Et je le fis agenouiller devant moi. Sans perdre de temps, il avala goulument mon sexe, me faisant presque mal tant celui-ci était dressé. Il me malaxa en même temps les testicules. Prenant un plaisir infini, je ne voulus pas pour autant le lui laisser voir.
– Continue, ce n’est pas encore tout à fait cela. Ne te contente pas de sucer, lèche aussi, voilà, toute la longueur, et le bout aussi. Maintenant, tourne-toi.
Je le fis mettre à quatre pattes sur la moquette.
– Tu l’as voulue, ma queue, eh bien tu vas l’avoir.
M’agenouillant derrière lui, je décidai de le prendre en levrette, ma position préférée. Je le fis d’un coup de reins. Je m’enfonçai complètement en lui, le tenant par le haut des fesses. Mes coups de boutoir faisaient tressaillir ses fesses. Il criait, hurlait, comme rarement j’avais eu le plaisir de voir un mec le faire.
– Maintenant, couche-toi sur le bureau, lui dis-je d’un ton tellement sec que ça ressemblait a un ordre.
Ses jambes pendaient dans le vide. Je les lui écartai et plongeai dans son trou du cul. Il entourait ma taille de ses jambes. D’une main je lui caressais les couilles. Il gémit encore plus fort. Il m’empoigna nerveusement la main qui lui triturait les couilles et explosa de bonheur…
Quand il fut remis et revenu à lui, je lui fis remarquer que je n’avais pas joui, moi. Je pris alors sa place sur le bureau et il me fit une fellation divine. Je me laissais complètement aller. Je m’offrais totalement, écartant mes cuisses pour qu’il puisse, à son aise, me caresser et les couilles et l’anus tandis que ses lèvres se régalaient de mon sexe. Il faisait tellement ça bien que je n’ai pu faire autrement que de jouir très rapidement. J’éjaculai sur son beau visage et sur son torse.
Depuis, pratiquement chaque samedi, nous nous aimons…
HUMMMMMMMMMMM merci pour cette magnifique histoire , tendre a la fois et hard , ça me rappelle mon Maître a sont bureau
Bonjour , HUMMMMMMMM merci pour cette magnifique histoire , aussi tendre que hard , ça me fait pensée avec mon Maître dans sont bureau
Très belle histoire comme je les aimes , sans cruautés physiques ni verbales. Preuve que l’on peu se faire plaisir entre hommes et surtout plaisirs partagés ?