certaines positions, c’est particulièrement agréable. Bref elle aime choquer.
L’autre jour, alors que l’on prenais l’apéro chez elle, je me sentais bouleversé, je lui demandais donc d’utiliser l’unique salle de bain de son appartement. En entrant, mon regard fut tout de suite attiré par une petite culotte particulièrement sexy étendue sur le séchoir. Mais bon, ma libido est déjà satisfaite à la maison, et de plus il s’agit de ma belle-sœur. Au moment fatidique du papier toilette, horreur panne de papier. Je parcours la pièce du regard, et mes yeux se repose sur ce string blanc transparent qui doit être particulièrement sexy sur elle. D’ailleurs quel style de taille a-t-elle adoptée pour son minou ? Oups il faut que je me reprenne mon esprit dérive grave !!
Revenons à la préoccupation du moment. Pas de papier à l’horizon. Je commence à fouiller autour de moi, ouvrir les placards, les tiroirs, et, …, je tombe sur une panoplie de jouets pour femme solitaire. Trois godes de tailles et formes différentes, des boules de geisha, du lubrifiant, et une petite télécommande sûrement liée à un des ustensiles précédents.
Le choc. Je ne peux m’empêcher de l’imaginer en pleine utilisation !!
Il faut vite que je me reprenne, et que je pense à autre chose car j’ai une barre de fer entre les jambes. Je trouve la réserve de papier, je finis de faire mes affaires, je me passe un coup d’eau sur le visage, et je reviens dans le salon.
Séverine me demande si je vais mieux. Je lui réponds que oui. En fait je ne suis plus bouleversé au même endroit. A ce moment le téléphone de Gaëlle sonne et elle s’étire pour l’attraper dans son sac, m’offrant une vue plongeante sur son entrecuisse libre de tout obstacle. Et oui ma belle-sœur nous recevais dans son tailleur de boulot, mais sans culotte. J’aperçu un minou lisse, juste surplombé d’un petit liserai.
A partir de ce moment de la soirée je n’ai pu m’empêcher de mater ses courbes tout le reste de la soirée.
En rentrant chez nous, à peine dans le salon, j’ai violée ma femme, et nous avons jouis comme jamais.
Auteur : Lulu