Un coup de fil et me voilà parti la rejoindre sur la plage. Elle est, pour une fois chez les nudistes. Je crois qu’elle est aussi nue que les autres. J’ai une idée lumineuse: elle m’attend, je vais lui faire une surprise à elle et ses amis. Je trouve un petit chemin où j’engage la voiture.
Je me mets nu, totalement nu. Mais chez moi, dès que je suis nu je bande. Tant pis, je remonte dans la voiture. Même en bandant je peux conduire.
Malgré moi ma main droite se met sur ma bite je descend la peau pour bien exposer mon gland. J’imagine la main de ma femme sur sa chatte, je l’ai assez souvent vu se masturber. Je me souviens de ses lèvres qu’elle garde bien ouverte, de son doigt entrant dans la fente et allant caresse doucement le clitoris.
Ma queue ne dégonfle pas au contraire. Je suis forcé d’arrêter la voiture au bord de la route. Je sors un kleenex au cas où. Je prend ma bite dans la main droite. Je me masturbe lentement j’arrête pour recommencer.
Je pense à téléphoner à mon épouse. Je lui dis ce que je fais. Elle me répond que je l’excite beaucoup.
A ma demande qu’elle aussi se branle : elle est d’accord. Elle me demande d’attendre qu’elle trouve un endroit isolé pour accompagner mon orgasme. Elle part à la recherche de son paradis tout en continuant téléphoner. J’ai arrêté ma branlette, même si je bande toujours, même si une bande de fille en passant me voit nu, la bite en l’air en proposant de venir me sucer. Elles s’en vont quand ma main reprend ses va et vient sur ma queue.
Enfin ma femme a trouvé au fond du bistro une place qui convient. Elle m’explique ce qu’elle fait, enlèvement de sa culotte, versement de la bouteille de bière dans un verre, Pose de la bouteille à l’entrée de son sexe. C’est la première fois qu’elle va se baiser avec une bouteille. Malgré le froid, elle continue sa nouvelle méthode. Elle pousse un peu pour faire entrer le cul de la bouteille.
Elle m’explique comment ses lèvres avalent la bière. Elle tint le goulot ce qui lui suffit pour se baiser sans qu’on la voit. Elle m’interroge sur mon avancement dans le plaisir. J’explique en détail ce que je me fais. Elle me demande de me caresser les couilles dans un premier temps et à peine un peu plus tard de me caresser l’anus.
Je suis donc dans ma voiture, nu, à la place du conducteur, les jambes écartées, un doigts sur le cul près à y entrer si elle le veux. Je me caresse la bite pendant qu’elle se baise avec le cul d’une bouteille. Je lui dis quand je vais éjaculer. Elle me demande d’arrêter un moment pour que nous jouissions ensemble. J’entends sa respiration aller pus vite. Ma main oublie ma queue pour l’instant.
Enfin elle me dit qu’elle va jouir. Je reprend ma caresse qu’elle imagine fort bien. Plus rien ne peux m’arrêter, même la voiture qui s’arrête.
Deux hommes viennent me voir, il sortent leur pine.De beaux morceaux. Je crains un instant qu’ils me demandent de les sucer, ce que j’aurais fait en le disant à ma femme. Ils sont là, me regardent, chacun prend la queue de l’autre pour le branler. Ça je le raconte à ma femme qui du coup ne peut plus se retenir : elle me dit jouir.
Les deux autre bites explosent sur la voiture. Je jouis aussi dans mon mouchoir.
Quand j’arrive vers ma femme quelque minutes plus tard toujours nue, je klaxonne deux coup.
Elle sort de café, elle prend sa place.Sans tenir compte de environnement, des gens qui passent, elle se penche vers ma pine, la caresse à peine avant de la lécher puis le l’avaler. Elle me fait du bien au gland. Elle n’attend pas longtemps le résultat quand je jouis dans sa bouche. Elle me déguste jusqu’à la dernière goutte : elle aime mon jus. Je reprends la route, toujours nu, mais la bite accompagnée par la main habile de mon épouse.