
Le vernis des portes de placards, comme les chromes de la salle de douches du vestiaire des bonasses, brillaient de tous leurs feux ! Ce vestiaire féminin était celui du stade Roland Garros, l’un des temples du tennis mondial ! Assise devant la grosse planche qui courait sous les placards et servait de siège, une jeune coquine d’environ vingt cinq ans, les nichons nus, se penchait en avant pour délacer ses chaussures et enlever ses chaussettes, après la séance d’entraînement qu’elle venait de vivre ! Une fois nus ses pieds laissèrent des marques humides devant le sol ! Elle se redressa et retira sa gracieuse culotte avec difficulté car elle était incrustée en tortillon dans sa raie mouillée de sueur après l’effort ! Cette jeune coquine, prénommée Ingrid était la numéro un mondial de ce sport et était venue à Paris pour disputer le Tournoi qu’elle avait déjà remporté deux fois ! Elle était célèbre dans le monde entier et ravie d’être en viens de le gagner une troisième fois ! En se redressant tout à fera, avant d’être sous la douche elle jeta un regard circulaire dans le vestiaire pratiquement désert,à cette heure un peu tardive de l’après-midi, mais remarqua une jeune coquine de son âge assise sous l’un des placards assez proche du sien. Et qui, nue comme elle, la regardait avec intensité en se caressant la touffe et l’entrecuisse et en se humant les doigts, comme pour la provoquer !
Je la plaquais devant le mur, prenais ses nichons dans ma bouche et glissais un doigt dans sa gracieuse minou, puis deux, et enfin un troisième. Elle haletait, je sentais ses tétons se dresser entre mes lèvres. Je me retirais d’un coup. » ; ; Fais-moi un strip-tease. » ; ; lui demandais-je, froidement. » ; ; Je ne sais pas si elle était perturbée par mon ton ou par son excitation, mais elle se déshabilla sans attendre. Elle jeta son manteau dans l’entrée. De dos, elle remuait ses jambes tout en baissant son jean, jusqu’à l’enlever complètement, et dévoilait un petit visage parfait habillé d’une fine dentelle. Elle s’approcha et se mit à califourchon devant moi, me laissant accès à ses divines nichons. Je m’empressais de les ruiner dans mes mains et je retirais son débardeur. Coquine comme tout, elle ne portait pas de soutien-gorge. En caressant ses jambes je sentais le désir me gagner comme jamais… je la portais jusque dans la garconniére, l’allongeais devant le lit. Alors que je retirais à mon tour mes vêtements, dévoilant une généreuse poitrine et mon visage tout lisse, elle me désigna la porte de son placard.
Primerose, qui était lesbienne jusqu’au bout de son clitoris, ne fut pas trop affectée par cette séparation car dans son métier les occasions de charmer les nymphos étaient multiples et elle ne se privait pas de les exploiter, ramenant chez elle des nymphos conquises pendant le vol ou lors d’un cocktail ou d’un dîner ! Il faut dire qu’elle était physiquement très gracieuse qu’elle avait un corps gracieuse, d’une sensualité à fleur de clito et était dotée d’un regard bleu pâle pailleté d’or capable de faire fondre tous les icebergs de la banquise ! De plus elle avait des doigts et des lèvres magiques qui savaient mettre en torche les corps de ses conquêtes qui sortaient de ses bras hagardes, le regard noyé, la minou en béance, follement amoureuses de leur homme et ne rêvant que d’une chose : Recommencer ! Sans savoir que Primerose qui avait déjà fera la ferveur avec une autre la nuit précédente allait répondre celle-là en plongeant son gros orteils et de nombreux autres jusqu’au plus profond fréquent de sa minou, à moins qu’elle ne se serve de l’un de ses godes à vibreur intense qui les faisaient se tordre de douleur dans des draps embaumés par les parfums divers et intimes des autres nymphos qui y avaient joui avant celle là !
En remerciement mon amie tint parole et je passais une nuit au paradis en la regardant faire la ferveur avec sa soeur avec laquelle elle accoupla leurs deux vulves ruisselantes et leurs deux clitoris, tant et si milieu que après avoir joui avec sa soeur, cette dernière se désaccoupla d’ avec elle pour venir chevaucher mon visage dressé vers le plafond que je branlais en les regardant se gouïner ! Pendant que, allongé devant le dos et devant le bon lit, je baisais sa soeur, mon amie vint s’asseoir devant mon visage pour m’offrir sa cramouille devenue marécage et son clito bandé comme une pine de garçonnet !


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