Voici plusieurs mois que je vis un bonheur insoupçonné, grâce à mon amant et maître. Il a deviné mon secret dès le début de notre relation, et ma tendue un piège pour mon plus grand plaisir.
Tout commença un lundi matin six mois plus tôt, enfermé dans un coffre de voiture roulant à vive allure. Une cagoule sur la tête, je sens le métal des menottes sur mes poignées et chevilles liées ensembles dans le dos. Le véhicule vient de s’arrêter, on m’en sort sans aucune délicatesse pour me jeter sur le sol. J’essaie de me retourner mais quelqu’un s’assoit sur mon dos, on me retire la cagoule et la remplace par un bandeau, j’ai juste le temps d’apercevoir que je suis en pleine campagne. On m’introduit une balle en mousse dans la bouche, suivie d’une bande adhésive qu’on m’entoure de la base de nez au menton pour m’empêcher de ressortir la balle. Sans un mot il se retire de mon dos, il m’arrache mes vêtements et me saucissonne avec l’adhésif. En commençant par scotcher mon tibia à ma cuisse après m’avoir plié celle-ci et fait de même pour l’autre, termine son action par me joindre ensembles les deux jambes. Il me momifie tous corps, rendant le moindre mouvement impossible. Il me soulève pour me glisser dans un sac de voyage, me dépose dans le coffre et reprend sa route jusqu’à un parking. Il me soulève et me transporte dans un vulgaire bagage à main d’une cinquantaine de centimètre qu’il balance d’avant en arrière. Une fois en place il ouvre le sac et m’injecte à l’aide d’une seringue un clament qui me fit tomber un profond sommeil.
Quand j’ouvre les yeux, je suis entièrement nue assise sur une chaise rivet au sol, les mains attachée dans le dos, relié aux chevilles suspendue dans le vide par des menottes, les jambes écartés de chaque côté de l’assise laisse apercevoir une vue sur mon intimité entièrement épilé à la demande de mon amant.
Il me pince le bout des seins entre ses doigts et me les tords en tirant dessus en même temps, plus j’essaie de crier à travers le bâillon, plus il pince. Plus il me torture, plus j’hurle à travers le bâillon. Un jeu vicieux qu’il se délecte à faire et je me surprends à y trouver un certain plaisir à ce jeu. La pression est tellement forte que je ne sens plus le bout de mes seins, quand il les relâche une douleur encore plus vive m’irradie la poitrine, j’ai l’impression que mon cœur est au bout de mes tétons. Il enroule des fils électriques autour des pinces de la poitrine, il essaie de faire même pour celle du clito mais je serre mes cuisse l’une contre l’autre pour l’empêcher d’œuvrer. Il attrape un cylindre métallique d’une vingtaine de centimètre de long et pointu à chaque extrémité, la place à la base de ma cuisse qui m’empêche de les refermer et accroche le fil électrique à la pince. Il relie un des câbles à un interrupteur, les deux autres directement sur d’une batterie. Il enclenche l’interrupteur en me regardant avec un sourire sadique, la décharge est terrible et je cambre sous l’effet de la douleur, le courant me traverse tous le corps, j’ai l’impression que mon clito et le bout de mes seins vont exploser, il coupe le courant au bout d’une trentaine de seconde. Il ôte les pinces en tirant d’un coup sec sur les fils, m’arrachant et griffant le clito et les tétons, le sang irrigue de nouveau ces parties et attise encore plus la douleur, Je n’ai plus la force de crier, juste un léger gémissement de jouissance qu’il a pris pour un râle de douleur, enfin je l’espère. Je reçois un coup de fouet entre les jambes partant de devant et remontant jusqu’à la naissance des fesses, suivi par un autre arrivant de l’autre côté, le bout du fouet frappant mon clitoris, j’ai l’impression d’être coupé en deux à chacun de leur passage. Une dizaine de coup se suivent plus précis les un des autre, m’arrache des hurlements et un drôle de plaisir que je cherche à dissimuler. Ils s’amusent à me frotter avec du sel sur toutes les marques laissé par le fouet, cette sensation de chaud et de brulure sur les plaies m’excite et me fais souffrir en même temps. Ils s’imprègnent les mains de sel et me frotte le sexe et l’anus, la douleur est plus si insoutenable .que j’en perds connaissance. La frustration est atroce, l’envie de jouir est si intense et si proche, mais il est impossible d’y accéder seul dans cette position. Je les regarde les yeux remplie de larmes afin qu’ils me laissent jouir.
6 décembre 2020
Bravo j’adore cette histoire je veux la suite merci