Histoire érotique nuit de noce en 1830

Veuillez attendre un instant pour la suite. Je vous tournerez pour aimez vos fesses.
Mes fesses ? Qu’est ce qu’elle sont mes fesses ?
Elles m’attire comme votre écrin attire ma bouche.

 

 

 

Je ne comprends rien ,en tout cas il écarte mes jambes, ce qui n’est pas dur, il y passe sa tête. Il la monte bien haut. Je comprends où il veut aller ; je ne comprends pas ce qu’il va y faire. Ses lèvres lèchent lentement toute ma féminité. Je devrais en sentir du dégoût : j’ai encore un plaisir plus fort que le premier. Je sens que je jette un liquide dont il se repaît. Il vient m’embrasser sur la bouche, Cette fois il ouvre ses lèvres en sort sa langue pour la mettre dans ma bouche. Il est malade ce type ! Mais c’est bon ce baiser avec les langues. Il a le goût de mon bas ventre. Comment peut-il aimer ce goût affreux. Il se tourne sur moi. J’ai son membre près de la bouche. Il ne veux quand même pas que je lui fasse une bise  à cet endroit. Il me tourne aussi sur lui. Sa tête est sur mon bijou. Il me lèche encore. C’est bon, je le laisse faire. Il me force à prendre son membre dans la bouche. Ça a un drôle de goût, pas désagréable. L’instinct sans doute fait que je mange son membre en le léchant comme il m ‘a fait. Je le rentre le plus profond possible entre le palais et les joues. Je compare le plaisir qu’il me donne à celui que je lui fait certainement. Il me surprend en me donnant son jus.
Nous restons collés pendant que je lui caresse son machin qui a dégonflé. Il se remets en forme. Je le veux encore.  Tiens qu’il aille me fouiller les fesses. Je ne lui ai pas demandé ; il passe son machin dans la raie de fesses. Mon dieu, il va vouloir entrer dans mon  petit trou qui est trop étroit. Il me laisse tranquillement sur le dos. Il me demande de passer ma main sur mon sexe. Je ne l’ai jamais fais, je ne vais pas commencer ce soir. Il approche son bout très proche de mon petit anus. Il le pose même. J’ai beau forcer pour ouvrir ce trou, je n’y arrive pas bien.
Il prend ce qui coule de mon bas-ventre, en mets à l’entrée du trou visé. Je le sens quand il est dessus. Il glisse pour avoir trop mis de liquide. Quand le surplus est évacué, il commence une longue pénétration anale. J’ai mal ; je n’ai plus mal, il me fait du bien. Je repars dans le paradis. Je sens ses boules contre les fesses. Je passe ma main sur mon sexe, comme il me le disait : un autre plaisir s’ajoute à l’autre. Je me laisse aller quand il jouit aussi.

C’est notre première fois. Tu es douée, nous auront de grandes jouissances

Il a raison nous nous aimons chaque jour il m’a appris à me masturber devant lui, je le fais même en son absence. Un jour j’en ai un peu parlé à ma mère qui était étonnée que je jouisse ainsi avec mon mari : elle a un amant.

 

 

fabrissa

4 réflexions sur “Histoire érotique nuit de noce en 1830”

  1. Superbe histoire très bien écrite.Les photos montrant une fille qui se fait enculer et une autre qui joue avec le gland d’une magnifique bite agrémentent parfaitement ce récit

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