Les jouissances de ma femmes, partie 3

Fabrissa vous transmet cette troisième partie de : Jouissance de sa femme, partie 1

 

Le château:

 

J’ai emmené un après midi un vieille amie voir le château sans lui dire de quoi ils s’agissait.
Personne n’est venu nous déranger dans la salle de bal. Comme nous de faisions rien de spécial, la première femme qui fut mon amante venait aux nouvelles. Je lui demandais d’inviter mon amie.
Comme c’était une invitée baptisée spéciale, elle a eu droit à la réception particulière :
Danse érotique, attouchements et caresses accompagnés de baiser dans le cou, sur les joues et finalement sur la bouche. Mon amie était étonnée de la réception qui l’excitait. Je l’invitais moi aussi à danser. J’avais envie d’elle et pour le lui faire comprendre quoi de
mieux qu’un baiser sur la bouche. Elle m’étonnait en me donnait sa langue. Notre baiser devenait très chaud. C’est elle qui me demandait :

Il y a des chambres ici ?
Oui.
On peut y aller.
Pourquoi faire, tu a sommeil ?
Ne te moques pas de moi, j’ai envie de passer du bon temps.
Avec moi ?
Si tu veux.

Voilà comment avec une de mes amies proches nous nous sommes  trouvées sur le même lit, au lieu de danser. Un café nous attendait sur la table de la chambre. Charmante attention du personnel.
Elle m’a embrassée sur les joues, dans le cou, beaucoup dans le cou et surtout sur les épaules en me déshabillant. Je tâchais de la suivre dans sa manœuvre.
Un fois couchées l’une contre l’autre, elle commençait à me caresser, me peloter comme si elle était un homme, avec autant de douceur sinon plus qu’un véritable amant. Elle me demandait de lui faire l’amour, de l’envoyer au 7° ciel.
J’étais prisonnière sous elle. J’y était bien.

Tu me fais l’amour ?
Non, c’est toi qui commence.

J’avais envie toujours d’elle mais je n’osais pas faire le premier pas.
Elle a osé la première :

Je te désire.
Aimes moi

Elle m’a encore embrassé sur le bouche. Notre baiser n’en finissait pas. Elle est venue sur moi, sur mon corps, étendue comme le serait un hommes, ses jambes entre mes cuisses. Je me souvient encore de la cadence de débit de ma cyprine.
Je sentais son pubis un peu plus bas que le mien.
Elle arrivait à mettre son bas ventre sur mon sexe.Je n’avais qu’à  bouger légèrement pour me masturber à elle.
C’était bon, fort bon, je me suis envolée vers le 7° ciel seule. Après ma jouissance je me mettais à coté d’elle, ma main sur sa chatte. Elle était au moins aussi excitée que moi. Je cherchais son bouton.  Je le caressais avec amour.
Je ne la faisais pas jouir, j’entrais deux doigts dans son puits. Je trouvais facilement son point G. Je m’y attardais pour cette fois ci la faire jouir. Elle se tordait sous ma caresse donnée presque brutalement.
J’ajoutais un autre doigt vers son anus. Je le trouvais disposé à me recevoir : j’y entrais doucement.Pour moi c’était meilleur que son vagin : plus serré et qui lui donnait un autre plaisir. J’étais étonné de la sentir passer sa main sur mon pubis. Elle aussi cherchait mon plaisir. Et quoi de meilleur qu’une masturbation partagée. Nos mouvement devenaient synchrones.
Elle était la première à réussir cette chose avec moi. Nos corps état tordus pour nous embrasser sans cesses et nous caresser.

Jouis, est ce qu’elle me demandait.
Toi aussi.
Masturbes moi, même si tu crois que je suis partie.

Elle pensais partir la première, c’était moi qui n’en pouvant plus me laisser aller à l’orgasme violent que savent seules me donner des femmes.
Elle sentait bien que je jouissait, elle n’arrêtait pas ses caresses. Je gémissais tout le reste du temps avant d’avoir un autre orgasme.
Je ne regrettais pas sa venue au château.
Pour clore provisoirement nos rapports, elle se mettait sur moi, en 69, une fois de plus. Je retrouvais son goût merveilleux de sexe, le goût d’une femme qui vient d’avoir plusieurs orgasmes consécutifs. J’étais bien dans cette position à nous reposer un instant avant de recommencer.
Pour cette première fois nous avons tout oublié, même l’heure puisque nous avons du nous arrêter de nous faire l’amour quand le soleil se levait.
J’étais moulue, mais satisfaite de mes plaisirs saphiques.
Elle se posait une grave question :

Qu’est ce que je vais dire à mon mari.
Ne lui mens pas, dis lui que nous avons passé la nuit ensemble.

fabrissa

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