-Suce moi ! Oui le gland, maintenant, avale tout, jusqu’aux couilles ma petite salope.
Magalie s’exécute sans rien dire, en fermant les yeux. La jeune femme de 22 ans n’a pas d’autres choix pour l’instant de toute manière si elle veut conserver son travail de vendeuse en prêt à porter.
Le patron, un quadragénaire bedonnant avait repéré son manège 6 mois plus tôt, elle qui s’amusait à venir faire les rayons presque tous les jours et à chaparder quelques robes, pantalons, chemisiers et autres petites affaires.
Le patron l’avait convoqué dans le bureau pour lui demander poliment d’arrêter de le voler, avec un ton tout ce qu’il y a de plus gentil.
-Écoute petite trainée. C’est bien simple, tu arrêtes de me voler ou je te brise les deux rotules. Appeler les flics, ça ne sert à rien, les délinquants sortent du commissariat avant que j’aie fini de déposer plainte alors maintenant, la loi, c’est moi.
La jeune Magalie prise au dépourvu n’avait pu que dire qu’elle acceptait à ce moment-là.
-Tu reviendras demain pour me dédommager de tout ce que tu m’as volé !
-Mais…
-Mais quoi ? Tu ne vas pas à l’université, tu es toujours là, tu n’as pas de boulot non plus à première vue. Demain, ici, 9h, robe et talon.
-Oui monsieur… répond-elle à voix basse.
Magalie est un joli brin de femme de 22 ans, les cheveux longs et bouclés comme une poupée. D’ailleurs, son corps a tout d’une poupée également, mais pas forcément pour les enfants. Des seins ronds et fermes, un bon 90C. Des hanches légèrement prononcées. Un ventre plat et musclé grâce aux 6 heures de fitness qu’elle fait par semaine. Un beau visage respirant la tranquillité, les joues roses, la bouche pulpeuse et rose, des yeux à se noyer dedans, d’un vert transparent mais d’une intensité si érotique que ça en devient indécent.
Elle a eu bon nombre de prétendant depuis que sa poitrine a commencé à se former et depuis que les hormones se sont réveillées, pourtant, elle n’a eu que 3 amoureux et amants.
Le lendemain, Magalie est présente à l’heure dite devant le magasin de ce grand centre commercial de Cergy Pontoise.
Chemisier noir à manche longue, jupe noire descendant en dessous des genoux et une paire de talons plats de 3 centimètres. Le rose de ses joues, sa belle bouche et ses cheveux bouclés sont mis en avant de la plus belle des manières dans cette tenue.
-Ah te voilà ! Viens là que je t’apprenne le travail vite fait. Les clients ne vont pas tarder.
Le patron lui explique comment servir les clientes et clients, comment les aider à faire les bons choix et surtout, à les diriger vers des produits un peu plus chers. En 30 minutes, Magalie doit tout enregistrer.
-C’est bon, petite sotte, tu vas te souvenir de tout ?
-Oui
-Oui patron tu réponds
-Oui patron
Le patron part ouvrir la boutique. Les premiers clients entrent dans le magasin.
Magalie est un peu perdue dans le dédale des rayons à devoir chercher les produits un peu plus chers pour telle personne, pour telle demande, pour telle taille. Choisir les produits pour soit, c’est facile, mais choisir pour les autres, c’est une autre affaire. Elle se débrouille comme elle peut. Les clients ont l’air d’être assez satisfaits à chaque fois, le patron s’occupant principalement des femmes pour l’instant.
Un peu avant midi alors qu’il n’y a plus personne dans le magasin, le patron vient la voir.
-Bon, c’est le calme avant la tempête. D’ici 20 minutes, ils vont tous arriver. Je vais aller nous chercher de quoi manger. Tu veux quoi ?
-Juste une salade, merci
-Merci qui ?
-Juste une salade, merci patron se reprend Magalie à voix basse.
-Ne fait pas ta maligne ou ta timide avec moi petite sotte !
-Mais…
-Pas de mais. Tient la boutique, je reviens.
Le patron quitte la boutique quelques minutes pour revenir avec un gros sandwich thon crudité, une salade, deux sablés pour le dessert et deux bouteilles d’eau.
-Le gros de la troupe ne va pas tarder à arriver maintenant. Mange un peu, une bouchée à la fois en faisant en sorte de pouvoir vider ta bouche en 2 secondes. Le midi, les cadres qui passent sont tous pressés. Ils ne savent pas ce qu’ils veulent mais veulent que ça aille vite. TU les emmènes direct au plus cher et ça passe. Un petit sourire en coin, un petit mot gentil, la pilule passe très bien. Je vais m’occuper des hommes ce midi et toi des femmes, ce sera peut-être plus simple pour toi. Le seul mot d’ordre : faire du chiffre et vite. On en reparle vers 13H30, ce sera calme pendant 1 heure.
-Oui…patron
-Parfait tout ça
Pas manquer, à peine 10 minutes plus tard, la foule arrive. Des hommes, des femmes, quelques rares duos, couple ou pas. Tout le monde regarde à gauche, à droite dans l’espoir de trouver quelque chose, mais quoi. Le patron et Magalie échangent des regards de temps à autres, mais la plupart du temps, ils sont occupés à livrer quelques compliments improvisés aux clientes et clients, à porter des vêtements et les remettre en place et bien sûr, suivre les clients jusqu’aux cabines d’essayage.
Vers 14 heures, le magasin se vide enfin, laissant à Magalie le temps nécessaire pour reprendre son souffle et écouter son ventre crier famine.
-Ca va ma petite ? Pas trop dur pour toi cette matinée ?
-Ca pourrait aller mieux, mais bon…
-Un peu faim ?
-Beaucoup même. A-t-on le temps de manger ?
-Oui je crois. Suis-moi.
Le patron emmène Magalie un peu à l’arrière, juste caché par un recoin qui permet de manger un peu plus tranquillement sans être directement vu par les clients qui pénètrent dans le magasin.
-D’ici on peut manger un peu plus facilement sans que le client nous voie la bouche pleine à mastiquer comme une vache. Par contre, faut qu’on s’arrange soit pour avoir la bouche vide en deux secondes, soit pour prendre une bouchée à tour de rôle.
-Je comprends patron
-C’est bien ma petite, je vois que tu comprends.
Magalie ouvre enfin la salade et commence à manger. Un client arrive à ce moment-là.
-Allez, je te laisse manger un peu, je m’occupe de celui-ci. Tu me remercieras plus tard.
Magalie plonge dans la salade et la dévore rapidement. En 3 minutes, la salade en barquette composée de billes de mozzarella, de pâtes, de salade, de carottes croquantes, de tomates cerises et de copeaux de parmesan est avalée. Elle descend la bouteille d’eau d’un trait voyant que le client est sur le point de partir.
-Et bien, tu es une rapide toi ! Un client et tu as déjà tout fini ! le prochain, c’est pour toi donc. A mon tour de manger.
-Oui patron. Bien sûr.
Magalie reste à côté du patron le regardant des pieds à la tête, l’écoutant mastiquer. Aucun client à l’horizon
-Tu vois, c’est calme aux alentours de 14 heures lui dit il la bouche pleine
-Oui. Je ne pensais pas que ce serait calme en milieu de journée.
-Oui. Tous ces cadres sont partis à leur travail, ou du moins digérer en étant à leur bureau.
-Ok je comprends patron
S’essuyant la bouche après avoir achevé le sandwich le patron lui dit enfin
-Pour demain, tu mettras une jupe plus courte que ça. C’est trop long pour les clients. Essaie aussi une paire d’escarpin en vitrine. Ça va attirer les hommes ici, c’est parfait. Il faut que tu portes uniquement des vêtements qui sont en vente ici.
-Mais pourquoi. Les miens sont bien
-Fait ce que je te dis petite sotte. Les hommes doivent voir tes jambes et plus encore, ils dépenseront plus. Les femmes verront les vêtements portés sur une belle femme et voudront les mêmes. Tu comprends ou tu veux un dessin ?
-Non je comprends patron
Pour montrer la longueur idéale selon lui, le patron n’hésite pas à remonter la jupe de Magalie lui-même, découvrant ainsi la moitié de la cuisse.
-Mais c’est trop haut là…patron
-Non je ne crois pas. Déjà, tu as de belles jambes, et en plus, tous les mecs raffolent de voir un peu de peau féminine.
-Très bien…patron
Durant l’après-midi le patron devient de plus en plus proche de Magalie, n’hésitant pas à la frôler, à la toucher, à passer son gros ventre au creux de ses reins ou passant volontairement pour sentir sa poitrine ferme le long de lui. Toutes les excuses sont bonnes pour ces attouchements.
A 20 heures le patron regarde rapidement le chiffre d’affaires quotidien et demande à Magalie de venir.
-Écoute, c’est simple. En temps normal, le mercredi je fais 5000 euros de chiffre d’affaires. Avec toi on vient de passer les 7000 et je n’ai pas compté précisément.
-Vous croyez patron ?
-Tu es peut-être sotte, mais tu attires la clientèle, c’est certain. Demain, petite jupe, talons, sexy.
-Oui. J’ai d’ailleurs choisi cette jupe plissée et cette paire de talon lui répond Magalie en tendant les produits sélectionnés.
-Parfait pour demain. Allez file, repose-toi. Demain ce sera plus sérieux.
Magalie rentre chez elle exténuée. Son studio qui n’est pourtant qu’à quelques centaines de mètres des 3 fontaines (le nom du centre commercial) lui semble être à 12 kilomètres. Ses pieds lui font mal, son dos est sensible. Une bonne douche s’impose, un petit plateau repas devant Netflix aussi et surtout une bonne nuit de sommeil, seule dans son grand lit.
Arrivée chez elle, Magalie referme la porte, se déshabille de suite et file sous la douche. Ses jolis cheveux bouclés tombent sur son visage, elle se lave tranquillement en oubliant la journée et le temps qui passe. Magalie se lave avec son éponge magique et passe plus de temps qu’il ne le faut entre ses cuisses. Sa main finit tout de même par lâcher l’éponge. Elle se caresse entre les petites lèvres, commence à agacer son clitoris. Son autre main pétri un sein qu’elle titille de temps à autre en pinçant son petit téton fièrement dressé. Appuyée le long du mur, un pied relevé sur le mur d’en face, Magalie se perd dans son excitation et finit par jouir bruyamment de sa masturbation.
Elle reprend doucement ses esprits, passe une serviette autour d’elle et file au réfrigérateur se chercher de quoi manger. Un yaourt grec, une laitue, une tomate, une carotte, deux tranches de rôti de porc et un carré frais. Le tout est préparé du coin de l’œil en regardant un énième épisode de Designated Survivor. Il est déjà 21H30.
A la fin du second épisode la belle blonde déplie le Futon et s’endort comme une masse jusqu’au petit matin.
6 heures. Elle se réveille, prend un thé vert pour émerger et entame une série de squats, immédiatement suivie par 30 minutes de rameurs et enfin 15 minutes de vélo d’appartement.
Une bonne douche et une petite collation à base de céréales, de yaourt 0% et un smoothie lui permettent d’être bien éveillée et de retrouver le sourire.
Magalie n’a plus qu’à passer ses talons, sa jupe courte et trouver de quoi mettre en top.
Il lui faut pas moins de 15 minutes pour trouver quel top mettre. Un chemisier ample et légèrement transparent mais rien d’extravagant non plus.
9h30, Magalie part à la boutique.
Sur le chemin les jeunes hommes étudiants ne manquent pas de la regarder et même de se tordre le cou pour la voir de dos. Ses talons claquent sur le bitume du trottoir, ses cheveux frisés tiennent bien face à ce vent du nord, par contre la jupe courte ne demande qu’à se soulever un peu plus à chaque fois.
-La prochaine fois je mets une veste longue se dit-elle en passant les portes des 3 fontaines.
-A, te voilà. Je me demandais si tu oserais revenir petite sotte.
-Je suis là patron. Par contre, j’aimerais assez que vous m’appeliez Magalie.
-Si je veux ma petite sotte préférée. Entre et montre-moi ta tenue.
Magalie va à l’arrière, dépose son blouson et revient le voir.
-Pas mal, pas mal. Par contre, le chemisier n’est pas d’ici. Je t’ai bien dit de ne porter que des vêtements d’ici.
-Oui, je sais, faut que je me change, j’ai oublié de le prendre hier soir.
Le patron tend le bras et prend un top.
-Tiens, mets ça !
-Oui patron répond Magalie en tournant les talons pour aller à la cabine d’essayage
-Enfile le ici !
-Comment ? patron…
-Retire le tien et mets celui-ci. Magalie.
C’est la première fois qu’il l’appelle par son prénom ; décontenancée, elle cède et retire son chemisier, un bouton à la fois, sans le quitter du regard. En soutien-gorge vers l’arrière du magasin mais toujours à la vue des clients qui pourraient arriver, Magalie est rouge de honte.
-Ca non plus ça ne vient pas d’ici ! Retire-le.
Magalie essaie bien de balbutier quelques mots mais rien ne sort de sa bouche.
Elle passe les mains dans son dos et dégrafe le joli soutien-gorge rembourré. Deux merveilleux seins ronds avec des petites aréoles surmontées de petites pointes roses font leur apparition. Le patron ne manque pas d’apprécier le spectacle en laissant apparaître un début de petite bosse dans son pantalon fin.
-Hâte toi, les clients vont bientôt arriver.
Magalie s’exécute et se retrouve avec un top qui n’est pas vraiment un chemisier mais qui n’est pas un top trop moulant non plus. Les deux seins sont justes maintenus, des dessins camouflent la partie la plus intime de la poitrine mais laisse deviner ce qui se cache en dessous.
-Parfaite ! Les clients vont adorer, les clientes vont te détester. Écoute, je te le dis de suite, le jeudi c’est 6000 de chiffre d’affaires. Retient ce chiffre, comme ça, petite sotte, tu ne pourras pas dire que je te mens. Fais-moi confiance on va faire de belles choses tous les deux.
Le magasin ouvre ses portes. Les premiers hommes à passer n’entrent pas encore. Il n’est pas l’heure pour acheter des fringues.
-Magalie. Avance-toi à la vitrine. Va faire semblant de je ne sais quoi, qu’on te voie bien et surtout, n’hésite pas à prendre des positions ou à remuer ta poitrine, lui dit le patron en remettant sa bite en place dans le pantalon.
Les premiers clients ne tardent à tourner la tête et, à entrer dans le magasin allant directement vers Magalie.
Chacun y va de son petit mot pour indiquer un vêtement, une paire de chaussures, certains prétextant que c’est pour leur femme et qu’elle a les mêmes mensurations que la jeune demoiselle, d’autres pour diverses raisons, mais toujours le patron finit par les servir et le regard change.
-Tu vois comment ça se passe. Quand c’est toi qui t’occupe d’eux, ils sont capables de décrocher la lune, dès que j’arrive, le charme est rompu. Maintenant, c’est toi qui fait tout du moment où il rentre jusqu’à la caisse. Juste une heure, j’ai encore besoin de toi, Magalie.
-Oui patron
Magalie se prend au jeu et ose de plus en plus séduire les clients. Les plus audacieux ne tardent pas à la frôler ou à pointer du doigt sur son top, sur sa jupe courte et même sur ses talons très sensuels. La caisse est toujours occupée maintenant. Même les femmes veulent avoir affaire à Magalie.
Midi, le magasin se vide enfin.
-Magalie, vient me voir s’il te plait. Regarde l’écran de la caisse par toi-même.
-C’est quoi les 4000 indiqués ?
-T’es vraiment sotte toi lui dit-il en posant ses deux mains sur les épaules musclées de la jeune femme. C’est ton travail ! c’est le chiffre d’affaires de la matinée. Tu te souviens du chiffre que je t’ai donné ce matin ?
-Oui, 6000, patron
-On n’est qu’à la mi-journée. Tu vois ? C’est grâce à toi ma chère
C’est bien la première fois que le patron est gentil avec elle.
-Vous croyez ?
-Oui lui dit-il. C’est grâce à toi
En disant cela, le patron fait passer ses mains sur ses cuisses.
-C’est grâce à tes cuisses
Ses mains descendent, il s’accroupit
-C’est grâce à tes belles jambes bronzées précise-t-il en déposant un baiser qui fait sursauter la jeune femme.
-C’est grâce à tes hanches ajoute il en remontant les mains sur ses hanches et en tirant délicatement sur sa jupe
-C’est grâce à ta poitrine magnifique finit-il par dire en posant un doigt sur chaque téton déjà dardé à travers le tissu
-C’est grâce à toi ajoute-il dans une dernière phrase en déposant un baiser dans le creux de sa nuque.
La jeune femme en reste tétanisée, sans voix, sans remuer un cil, perdue on ne sait où.
-Nous allons faire de grandes choses tous les deux. Bon en attendant, il faut aussi prendre des forces. Comme hier pour le déjeuner ou tu veux autre chose ?
-Euh. Oui. Comme hier. Comme vous voulez patr…
-Appelle moi David maintenant, sauf si tu as envie de m’appeler patron.
-D’accord patr…David
Le repas se fait dans le plus grand silence jusqu’à ce que David intervienne.
-C’est bien calme pour l’instant. Tu n’as pas envie d’un dessert, rien que nous deux, quelques minutes tranquilles ?
-Vous voulez que j’aille chercher des pâtisseries David ?
-Petite sotte. Non je parlais d’un dessert plus agréable lui répond-il en glissant sa main sous sa jupe.
-Mais…non…
Il pose un doigt sur sa bouche, glisse sa main dans sa culotte et commence à lui caresser le sexe.
-Ca non plus, ce n’est pas d’ici. Je ne veux plus que tu en portes.
Sa main caresse toujours ces quelques poils blonds pendant qu’un doigt commence à se faufiler entre les lèvres. La jeune femme reste de marbre, sans voix, sans mouvement, quasiment sans respirer.
Le patron n’a pas à forcer l’entrée de ce sexe de jeune femme, c’est comme un aspirateur chaud bouillant. Le patron remonte le majeur dégoulinant de mouille et le porte à la bouche de Magalie.
-Tu aimes ?
Magalie suce le doigt avec amour en se régalant autant de sa mouille que du moment présent.
Le patron plonge une nouvelle fois son doigt dans la culotte de la jeune femme. 1 minute plus tard c’est accroupi qu’il vient déchirer la culotte noire avec les dents pour y fourrer son nez puis sa langue.
La sonnerie de l’entrée retentit à ce moment-là. Une femme vient d’entrer.
-Reste là. J’y vais.
David se lèche les doigts, s’essuie la bouche et va servir la cliente. Il passe de rayon en rayon en essayant de faire vite mais sans non plus être mal poli. Un client entre à son tour. D’un coup de tête il fait signe à Magalie de venir le servir.
Un défilé de clients et de clientes a bientôt lieu ne laissant pas de répit aux deux pour terminer ce qui vient de commencer.
Ce n’est qu’à 19 heures que tout se calme enfin.
-Où en étions-nous lui demande David ?
-Vous me…
-Tu vas y avoir droit petite sotte, mais d’abord voyons voir le chiffre.
Les deux se mettent à l’écran et découvre en 3 clics : 8000
-Je te l’avais dit ! Tu es parfaite pour ce métier, entre autres.
-Oh ! Vous croyez que c’est vraiment moi ?
-Tout à fait, mais ce n’est qu’un début.
David passe derrière Magalie, remonte sa jupe du bout des doigts et fourre son nez sur ce sexe qu’il veut découvrir et apprivoiser. Magalie s’appuie sur le comptoir de la caisse, écarte légèrement les cuisses et se laisse lécher. David prend plaisir avec ce jeune sexe blond de 22 ans, il fouille, il lèche, il embrasse, il mordille, il fait glisser sa langue sur toute la longueur de la fente et se rapproche de la rondelle de la belle.
Pour lui signaler qu’elle en veut plus Magalie attend le bon moment et décale son bassin pour se faire lécher l’anus. David y reste plus qu’il n’en faut déclenchant un orgasme fulgurant à la jeune femme.
Un client entre juste à ce moment-là et découvre la jeune femme décomposée.
Il fait mine de rien et fait le tour des rayons.
-Da…David il y a un client
David se réajuste vite fait, cache son érection comme il peut
-Ne bouge pas. Je reviens.
Il va servir le client laissant la jeune femme avec la jupe remontée. Le client est rapidement accompagné jusqu’à la caisse. De là où il est, il ne peut manquer de voir la jeune femme avec la jupe sur les hanches, le sexe à l’air et quelques gouttes de liquide sur le sol.
-Parfait monsieur. Ça fera 77,60 euros lance David après quelques secondes
-Merci. Bonne soirée à vous deux lance-il avec un clin d’œil
-La soirée risque d’être bonne, comme la journée je pense.
-Je suis heureux pour vous lui répond le client
-Ne me dites pas que vous n’avez pas passer une bonne journée monsieur ?
-Pas top mais elle se termine plutôt agréablement de mon point de vue.
-Faut passer à l’action quand on veut quelque chose vous savez ajoute David en mettant une main sur le sein gauche de Magalie toujours sans voix, le sexe à l’air, la jupe remontée.
-Vous croyez.
-J’en suis persuadé. Magalie, veux-tu bien t’occuper de monsieur quelques minutes ajoute il en lui mettant une petite tape sur les fesses.
Le client, un jeune homme brun, grand, très grand, n’est pas pour déplaire à Magalie, mais pas dans ces conditions.
Le client et Magalie s’en vont aux cabines d’essayage, sans un mot. Magalie est tombée sous le charme du jeune homme et excitée comme elle l’a été par le cunnilingus, il lui en faut plus, maintenant, tout de suite.
Elle tire le rideau, se retourne, ouvre le pantalon du jeune homme, déballe son sexe et le fait bander de suite.
Un sexe d’une quinzaine de centimètres, fin, poilu, et un bout pointu. Ce n’est pas la forme préférée mais ça ira pour ce soir.
Magalie lui pompe la bite avec envie, avec désir. Elle suce, aspire fort. Elle a le souffle court et le sexe en ébullition. Même pas le temps de profiter plus qu’elle se fait surprendre par une petite éjaculation qui ne lui remplit même pas la moitié de la bouche. Le client n’arrive même pas à retrouver ses esprits. Il reste là, perdu dans le vide, les bras ballants.
Magalie ouvre le rideau et retourne à la caisse.
-Mais…Qu’est-ce que tu fais déjà là ? lui demande David
-Bah quoi… Je l’ai sucé comme vous vouliez ! Patron
-Déjà finit ? Tu ne l’as pas vidé quand même ?
-Si dit-elle en montrant sa bouche avec quelques restes blanchâtres à la commissure des lèvres.
-Il est où ?
-Toujours là-bas. Il n’a pas bougé.
Les deux retournent voir le client.
Celui-ci est toujours dans la même position, la bite toujours dressée, les yeux dans le vide, absent.
-Monsieur ? Monsieur ? Tout va bien lui demande le patron.
Aucune réponse.
Il le secoue un peu. Aucune réaction.
Le patron essaie de le brusquer. Rien.
Le patron lui met une gifle. Rien.
Le patron regarde Magalie. Il finit par lui prendre le pouls. Rien.
Habitué à regarder du porno, le patron a bien du mal à ne pas s’absenter plusieurs fois par jour pour en mater sur son smartphone. Mater du porno avec beurette sur son smartphone lui déclenche de folles érections, bien que d’autres types de nanas soient à son goût également. Son faible se porte sur la coquine algérienne ou tunisienne de préférence, mais il n’est pas contre d’autre coquines quoi qu’il en soit.
Si bien sûr, en avoir une à lui, blonde, brune, rousse, antillaise ne lui déplait pas, son fantasme reste toujours sur les beurettes. Il aimerait tant en avoir une à lui, pouvoir la dompter et lui faire réaliser mielle et une petites choses salaces et très coquines. Qui sait ? un jour il aura peut-être la chance de réaliser ce fantasme. En attendant, il se connecte tous les jours pour visionner une vidéo porno (ou deux) avec une algérienne ou autre coquine.
Ma femme Ann***aussi a sucé son patron est a reçu son sperme dans la bouche elle a toujour été une petite salope depuis ses *** ans elle aimait avoir une bonne bite dans la bouche elle adorait sucer