Il est tard, je suis couché, quand j’entends des cris de plaisir. Je me suis tout de suite dit c’est la maitresse de mon père. Il a 45 ans et il se tape une bonasse de 22. Elle aurait pu être ma copine. Emoustillé par ces bruits je me lève et je vais voir. Par la porte entrouverte je vois la jeune femme assise avec une queue dans le cul. Apparemment elle aime ça. Je bande instantanément mais n’ose pas me toucher. C’est vrai que depuis qu’elle est arrivée avec son corps de déesse je ne pense plus qu’à ça. Je cours à la salle de bain, sort mon sexe de 18cm et commence à me masturber. Je pense à ses cheveux blonds mi long, à ses yeux de biche mais surtout à sa forte poitrine et enfin à son cul à croquer. Je joui et n’ose plus y retourner.
Le lendemain c’est samedi, mon père travaille et elle reste là. Elle porte toujours des raz la touffe ou des jeans coupés au max. Je vais à la cuisine et je m’assois pour « lire le journal ». En fait je mate son cul qui se trémousse pendant qu’elle épluche les carottes. Je suis sûr qu’elle le sait car on voit mon reflet sur la vitre. Elle écarte les cuisses et se passe la main sur une cuisse mais très haut… tout de suite mon esprit est en ébullition. Il lui manque quelque chose : Ma queue par exemple. Sans se retourner elle engage la conversation. D’abord banal puis sur ma vie amoureuse et enfin sexuelle… Je prends peur et je détourne le sujet. J’ai quand même appris qu’elle était dépucelée depuis 14ans et dans des circonstances proches du viol. Cela reste pourtant une expérience positive pour elle, salope,… Mon père rentre il la bourre devant Alerte à Malibu. Brutalement il lui haute son bas et se vide. Là j’ai tout vu. Je veux faire pareille, mais j’ai l’impression qu’elle est à la limite du consentement : pas de préliminaire, pas de plaisir pour elle. Elle va au WC les larmes aux yeux.
Dimanche mon père rend visite à sa mère. Elle est de nouveau seule à la cuisine. Aujourd’hui talons hauts, porte jarretelle et raz la chatte. On devine un string car la toile rentre à chaque occasion dans les fesses. Je vais chercher un paquet de gâteau et sans rien dire mine de pas vouloir déranger je la pousse et ma bite dressée (suis en pyjama) s’encastre dans son sillon. Elle pousse un cri et serre les fesses. Je suis en extase mais je dois partir pour éviter le scandale… Je vais sur internet et un homme me conseille de me doucher porte ouverte pour l’attirer ou bien de me balader en slip.
Je suis convaincu et dès le lendemain vers 5h âpres les cours je prends ma douche elle passe devant la porte ouverte. Elle fait mine de pas remarquer puis comprenant mon cinéma me dit que je suis obscène. Je deviens tout rouge de honte mais le contact de sa main vient me sauver.
-Je te fais de l’effet ?
-Et comment ? Depuis ta venue je bande tout le temps.
-Si je te soulage ça ira mieux?
-Bien sûr
Elle commence à me sucer. Je suis tétanisé de plaisir… Je sperme dans sa bouche…
-Tu a un bel instrument mais ça n’ira pas plus loin
-Quoi?
-C’est un inceste, je trouve ça dégueulasse. La pipe c’est pour rendre service elle te faisait mal. Et sur ce elle s’en va.
Apres avoir été hésitant c’est à moi de prendre les choses en main. Je laisse passer une semaine et le samedi suivant j’attaque : Elle va aux toilettes, je la croise
-Je peux t’aider ?
-Pardon ?
– A ôter des vêtements et à essuyer ton jus
– C’est écœurant…
Elle part mais au passage je lui claque les fesses bien fermement. Quand elle ressort je feuillette un magazine porno au salon en me masturbant. Elle s’enfuit à la cuisine. Je la suis et alors qu’elle est retournée je me mets derrière elle pour qu’elle me sente et je simule habillé un ébat.
-Tu es fou ?
-Non en chaleur !
Elle commence à gémir ! J’ai gagné. Je la retourne et la sans rien dire elle me sort mon sexe. Je ne veux pas de pipe je suis déjà trop excité. Je la repousse donc violemment. Je retourne sa jupe et écarte le string. Mon sexe est à l’orée du trou. Elle enlève le haut et je la pénètre au moment où j’écrase ses seins. Elle est clouée sur le meuble. Elle vient plusieurs fois. Ensuite la sentant complètement soumise je la retourne et la met à quatre patte sur le carrelage. Là, son anus est rempli jusqu’à la garde. Au moment de jouir je lui enfonce en bouche ce mélange de sperme et d’excréments : elle me la lave. Ça sonne on se rhabille.
-Ta fête ne fait que commencer salope.
Bonsoir comment tu vas ?