Inanna, vous transmet le 20ème volet de son histoire érotique…
N’oubliez pas de lire le premier chapitre d’Indécences – Itinéraire d’une dévergondée
Chapitre 20 : Tiges de jade
En fin de semaine suivante, c’est avec le même empressement que je retrouvais mes deux cavaliers qui ne devaient pas manquer de m’avoir imaginé un hardi divertissement à affronter. Le secret n’était pas bien gardé et nous nous retrouvions sur les routes en quête de rencontres insolites.
Gildas, pour sa part, ne semblait toujours pas vouloir renoncer à m’offrir un routier ; son désir le plus fort étant de me voir « aller en cabine » pour satisfaire la privation de rapports sexuels supposés de ces hommes loin de leurs épouses. Le jeu – entre nous ces défis qu’ils m’imposaient restaient bien des jeux – était loin de me déplaire même si je ressentais toujours quelques appréhensions à l’approche de leur préambule.
Mes compères avaient décidé de reprendre leur plan initial, jugeant qu’une telle rencontre pouvait être plus opportune en début de soirée, au moment où les camions se retrouvaient nombreux à être parqués sur leurs aires de stationnement et leurs chauffeurs plus disposés à se dégourdir un peu plus que les jambes après de longues périodes de conduite.
La première zone de services rencontrée fut notre refuge, restait à voir si cette éventualité allait enfin pouvoir se concrétiser. Gildas, qui ne se départait nullement de son naturel optimisme, avait garé son véhicule non loin d’un groupe de camions parqués un peu à l’écart. Une poignée d’hommes y était en grande discussion, il se dirigea aussitôt vers eux.
Assise seule à l’arrière de la voiture, je n’en menais pas large. En raison de son caractère initiateur, ma sortie précédente ne m’avait procuré aucune appréhension, mais cette fois j’étais peu rassurée d’être donnée en pâture à un groupe d’inconnus. Cependant, une énigmatique fascination me faisait affronter cette nouvelle expérimentation avec audace.
Depuis notre véhicule, je distinguais Gildas qui montrait quelques signes de mésentente face à son auditoire. Claude le perçut également et me fit remarquer :
« Ça n’a pas l’air facile de se faire comprendre. Normal, les camions sont tous immatriculés à l’étranger… Qu’est-ce qu’il peut bien leur baragouiner ? »
Nous scrutions tous deux Gildas qui tentait vainement de s’expliquer par gestes. Les hommes qui lui faisaient face semblaient extrêmement perplexes, nous étions tout aussi dubitatifs face à ses gesticulations. À un moment il se retourna et braqua un doigt dans notre direction ; d’un mouvement d’ensemble, les hommes scrutèrent intensément dans notre direction.
J’eus un geste de recul, bien dérisoire, car je ne devais certainement pas être visible depuis leur position. Ne portant que des sous-vêtements sous mon manteau, je me mis à grelotter. J’avais la chair de poule, frissonnements de fraîcheur et de crainte mêlés. Tentant de maîtriser mon angoisse, je serrai les cuisses entre lesquelles je sentis malgré tout un déconcertant transport se propager.
Au loin, Gildas eut un mime éloquent : formant un cercle du pouce et de son index de la main gauche, il y fit coulisser à plusieurs reprises son index droit. Pour un étranger à la scène, la démonstration aurait indiscutablement paru obscène, elle avait cependant le mérite d’être universellement intelligible. J’en eus la preuve en voyant l’un des hommes s’empoigner et se malaxer le bas-ventre au travers du pantalon en guise d’assentiment.
Gildas se retourna une nouvelle fois vers nous, et nous adressa un autre geste compréhensible. D’un index recourbé en forme de crochet au bout de son bras tendu, il me fit comprendre que je devais le rejoindre.
« C’est à toi de jouer, ma belle ! » me confirma Claude, également absorbé par la saynète qui se jouait devant nous et dont le timbre de la voix témoignait d’une anxiété amplement partagée.
Comme dans un rêve, je m’extirpai du véhicule, les jambes flageolantes et manquai de chanceler à plusieurs reprises avant d’aborder le groupe. Sous la pâle lueur d’un croissant de lune, je distinguai parfaitement les regards pleins de convoitises de ceux qui n’aspiraient qu’à me posséder sans autre préalable.
Gildas me prit la main, je crus y discerner un léger tremblement. Cherchant à croiser son regard fuyant, je le laissais opérer à son gré. Il me fit faire un demi-tour sur moi-même et, sans échanger le moindre mot, me débarrassa de mon manteau qu’il garda avec lui, offrant à l’assemblée une perspective culottée du côté pile de ma frissonnante anatomie.
Me délaissant dans cette honteuse posture, il rejoignit son complice bien caché dans l’habitacle obscur de la voiture. Abandonnée, je devais maintenant affronter seule l’offense d’être publiquement humiliée. Étonnamment, alors que j’aurais dû me sentir dégradée par cette perspective, elle exaltait mon empressement d’être outragée.
Impatiente, je dus attendre quelques secondes avant de ressentir le contact d’une main calleuse accrocher la peau douce de mon entrecuisse. Quelques mots furent échangés en chuchotant. Ils me furent totalement incompréhensibles mais, en me fiant à leur intonation, je compris que mes assaillants émettaient quelques appréciations, a priori flatteuses, sur mon attrayant fessier.
L’analyse de ma croupe ne pouvant se contenter d’un examen visuel, je fus très vite pétrie par une nuée de paluches envahissantes. Le cœur emballé, je me laissai palper fougueusement par la horde des mâles exaltés et me mis à partager leur enthousiasme à m’examiner plus en profondeur.
Cinq hommes m’entouraient à présent, je ressentais la chaleur de leur souffle sortant de leurs narines dilatées alors qu’ils me pelotaient sans scrupule. Ma poitrine fut vite libérée de sa parure, mes mamelons durcis inévitablement triturés.
Une pogne rugueuse se glissa dans ma culotte, aussitôt engluée par l’épanchement humide de ma vulve en demande d’attouchements plus intrusifs. Quelques grommellements accompagnèrent le glissement soyeux de ma lingerie intime, je fus alors examinée de face par l’ensemble des étalons qui me présentèrent leurs tentatrices raideurs par leurs braguettes ouvertes.
Charmée par l’égrillarde éclosion de ces colonnettes embellies par la crayeuse nitescence de l’astre de la nuit, je me laissai guider par l’un d’entre-eux à l’abri d’un semi-remorque. Placée devant ce que je devinai être un réservoir, je fus positionnée de façon à être prise le plus aisément par l’assemblée.
La culotte à mi-cuisses, la poitrine déballée, j’eus un regard en direction de mes deux complices. Effacés par l’obscurité, je savais qu’ils nous observaient avec une attention toute particulière. Alors que je sentis un gland humide chercher à se glisser en moi, je leur adressai un sourire complice, prouvant ainsi ma gratitude.

Je leur adressai un sourire complice…
Cette reconnaissance pouvait sembler déplacée, c’est pourtant avec ma pleine bénédiction qu’ils m’envoyaient à ce type de châtiment qui n’était en rien une punition, mais bien la récompense d’être l’instrument choisi de leur dévergondage.
Penchée en avant, les mains en appui sur les genoux, je me faisais puissamment tamponner le derrière par les ballants attributs d’un premier assaillant qui avait laissé choir slip et pantalon sur ses mollets pour mieux m’honorer. Les sens échauffés par notre public accouplement, notre commune exaltation nous transporta dans une furieuse perversion sous les regards de spectateurs qui deviendront à leur tour acteurs.
À peine retiré de son lieu de débauche, un autre prit la place maculée et, cédant aussi vite au même transport, y versa diligemment son trop plein de vitalité. Sans se préoccuper de la souillure qui remplissait mon vagin, un troisième sacripant s’y engouffra à son tour.
Le bruit humide de nos sexes emboîtés devait se propager dans le calme environnant, me faisant craindre qu’il alerte bien plus de larrons que ne l’aurait voulu mes deux compères qui ne devaient rien perdre de la séance.
Le pénis englué dans le sirupeux mélange ne s’y laissa pas piéger et y déchargea tout aussi intensément. En se retirant, il libéra d’épais filaments blanchâtres dont certains restèrent suspendus à l’échancrure de mon entaille. Me dandinant sur mes jambes, je tentai d’en faciliter l’évacuation lorsque je m’aperçus que le tissu de ma culotte, tendu entre mes cuisses écartées, en recevait l’indolent écoulement.
Je n’eus guère le temps de m’apitoyer sur le sort de mon superflu ornement, qu’un quatrième partenaire le fit glisser sur mes chevilles et me saisissait par les hanches pour m’empaler d’un seul élan. Jouissant sous les oscillations répétées, je ne me préoccupai bientôt plus de mon entourage, m’accrochant avec peine à certaines aspérités de la remorque alors que je sentais les spasmes éjaculatoires de la verge qui me possédait.
M’agrippant toujours par les flancs, l’homme me tenait fermement embrochée sur sa pique, moins empressé de quitter la douceur de l’endroit que les précédents locataires. Lorsqu’il se retira, il m’écarta les fesses et porta son intérêt sur mon évasure dégorgeant le trop plein de leur alliance.
Le pénis flasque, bavant et pendouillant toujours hors de l’habit, l’homme qui avait ouvert le bal me malaxa les seins toute la durée des coïts, formulant des propos incompréhensibles à l’adresse de ceux qui copulaient. La procession des assiégeants s’étant tarie, il voulut se remettre en moi, non sans avoir pris le temps d’apprécier les girandoles déposées par les ferventes saillies.
Sa seconde étreinte fut plus placide, plus lente, et s’étira jusqu’à l’assèchement de l’appétit de mon enfileur qui me délaissa sans autre considération. Étourdie par la fulgurance des assauts, une brise rafraîchissante me fit revenir à la réalité de mon ahurissant comportement.
Restée seule, comme je répugnai à remonter ma culotte souillée, je vis sortir de l’obscurité un autre homme qui s’approchait à pas lents. Demeuré à l’écart durant la série de mes expéditifs accouplements, je l’avais à peine remarqué et en avais oublié la présence. Planté devant moi, il m’observait remettre laborieusement mon cache-sexe qui s’était follement entortillé à mes pieds.
« Souinia… uprawac… cajuta… »
Que me voulait-il ? Il restait à légère distance, nonchalant, mais je pus saisir son éloquent agissement. Il ne faisait aucun doute qu’il se touchait, les mains engoncées dans ses poches.
« Iou biche… »
Quel était donc cet étrange galimatias ? Peu importait finalement, si les mots me parvenaient déformés, l’idée qu’ils traduisaient se formula vite par gestes. Sortant ses pognes, il pointa du doigt la cabine de l’attelage qui venait de nous servir de cachette et empoigna le perceptible renflement de son bas-ventre avec enthousiasme ; pantomime qui me valait une démonstration sans équivoque.
Le quidam, bien que timide, n’en était pas moins homme et se révélait à présent bien gaillard à l’abri des prunelles indiscrètes. Le regard fripon, il convoitait avec aplomb mon corps dépouillé et poursuivit son amphigourique débit :
« You… toi… sleute… feuque your cunte… » [1] Ce disant, il me désigna une nouvelle fois l’habitacle de son camion. Cherchant à dissiper mon inquiétude, je scrutai d’un regard apeuré en direction de mes complices plus que jamais évanouis dans la pénombre de la nuit.
Ignorant tout de mon manque d’assurance, le routier ouvrit la portière de son poste de conduite et m’invita à monter sur le marchepied ; une irrépressible pulsion me porta immédiatement vers l’emmarchement. Je posai un pied sur le premier écueil avec peine. Alors que je soulevai la jambe pour me porter sur la seconde marche, mon guide en profita pour me tambouriner le popotin et me poussa sur les fesses pour m’aider à franchir l’obstacle, accompagnant son geste caressant de mots allochtones.
Parvenue de cette manière au sommet de mon équipée, je marquai l’arrêt devant ce que je découvrais. Je me retrouvai dans ce qui ressemblait plus à un cockpit d’avion, bien loin de l’idée que je me faisais d’un habitacle de camion. Fascinée, je restai agenouillée sur le siège passager, offrant une pleine exposition de mon croupion au convoiteux pilote.
« Woche, botifoul ass… jolie dame. »
La phrase, plus compréhensible, s’accompagna d’une nouvelle tape amicale sur mon fessier, me faisant ainsi comprendre que je devais m’avancer pour donner l’accès à celui qui allait me consommer sans tarder. Tenant facilement debout au centre de la luxueuse cabine, j’en oubliais ma quasi-nudité en portant un regard décontenancé sur mon entourage.
Douillettement éclairé par un plafonnier et visuellement isolé de l’extérieur par des rideaux occultant, l’aménagement intérieur était d’un luxe insensé, le poste de pilotage encombré d’éléments auxquels je ne comprenais rien. Mais ce qui me frappa d’emblée fut la couchette déjà préparée pour m’accueillir.
Je n’eus guère la possibilité d’explorer plus avant le lieu de ma débauche promise. Après avoir précautionneusement refermé la lourde portière, l’homme se porta à mon côté et entreprit de me caresser avec une désinvolture qui tranchait avec sa réserve précédente. Il examina ma poitrine, se mit à en sucer un téton tout en glissant une main endurcie sur mon ventre frémissant.
Dans ma précipitation à remettre ma fine culotte, je ne m’étais pas rendu compte qu’elle était restée un peu enroulée sur elle-même en la remontant sur mes cuisses. Au lieu de dissimuler mon pubis, comme tout cache-sexe qui se respecte, elle s’était engagée entre mes muqueuses étirées à la suite des vives étreintes.
L’homme ne s’en étonna nullement, et prit même plaisir à tendre davantage la peau élastique de mes grandes lèvres tout en clamant haut et fort sa jubilation.
« Vouch… poussi lips… »
Blasé de ce plaisant intermède, il me retourna et, après m’avoir débarrassée de mon superflu affiquet, me fit pencher en avant pour inspecter mon derrière avec le même enthousiasme. Puis, d’un grognement indistinct, plus que d’un ordre formel, il me fit comprendre que le temps était venu de m’étendre sur sa couche.
Se touchant de deux doigts au travers de son pantalon, il m’observa sagement me placer sur sa moelleuse paillasse. Assise sur le bord de l’étroite literie, en appui sur mes coudes, je lui faisais face, cuisses ouvertes, offrant à mon offenseur un axe privilégié sur l’organe des plaisirs.
Fièrement campé au milieu de sa cabine, les yeux rivés sur la tentation promise, il entreprit un flegmatique déboutonnage de son pantalon. Fixant avec la même convoitise le lent déballage, je déployai les larges pétales de ma fleur.
La barrière de la langue nous refusait tout échange verbal, mais nos langues, elles, ne déniaient pas d’exprimer notre attrait partagé pour le sexe par de salaces signaux en se mouvant lubriquement hors de nos bouches.
Le pantalon à mi-cuisses, il se masturbait devant moi qui me délectais de voir l’aguichant pénis se raidir. Au gland vermillon distendu, à présent bien décapuchonné, miroitait une délectable perle d’une transparence cristalline.
Il s’approcha, les braies en accordéon sur les chevilles et, sans autre préalable, m’étendit de biais sur la couette. Il se coula entre mes jambes, sabre au clair et, en parfait bretteur, me pourfendit la motte détrempée de son aiguillon effilé.
Grommelant, bougonnant, écartelant mes cuisses de ses coudes, divisant ma vulve de ses doigts pour favoriser sa conquête, j’eus l’impression qu’il cherchait à me disloquer. Les claquements de notre humide cavalcade, les frappes répétées de ses bringuebalantes bourses sur mon réceptif périnée, mes voluptueux gémissements, ses râles de contentement, l’ensemble contribuait à nous égarer.
Le souffle court, asphyxiée sous le poids de son corps, j’étais prête d’atteindre le paroxysme de la jouissance, lorsqu’il se retira d’un trait. Étonnée, je le regardais. Il me fit signe de me retourner. Comprenant son attrait, je me mis à quatre pattes, le front en appui sur le matelas, bien cambrée pour bien lui présenter mon arrière-train.
Par-dessous mon ventre, je contemplai son membre palpitant et luisant qui se balançait alors qu’il délaçait ses chaussures en se tenant alternativement sur une seule jambe. Il les retira, avec tout ce qui pouvait le gêner en dessous de la ceinture, et s’enfonça aussitôt dans mon enveloppante moiteur.
« Ach ! femme… bonne… baiser la chatte… »
Un sein dans chaque main, il resta planté au plus profond de mon ventre, recula sans se déloger et m’envoya une bonne tape sur les fesses.
« Toi slut… salope… hein ? »
Ses va-et-vient reprirent de plus belle, de plus en plus profonds, de plus en plus rapides, et les suintants chuintements de nos sexes ne furent plus entrecoupés que par quelques borborygmes incongrus. Aux frontières du vertige, je n’en reconnus à peine leurs grossièretés.
« Toi… aimer sperme… flop-flop… full of cum… plip-plop… arg… good fuck… sploch-sploch… ouvrir bien le pussycat… flip-flop… petite française… »
Mais déjà je n’entendais plus, je fus pris de violentes convulsions et ne pus contenir un long feulement : je jouissais sous la fougueuse union de nos corps transis. M’agrippant par les hanches, il m’empala à fond pour éjaculer par jets brûlants, les testicules écrasés sur le replet arrondi de ma motte.
Le postérieur toujours impudiquement exposé, je perdis toute stabilité sur la literie, amenant mon partenaire à se désunir. Ses doigts vinrent inspecter mon perlant orifice et il me claqua une nouvelle fois le derrière, me faisant comprendre que la bataille était achevée.
Ne sachant quelle attitude adopter, je me dirigeai vers la portière, penaude mais néanmoins ravie d’avoir remporté l’épreuve. Je n’osai cependant affronter directement son regard lorsqu’il me rendit ma liberté.
Je fus saisie par la fraîcheur nocturne qui s’engouffra dans mon sillon surmené et me redonna un semblant de vitalité pour rejoindre notre véhicule au pas de course. Claude m’ouvrit la porte et je m’engouffrai dans le chaud habitacle où je pus m’envelopper de mon douillet manteau.
« Tu en as mis du temps, me déclara-t-il. Il a dû drôlement bien te baiser, ma parole. Tu en as même oublié ta culotte. »
Je n’esquissai qu’un sourire alors que la voiture s’ébranlait.
« Tu l’as sucé au moins ? »
J’apportai une dénégation d’un simple signe de tête. Il m’enroula de son bras, porta une main sur ma nuque, me forçant à porter le visage vers le haut de son pantalon dégrafé d’où émergeait un pédoncule surmonté d’un chapeau rosé que je m’empressai d’aspirer.
La soirée de mes compères ne faisait que commencer…
1 – Mon anglais de l’époque, encore très scolaire, associé à ma candeur, ne me permettait pas de comprendre tout le sens du propos !