— Regarde ! C’est pas admirable ?
L’étalage de mes dentelles médusa le spectateur, inhibant toute réaction. Denis taquina encore la proéminence de mon pubis, modelant le bombement de ma motte d’un index palpeur. Pétrifié par le fripon tableau, le visage de l’unique témoin s’enflamma.
Denis, toujours prompt dans ses décisions, lâcha ma jupe et notifia à son partenaire :
— Je me suis rancardé à l’accueil, ils ferment le portail à vingt-trois heures. Ça nous laisse quand même un peu de temps, mais il ne s’agit pas de trop s’endormir. À moins que tu ne veuilles garer ton véhicule à l’extérieur et faire le mur ?
— Non, merci, c’est plus vraiment de mon âge.
— Ou passer la nuit avec nous ?
— Ça me plairait déjà mieux, mais il faut vraiment que je rentre ce soir.
— Toujours tes bestioles à nourrir ?
— Elles ne savent toujours pas le faire elle-même.
Puis, se tournant vers moi, Claude m’informa :
— Serge a une superbe collection de lézards : caméléons, iguanes, varans ; ce sont ses bébés…
— Ils demandent beaucoup d’attention, c’est vrai.
— Et si on s’occupait de nos lézards à nous ? Ils demandent des soins eux-aussi.
La plaisanterie eut le mérite de nous décontracter… et de nous replacer dans le contexte. Denis m’approcha et entreprit de me dévêtir.
— Serge, aide-moi à déballer cette merveille.
Leurs gestes étaient maladroits et je dus quasiment me dépouiller moi-même, Serge se contentant de prendre les effets que je lui remettais en main au fil de mon effeuillage. Je me retrouvai très vite en slip, mon cache-cœur recouvrant ma poitrine. Toujours interdit, Serge, mes habits encore sur le bras, regarda Denis me délester de mon corsage en le passant par-dessus mes épaules. Se glissant derrière moi, il empoigna mes seins, faisant rouler leurs pointes durcies entre ses doigts. Sa verge au bout humide se frotta sur l’intérieur de mes cuisses.
— Pose ses fringues, et viens tâter par là. Regarde-moi ces ravissants petits nichons, il y a combien de temps que tu n’en avais pas vu ?
Serge posa délicatement mes vêtements sur la chaise, revint calmement vers moi et caressa ma poitrine libérée. Les mains de Denis effleurèrent mes hanches, malaxèrent mon ventre, puis se glissèrent dans ma culotte. Un irrépressible frisson ondoya dans mon bas-ventre, se propageant jusqu’à la plante des pieds.
Denis s’en aperçu et, tout en me mordillant la nuque, déclara à son acolyte :
— Baisse sa culotte, je crois qu’elle est prête là.
Serge manifesta enfin son entrain. Confortablement assis sur le bord du lit, il agrippa le fin tissu et le fit descendre délicatement le long de mes cuisses pour mettre à nu la fente verticale qui prouvait que je n’étais pas du même sexe.

Voyant qu’il restait en adoration devant la commissure marquant l’entrée de ma vulve, Denis se replaça de côté pour partager la même vénération. Flattant les attributs de sa masculinité, il ordonna :
— Broute-lui le minou !
S’exécutant, il fit tomber ma culotte sur mes chevilles et je l’enjambai pour m’en séparer sans mécontentement. Après m’avoir demandé de m’allonger sur la couche encore vierge, il se pelotonna dans la chaleur de mon entrecuisse qu’il écarta pour déployer mes intimes ourlets englués de mucus de ses doigts engourdis par l’émotion. Après m’être maintes fois languie, j’y étais enfin à cet instant tant attendu. Sans avoir exprimé le moindre mot depuis mon arrivée dans la chambre, je me laissai manœuvrer sans déplaisir par les deux protagonistes de ma débauche.
Tandis que Serge me faisait fondre sous la pointe pénétrante de sa langue, Denis s’agenouilla à mon côté et se pencha sur mon buste pour me téter un sein, triturant et malaxant agréablement l’autre. Humée, suçotée, doigtée, fouillée par Serge, mon vagin se fluidifia sous sa fouille minutieuse.
Denis se releva, dégrafa sa ceinture, défit le dernier bouton de son pantalon qu’il descendit suffisamment pour me présenter pleinement sa verge et ses testicules. Il s’agenouilla au plus près de mon visage et inclina son bassin pour me permettre de la prendre en bouche, attisant encore plus le feu de mon ventre.
— Trêve de préliminaires Serge, le temps passe et tu n’as pas toute la nuit.
S’arrachant de sa position, qui devait pourtant être enviable, Denis recula du lit et se débarrassa de ses vêtements qu’il jeta à même le sol. Serge l’imita tout en se pourléchant les babines luisantes qu’il essuya d’un revers de main.
Anticipant leur intention commune, que j’attendais avec une impatience mêlée d’angoisse, je m’installai dans une posture plus abordable sur la couche accueillante. Au bénéfice de l’obscurité naissante, le regard concupiscent, je les contemplai se dévêtir, humectant mes lèvres avec convoitise, alléchée par la divertissante danse de leurs diversiformes attributs se bringuebalant au gré de leurs mouvements.
Serge, sans même un regard, vint se placer sur moi. En appui sur un coude, triturant sa verge pour en affermir l’érection, il se faufila dans l’entaille de ma vulve pour en écarter les replis. Trouvant l’orifice du vagin, il s’aida de ses doigts pour s’y engager, s’enfonçant toujours plus par d’amples mouvements du bassin. Lascive, je m’abandonnai pleinement à la capiteuse charge, savourant les doux glissements dans la mouillure de mon ventre.
— Elle t’inspire ma queue ?


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