Le désir d’être cocu

Nous sommes un couple depuis de longues années, Sandrine a 30 ans, j´en ai 40. Elle est mince de taille moyenne, les cheveux longs, plutôt réservée, mais assez sexy. Nous avons pratiqué certaines expériences dans le milieu de l´échangisme, et réalisons en principe nos fantasmes, lorsqu´ils sont partagés par nous deux.

L´histoire que je vais vous raconter est réelle dans les moindres détails, et de plus est toute récente puisqu´elle s´est déroulée avant hier soir.

Je nourrissais depuis longtemps le désir d´être cocu, et oui, certains craignent toute leur vie de l´être, moi j´adore l´être ou tout au moins je voulais être cocu. Il y a environ 1 an, j´avais discuté avec Sandrine sur ce fantasme qu´elle me trompe, mais elle me répondit qu´elle ne pourrait pas et ne souhaitait réaliser des fantasmes qu´en ma présence. Hors en début de semaine, je fis le cauchemar que Sandrine m´avait trompé et je me réveillais assez mal dans ma peau, encore imprégné de cette sensation désagréable. Sandrine était près de moi et je lui racontais mon cauchemar, elle me rassura en me disant que ce n´était qu´un cauchemar et que cela ne risquait pas d´arriver. Un peu plus tard alors que j´avais un peu repris mes esprits, je lui dis que j´aimerais que ça arrive. Ha oui ? Me dit-elle. Oui j´aimerais que tu me fasses cocu. Curieusement elle me répondit « si tu y tiens ». Sandrine avait évolué depuis l´an passé, ou me faisait croire qu´elle le ferait. « Et tu voudrais que je fasse comment ? » « Ben tu pourrais sortir en boite et essayer de faire une rencontre ». « Et tu voudrais que je fasse ça quand ? » « Tu pourrais sortir samedi soir ». Je lui disais cela sans conviction, persuadé qu´elle s´en moquait, et persuadé aussi qu´elle ne pourrait pas. C´est mercredi qu´elle aborda le sujet en me demandant si vendredi me conviendrait, car samedi elle devait se coucher tôt ayant quelque chose à faire le Dimanche matin. « Pas de problème je lui ai répondu ». « Je veux que tu me fasses cocu en étant très salope. » « On verra comment ça se passe ok ? ».

Le vendredi en question, j´étais excité à l´idée que le jour était enfin venu, toutefois j´étais saisi d´une angoisse inexplicable, la peur d´être cocu et en même temps le plaisir de l´être. L´après-midi et la soirée se déroulèrent normalement, puis vers 21h30 Sandrine me demanda « Alors j´y vais ? » L´excitation prenant le dessus sur la raison, je répondis « Ok vas-y ». Sandrine monta alors dans notre chambre pour se préparer, elle revint vêtue d´un petit haut blanc, une mini jupe plissée sous laquelle elle portait un string, et des bottes à talon, lui moulant les jambes. Elle n´avait pas l´air d´une pute, mais était quand même très excitante. Je dois préciser que Sandrine ne prend aucun contraceptif, ce qui rendait la situation encore plus excitante. Je l´imaginais entrain de se faire couvrir par un autre homme. Persuadé qu´elle rentrerait en me disant qu´elle n´avait pas fait de rencontre valable. Quoi qu´il en soit, Sandrine partit, en m´ayant vaguement dit où elle envisageait d´aller. Une boite de nuit à environ 40 Km de chez nous où elle ne risquait pas de rencontrer des personnes qu´elle connaissait. Je lui demandais avant qu´elle parte si je pourrais la joindre sur le portable, là elle me précisa qu´elle n´avait pas l´intention de traîner un sac, et qu´elle laisserait le portable dans la voiture. Les dés étaient jetés, elle était partie, et dans 1/2 heures, je n´aurais plus de moyen d´arrêter la marche des choses.

Pour tromper mon appréhension mêlée d´excitation, je me connectais à Internet et allais jouer en réseau. La soirée me parut passer très vite, et c´est à 2h30 du matin que Sandrine revint. Elle ouvrit la porte de mon bureau, et je lui demandais une boule dans la gorge « Alors ? » elle me répondit simplement « Alors ça y est ».

Elle avait une mine décontractée, et je ne la crus pas. Je la suivis jusqu´à la chambre, pour savoir les détails et obtenir les aveux de son échec. « Je te crois pas que tu l´as fait » « Je te jure sur la tête de notre fils que je l´ai fait » Sandrine n´aurait jamais juré sur notre fils s´il s´était agi d´un mensonge. Aussi à ce moment là, je sus qu´elle l´avait fait. « Comment ça s´est passé ? » Sandrine me raconta en détail sa soirée. « Je suis allée à la boite untel, et j´ai attendu un moment dans la voiture, puis je suis entrée un peu avant 23 h, et j´ai commencé à danser. Les gens commençaient à arriver, et un groupe d´hommes de la quarantaine arrosait le mariage d´un de leur ami. Lorsque vers minuit la série de slow est arrivée, un homme est venu m´inviter à danser. Nous avons bavardé de choses et d´autres, puis d´une manière assez directe, il m´a dit qu´il me trouvait belle et avait envie de moi. Ce à quoi je lui répondis de se calmer. Sans toutefois le heurter. Aussi lors de la 2ème série de slow vers 1 h du matin, il revint m´inviter, et là il me redit qu´il me désirait, ce qu´il ne cachait pas beaucoup par une pression de son sexe sur mon ventre.
Après avoir fait semblant d´hésiter, j´ai accepté de le retrouver dehors. Il m´a dit d´aller l´attendre vers un bouquet d´arbre et me rejoignis en voiture pour masquer notre présence. Il allongea par terre son blouson et un pull, et commença à me caresser les fesses, il descendit mon string, et m´enleva mon haut. Il a lui-même descendu son jean, et j´ai glissé ma main dans son slip pour en sortir son sexe et le sucer. » « Tu l´as sucé comment ? » « Et bien comme je te fais à toi, à par que son sexe était très gros et long, presque le double du tien. » Là ma virilité en prit un coup. « Et ensuite ? » « Ensuite, il a voulu me prendre, il ne voulait pas jouir dans ma bouche, alors il m´a fait pencher en avant, et j´étais à quatre pattes devant lui, il m´a pénétrée, et m´a fait redresser pour caresser mes seins. Il se mouillait la main avec sa salive, et me caressait le clitoris. C´était très excitant ». « Il avait un préservatif ? » « Non ni lui ni moi n´en avions. » « Tu ne lui as pas dit que tu ne prenais pas de contraceptif ? » « Si et il m´a dit qu´il se retirerait. Il m´a prise de toute la longueur de son sexe, et m´a beaucoup fait jouir avec sa main, puis j´ai senti son gland se durcir, sa verge se contracter. Je lui ai alors massé les couilles, et j´ai senti son sperme chaud se déverser en moi. Il a fait mine de sortir à ce moment, m´a pressé un sein et m´a dit qu´il n´avait pu se retenir de se vider en moi. » « Comment peux tu être sûre qu´il a joui en toi ? » « J´ai vraiment senti son sperme couler, c´était chaud et en plus, ses gémissements ne dissimulaient pas ce qu´il faisait ». « Tu réalises que tu peux être enceinte ? » « Oui c´est pour ça que demain j´irais acheter une pilule du lendemain, j´ai pas envie d´être enceinte de lui. »

Pendant qu´elle me faisait le récit de sa soirée, je l´avais prise, et ne pouvais ignorer par son vagin légèrement dilaté et gluant de sperme, qu´elle m´avait dit la vérité. C´était incroyable, ma petite Sandrine n´avait pas faibli, et l´avait réellement fait. Je ne voulais pas jouir en elle, ayant ma petite idée en tête. « Tu veux que je te suce ? » « Oui j´aimerais bien » « Vas te laver un peu » « Non je veux que tu me suces comme ça, avec les restes de sperme de ton amant d´un soir ». Sandrine fit une moue un peu dégoûtée lorsqu´elle me prit en bouche, mais n´en continua pas moins sa fellation. Je me vidais dans sa bouche et comme d´habitude elle avala mon sperme. Je revins à mon PC, fourbu et déprimé, je ne savais que penser de cette soirée et du fait d´être réellement et sans aucun doute cocu.

Lorsque je revins à notre chambre, je ne pus m´empêcher de la réveiller pour lui demander de me relater à nouveau les détails de sa soirée. Elle y mit de la mauvaise volonté, aussi, je me tournais de l´autre coté, boudeur. Sandrine qui ne voulait pas que cette aventure ait une quelconque incidence sur notre couple, revint vite vers moi et me demanda ce que je voulais savoir. Je lui dis tous les détails, de décrire le sexe du type, la sensation qu´elle avait éprouvée lorsqu´il s´était vidé en elle etc… Sandrine se plia à mes exigences et tout en me malaxant les testicules, me refit le récit de sa soirée. J´étais cette fois très excité, par son récit et sa caresse, aussi je lui dis « Je veux pas que tu prennes cette pilule. » « Tu veux dire que tu veux que je tombe enceinte de ce mec ? » « Disons que j´aimerais qu´on en prenne le risque ». « Non c´est hors de question, je ne veux pas tomber enceinte d´un autre mec ». Sur ces paroles décourageantes pour mon fantasme, nous nous sommes endormis.

Le lendemain je suis revenu à la charge, et en lui refaisant l´amour, j´abordais à nouveau le sujet. « Je veux pas que tu prennes cette pilule » « Et on fait quoi si je tombe enceinte ? » « Tu iras te faire avorter » « On voit que tu sais pas ce que c´est. » « Je te promets que j´irais avec toi ». A ce moment elle me dit qu´elle ne ferait jamais plus ce genre de sortie, mais qu´elle était d´accord pour le refaire à la maison en ma présence. « Tu es d´accord de te faire prendre par un autre mec ici ? » « Oui si tu veux » « Et tu es aussi d´accord pour aller jusqu´à une grossesse ? » « Tu me jures que tu viendras avec moi me faire avorter ? » « Oui je te jure quand on fait un fantasme ensemble, on va jusqu´au bout ensemble. » « Bon ok et après ? » « Et bien après une première grossesse, et un avortement, on continuera de baiser à 3, mais tu prendras la pilule ». Sandrine accepta de vivre et partager mon fantasme, et maintenant je cherche le complice qui la mettra enceinte. Des fois je me demande si je ne vais pas trop loin, les fantasmes doivent-ils être réalisé ou non ? Là est la question, toutefois je suis heureux d´être cocu, et le serais encore plus lorsque le gynécologue nous dira qu´elle est enceinte.

Je vous ai relaté cette histoire sans chercher à être hard dans les propos, car ce n´est pas un fantasme porno, mais une histoire vraie qui s´est produite il y a 2 jours, et dont l´intérêt n´est que pour ceux qui comme moi (cérébralismes) des fantasmes, et ne recherche pas forcement du langage cru, mais de la tension érotique, si tant est qu´elle soit partagée.

Je pense que je relaterais lorsque le jour sera venu, si Sandrine est réellement tombée enceinte, et notre parcours.

luc batifaule

2 réflexions sur “Le désir d’être cocu”

  1. Très belle histoire. Elle est vraiment bandante et je trouve que vous avez de la chance d’avoir une belle épouse qui vous suit dans vos fantasmes. Je suis dans une situation similaire. Mais elle le fait avec son neveu

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