L’enlèvement

Il fait nuit, nous rentrons chez nous avec mon épouse. La route droite, brusquement change d’aspect. Juste devant la voiture une boule blanche : une nappe de brouillard sans doute. Un coup de frein pour ralentir. Rien n’y fait. Nous nous trouvons brusquement dans un monde inconnu.
La voiture s’est arrêtée seule, nous regardons ce qui ce passe. Des gens atour de nous. Bizarre.
Le plus étrange est qu’ils sont tous nus, des jeunes, des âgés, de toutes stature….
Un de ces étrangers ouvre les portières :
Venez avec nous prendre du bon temps.
Marion, ma femme est effrayée. Je ne suis pas tranquille moi non plus. Elle remarque un homme tout près qui bande. Une femme vient vers lui, ne lui demande rien et se met à la masturber. Il se laisse faire en prenant son plaisir et Marion est émue du spectacle porno.
Je suis le plus influencé par ce que je vois. Ma bite ne fait ni une ni deux je commence à bander. Marion elle ne laisse rien paraître et pourtant elle passe ses mains sous la jupe. Je devine ce qu’elle va faire. Elle enlève sa culotte laisse la jupe relevée, montrant ainsi son sexe à qui veut regarder. Le suite est moins normale, devant les autres elle passe sa main sur la chatte, plonge ses doigts dans son sexe, commence à se doigter avant de ressortir pour caresser le clitoris. Elle se masturbe devant les autres et je regarde en bandant. Elle me regarde dans les yeux :
Je vais me faire jouir, tu ne veux pas te branler aussi ?
Se branler ensemble, tu sais que j’aime ça.
Sans nous quitter des yeux nous commençons notre plaisir solitaire, enfin pas si solitaire que ça. Nous aimons nous branler ensemble. J’aime voir sa main qui, avec trois doigts caresse le sexe en entier avant de se fixer sur son clitoris. Souvent elle passe son autre main dans la raie des fesses à la recherche de son petit trou. Si elle se masturbe le sexe, elle en fit autant avec son cul en entrant des doigts. Elle aime les deux à la fois. Il m’arrive souvent de remplacer son doigt par un des miens, le pouce parfois. Mais dès je je peux c’est ma pine qui va la visiter à son grand plaisir. Juste avant de partir elle se masturbe pour augmenter son orgasme. Mais les « visiteurs » ne l’entendent pas de cette oreille. Il faut partager nos plaisir avec eux. Nous sommes forcés de sortir pour les suivre sur un pré. L’herbe autre ne cache pas nos corps nus.
Deux femmes « s’occupent » de la mienne.
Elle se laisse faire, emportée par le désir. Une des deux est assise près d’elle, caresse les seins en l’embrassant sur la bouche. L’autre passe une main lentement entre les cuisses que ma femme ouvre généreusement, comme quand je vais la baiser.
Je pensais qu’elle accepterais de se faire branler, mais elle préfère une bouche sur son sexe. La femme qui lui fait ce cunnilingus connaît son affaire : elle passe la langue sur toute la chatte pour venir finalement là où je vais moi souvent. Elle commence à lécher pour finir par mettre toute sa langue dans le con de ma femme qui gémit comme rarement. Elle accepte quand deux doigts vienne dans son sexe et deux autres dans son cul.
Moi, je n’ai rien à regretter sinon des découvertes. Je suis entre deux femmes. J’espère que je vais en baiser au moins une, devant ma femme en plus. Je suis un peu rudoyé quand on me met en levrette. Une main prend ma queue, me masturbe un petit moment ; c’était agréable, mais ça s’arrête. Je sens une main me tripoter les fesses, filer dans la raie ; Elle passe sur mon cul, le frôle avant de venir me mettre deux doigts directement dans le trou. Puis je sens autre chose : une belle bite qui vient remplacer les doigts. Elle force mon cul à s’ouvrir. Je fais comme ma femme, j’ ouvre le sphincter. Mais je n’ai aucun plaisir, même plutôt l’inverse.
Je sens cette queue venir à fond dans mon intestin. Elle reste plantée, immobile, et commence de léger mouvements de va et vient. Elle va prendre son plaisir dans mes fesses.
Heureusement la main reste autour de ma queue. Ses mouvement régulier me font bien bander ;
J’oublie la bite dans mon cul. Je suis branlé, plutôt bien.
En échange je dois ouvrir la bouche pour y recevoir une autre bite odorante. Ce n’est pas désagréable comme goût et odeur.Je comprends ma femme qui aime me sucer la bite. Mais elle va au fond de la bouche à m’empêcher de respirer normalement. Elle me baise par devant. J’étouffe presque quand le sperme jaillit en moi. Je pense qu’enfin un bite est vide.
En revanche une autre bouche vient prendre ma queue sous moi. Les mouvement de caresse de la langue sur le gland m’emportent dans un paradis inconnu encore, mais très agréable. Je ne me retiens pas un instant j’éjacule dans cette bouche inconnue d’un homme ou de femme, je ne le sais même pas encore. D’après ma femme c’est un autre homme qui suçait.
Les femmes oublient un instant la mienne elles s’intéressent à leur corps puisqu’elles finissent en 69. C’est la première fois que je vois des nanas se donner du plaisir ainsi. C’est joli et spectaculaire de voir deux jolis corps reliés par des bouche sur les sexes ; je remarque qu’elle font ce que je fait en suçant ma femme : leurs mains entourent les fesses et une d’elle y entre même un doigt, ajoutant certainement au plaisir de l’amante.
Depuis cette aventure ma femme regrette les caresses féminines ; je crois qu’elle commence depuis quelques temps à s’amuser avec une nouvelle amie, il faut que je le connaisse aussi, qui sait pour la baiser.

fabrissa

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