Histoire érotique cochonne

Sur mon chemin vers l’ascenseur, j’ai vu Françoise dans son bureau. Elle était très belle, des seins qui donnaient envies de les sucer toute la nuit. J’ai marché dans son bureau, et lui demanda si elle voulait venir boire un verre avec moi et elle accepta. J’ai trouvé une table pour nous asseoir. Il commençait à faire chaud, j’ai enlevé ma veste et a ouvert ma chemise. Elle avait le sens de l’humour et cela me plaisait. Après quelque verre, nous avons sauté dans un taxi, pour la raccompagner chez elle, qui n’était pas loin du tout. Nous sommes entrés dans son appartement qui était très spacieux. Elle était en face de moi, les jambes ouvertes et je pouvais pouvoir sa chatte humide et m’a demandé si je voulais passer la nuit. Quoi qu’il en soit, elle et moi avons parlé de travail, les gars, et le sexe. Elle m’a demandé si j’avais déjà eu des rapports sexuels avec une femme. Je lui dis que non. son visage et ses lèvres étaient très proches de la mienne. Son haleine sentait le maïs soufflé au beurre, les yeux dans les miens, elle m’a embrassé. Nous laissons nos langues se touchaient, et s’embrassaient entrant une respiration difficile, et poussait des gémissements. Elle enlevait ma chemise et a commencé à pincer mes mamelon, qui été très sensible comme je devenais plus humides. Françoise tira la langue et se mit à lécher dans ma moiteur me sucer le clito. J’ai pris une grande respiration et gémit. Elle commençait à sucer plus fort et a mis deux doigts dans mon trou.

Elle a sucé et léché ma chatte, comme mes jambes d’ouvrit de plus large pour lui donner meilleur accès. Sa langue était collée sur mon clitoris et mes lèvres. J’ai essayé de tenir aussi longtemps que je le pouvais. Dès que je suis venu, mon corps s’est mit a frissonné.

Puis ce fit a mon tour de la faire jouir. Baise-moi, je veux sentir ta langue, dit-elle dans la hâte. Elle gémissait et grognait comme je l’ai embrassé sur le ventre. J’ai été un peu hésitante au début, mais elle a poussé ma tête vers le bas et j’ai collé ma langue à son goût. Ce n’était pas mal du tout, et elle a continuait à crier: « baise-moi ». Alors j’ai ouvert les lèvres de sa chatte et son jus jaillissait hors d’elle comme elle était comme une fontaine d’eau. Je me suis précipité, léché et joué avec son clitoris. Elle criait tandis qu’elle bossait mon visage dans le même temps. J’ai travaillé ma langue dans et hors d’elle. Puis-je coincé deux doigts en elle et elle était en délire. J’ai continué, les mouvements jusqu’à qu’elle explose sur mon visage.

Aurelien

Coquin amoureux de la plume et des belles photos, Erosto, m' est comme un petit boudoir coquin permettant de mettre par écrit les plaisirs sexuels, les histoires érotiques et les nombreux conseils coquins pour les couples, les hommes et les femmes qui aiment comme moi pimenter leur vie sexuelle et agrémenter les soirées torrides pour le seul plaisir du partenaire

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