En ce début de juillet, Michelle, ma belle soeur et son mari, Simon étaient venus passer quatre jours chez nous à Marseille.
Michelle 25 ans est la plus jeune des trois soeurs et ressemble à mon épouse Aline qui avec ses trente trois ans est l’aînée de la famille. Mon nouveau beau-frère, car le mariage a eu lieu début mai est antillais, avec un physique impressionnant et une gouaille comparable à celle des habitants de notre cité.
Aline mon épouse est ce qu’on appelle ici une belle plante, une brune avec les cheveux bouclés croulant en cascade sur ses épaules, des yeux noisette aux reflets verts illuminent son visage bronzé naturellement à longueur d’année, son corps est mince, avec des seins en forme de poire qui tombent légèrement quand elle est nue et qui attirent le regard des hommes quand ils pointent en avant dans le soutien-gorge.
Ses hanches sont larges, ses fesses fermes et arrogantes, le tout soutenu par des jambes longues donnent à sa démarche une souplesse qu’elle sait rendre sensuelle, quand elle veut séduire.
Depuis trois jours, j’amenais Michelle, Aline et Simon, passer la journée à la plage avec mon bateau au Frioul ou à Riou. Le soir nous mangions dans les petits restaurants qui bordent la côte avant de terminer la soirée par de longues parties de carte.
Je connaissais Michelle de puis plus de 10 ans et il s’était établi une sorte de complicité entre Aline et Simon, j’allais bientôt comprendre pourquoi, qui ont rendu ces trois journées très agréables.
De plus notre appartement confortable, moderne, mais pas suffisamment insonorisé laissait passer dans la nuit les gémissements de Michelle et de son mari en train de faire l’amour, ce qui avait pour effet à mon grand plaisir d’exciter Aline et de la rendre des plus entreprenante pour encourager ma libido.
Le dernier jour, Michelle devait aller en début d’après midi porter deux ou trois objets à une amie qui était venue s’installer à Marseille. Simon ne connaissant pas la ville, je me proposais d’accompagner Michelle dans les dédales du centre ville pour l’amener à ‘adresse indiquée. Au bout de cinq minutes de trajet, Michelle s’est aperçue qu’elle avait oublié quelque chose, et nous sommes retournés à l’appartement.
J’ai ouvert la porte et je suis entré dans l’appartement suivi de Michelle Immédiatement notre attention a été attirée par des gémissements en provenance de la salle de séjour, je me suis avancé et suis resté saisi par le spectacle devant moi.
Aline, appuyée sur la table, la robe remontée au-dessus du nombril, la culotte sur les chevilles, la chemisette défaite, les seins sortant du soutien gorge, la tête penchée en arrière, était en train de se faire prendre par Simon qui entrait et sortait sa grosse queue brune du minou de mon épouse, tandis qu’il lui léchait le cou.
Si j’étais resté saisi, Aline qui avait vu la même chose trois seconde après moi, commença à insulter sa soeur et son mari, pendant que ma femme, rajustait ses vêtements et que Simon remontait son pantalon. La scène dura plus d’une heure et dans la confusion, qui régna une phrase de Michelle attira mon attention:
» Les autres ne t’ont pas suffit, il faut aussi que tu te fasses baiser par mon mari. »
Aline était pétrifiée dans son coin, je regardais la scène comme si je n’étais pas concerné, tandis que Michelle furibonde, rangeait les affaires du couple, et quittait rageusement l’appartement entraînant Simon avec elle.
Le silence s’est établi dans l’appartement, lourd et épais. Aline s’est mise à ranger tandis que j’allumais la télévision . La seule image que je voyais, c’était celle d’Aline, les fesses posées sur la table, les cuisses largement écartées la touffe des poils noirs de sa chatte dans laquelle était plantée la bite du corps brun et musclé qui la faisait gémir. Ses seins dénudés dont le gauche était enserré par la main de l’homme, la bouche et la langue qui parcourait son cou tandis que des r‚les de plaisirs sortaient de la bouche entrouverte de mon épouse. Je voyais les gouttes de salive sous son menton, le visage de l’homme enfoui dans la chevelure, les mains crispées sur le rebord de la table, les mouvements du bassin accompagnant les coups de boutoir de l’étalon.
Malgré moi, mon sexe avait durci et si j’éprouvais de la jalousie, c’était tout de même un sentiment d’excitation qui dominait.
Le reste de la journée s’écoula dans cette ambiance morose, et vers 10h Nous sommes allés nous coucher. Aline me tournait le dos, et les mêmes images continuaient à m’assaillir. N’y tenant plus, je plaquais ma queue contre les fesses d’Aline, qui dort Nue tandis que je posais ma main sur ses hanches. Aline a senti mon désir, elle s’est retournée vers moi: » Tu me pardonnes, tu ne m’en veux plus, je ne comprends pas ce qui s’est passé » Avec ses seins contre ma poitrine, mon sexe qui naturellement avait glissé entre ses jambes, sa voix aux intonations enfantines et calines en même temps, et le désir que j’avais de la posséder, j’étais plutôt près du pardon que de la colère. » Comment as tu pu faire ça à moi et à ta soeur, que s’est t’il passé ? » » A peine vous êtes partis il s’est approché de moi, m’a embrassée, a voulu me déshabiller je me suis débattu mais il était trop fort » » Ce n’est pas possible, je n’ai pas l’impression que Simon soit du genre à faire quoi que ce soit contre ta volonté, raconte-moi tout, et d’abord pourquoi ta soeur a dit les autres ne t’ont pas suffi ? » Après un dialogue du même genre assez long, petit à petit Aline m’a raconté toute l’histoire, et nous avons fait l’amour à plusieurs reprises pendant son récit pour soulager l’excitation qu’il engendrait chez moi et les souvenirs qu’il entraînait chez elle.
Cela avait commencé au mariage de Michelle et Simon au début du mois de mai, au dernier moment, j’avais été réquisitionné pour assurer une présence à mon boulot et n’avait pu me rendre à ce mariage.
Aline y était donc allée toute seule.
La cérémonie s’était bien passé et la fête avait lieu dans une grande batisse prêt de Paris faisant office d’auberge qui avait été réservé pour la fête. Après le repas bien arrosé, vers 23h mes beaux-parents ainsi que les personnes les plus âgées étaient allées se coucher et ne restaient plus sur la piste de danse que les plus jeunes, les deux frères de Simon âgés respectivement de 26 et 21 ans, d’autres amis, le père du marié qui malgré ses 52 ans tenait une forme exceptionnelle, et bien sur Aline qui était bien décidé à profiter de la fête.
C’est à partir de cette heure là qu’ont commencé à passer des danses antillaises. Roger le père de Simon a montré à mon épouse comment se déhancher et remuer au rythme de la musique, et Aline assez douée a très vite su s’adapter.
Il faisait chaud, la seule boisson disponible était du punch antillais très frais, qui échauffait les danseurs.
A fur et à mesure les hommes s’approchaient des femmes et de plus en plus Aline sentait contre ses fesses le sexe d’un danseur se frottant en cadence contre son cul, ou des mains qui la frôlaient.
A chacun de ces contacts ma femme frissonnait et des pointes de désirs la parcouraient, augmentant à la vue des hommes qui petit à petit se mettait torse nu.
Aline ne pouvait s’empêcher de tenter de légères caresses sur la poitrine de joseph le plus jeune des frères quand il passait près d’elle, elle était fascinait par la beauté des deux jeunes gens et la perfection animale de leur corps transcendés par la sensualité de la danse.
Roger plus lourd que ses fils mais aussi plus vicieux n’hésitait pas à lui passer la main au cul, ou sur le renflement du pubis en tournant autour d’elle.
Vers 2 heures, Aline, fatiguée décida d’aller se coucher. Après une douche, elle s’étendit nue sur le lit, allongée sur le ventre et couverte seulement par un drap.
Elle commençait à s’assoupir, quand elle entendit la porte s’ouvrir. Aline pensa que c’était la dame qui partageait sa chambre quand elle sentit deux mains se poser sur ses fesses qui commencèrent à la peloter vigoureusement puis, le drap fut soulevé dénudant le cul de ma femme.
L’homme n’en resta pas là, il écarta en grand les cuisses exposées et souleva la croupe ainsi offerte Aline tous les sens en alerte attendait et espérait la suite. Elle ne fut pas déçue, après quelques hésitations la bite de l’homme se plaça à l’entrée de la chatte, en quelques poussées s’enfonça profondément dans la fente humide et se cramponnant aux hanches il se mit à la baiser violemment.
Aline haletait et gémissait, elle m’a dit qu’elle était complètement remplie par cette queue de bonne dimension comme elle le sut plus tard. Très vite elle éprouva un violent orgasme tandis que quelques secondes plus tard l’homme expulsait sa semence prenant son plaisir dans la minette de ma chérie.
Il exhala un immense soupir et se retira lentement, mais à peine avait t’il laché les hanches d’Aline, que deux nouvelles mains les saisissaient, arrachant un cri de plaisir à mon épouse tandis qu’une deuxième queue s’enfonçait dans le puits plein de foutre faisant jaillir celui ci sur les cuisses ou il commença à s’écouler en petits ruisseaux.
Aline criait, haletait gémissait sous ce deuxième assaut, la chatte en feu, avec l’impression dans la nuit de la chambre d’être prise par des êtres surnaturels qui n’en finiraient plus de la pilonner.
A nouveau sa chatte fut le réceptacle du sperme du deuxième homme qui laissa sa place à un troisième. Aline eut l’impression que la troisième queue était encore plus grosse, mais lubrifiée comme elle l’était, elle ne ressentit que le plaisir de ce membre s’enfonçant tout au fond de son vagin, tandis qu’à chaque passage il échauffait délicieusement son clitoris.
Un râle encore plus fort que les autres s’échappa de sa gorge, quand elle éprouva son 4ème ou 5ème orgasme, se faisant inonder peu après pour la troisième fois.
Tandis que l’homme se retirait, elle s’écroula sur le lit épuisée, les poils de son minou collés par le foutre, les cuisses humides de ses sécrétions et de la gelée des trois mâles qui l’avait si bien baisée.
Le lendemain, Aline descendit déjeuner sa soeur était là, avec son mari, elle s’assit avec eux et pendant une courte absence de Simon Michelle demanda:
» Qu’est ce que tu as fait cette nuit, Diane qui partage ta chambre n’a pas osé rentrer, tu as fait l’amour avec qui ? »
Aline rougit, bafouilla et fut tirée de son embarras par le retour providentiel de son beau-frère.
En cours de matinée les invités prirent congés les uns après les autres, Aline qui profitait de son séjour à Paris pour prendre contact le lundi avec des membres de l’association dans laquelle elle avait quelques responsabilités ne devait rentrer que le lendemain.
Après un dernier repas commun, Aline devait être hébergée chez les parents de Simon, dont la maison disposait de plusieurs chambre vide, les filles s’étant mariées et n’habitant plus là.
Aline prit donc place dans la voiture des parents de Simon, et pendant le trajet, silencieux, elle pensait aux événements de la nuit, elle avait bien reconnu les deux frères et se demandait si le troisième n’était pas ce père de famille assis devant elle à côté de sa femme et conduisant tranquillement.
Petit à petit, elle s’en persuada en pensant aux attouchements de cet homme pendant les danses, puis au plaisir qu’elle avait éprouvé quand la première queue l’avait pénétrée.
Sa poitrine se gonflait tandis que sa respiration s’était accélérée en repensant aux assauts de la nuit, et heureusement qu’elle était seule à l’arrière du véhicule pouvant ainsi cacher son émoi.
Ils arrivèrent à la maison rejoint par Gaspard et Joseph, les deux frères et les deux dernières petites soeurs .
Après le repas du soir, Aline est allée dans sa chambre, la femme de Roger ainsi que les enfants sont allés se coucher tandis que les trois hommes s’installaient devant la télé diffusant un match de foot. Aline se déshabilla puis enfila une petite chemise de nuit que je lui avais offerte, transparente et lui arrivant à mi-cuisses.
Aline était dans sa chambre depuis une demi-heure, elle entendait la télévision fonctionner, et après quelques rangements de ses affaires s’apprêtait à ce coucher, quand la porte de sa chambre s’ouvrit, Roger et Joseph entrèrent, refermant la porte derrière eux.
Elle vit immédiatement le désir violent dans leurs yeux et le timide : » Laissez- moi » qu’elle leur adressa ne fit qu’accentuer leur ardeur. Il s’approchèrent, Roger se plaqua contre elle par derrière, prenant ses seins à pleine main, joseph, glissa une main entre ses cuisses, ma femme ne put s’empêcher de gémir, Joseph se pencha vers elle et posa sa bouche sur la sienne, glissant sa langue agile à l’intérieur.
Aline lui rendit son baiser avec d’autant plus de plaisir que les mains des deux hommes, parcouraient son corps s’attardant sur les parties sensibles. Ils lui enlevèrent sa nuisette, l’entraînèrent vers le lit et se déshabillèrent à tour de rôle.
Ma femme regardait le magnifique corps nu de Joseph et celui plus empoté de Roger, mais surtout les deux grosses bites tendues, dont l’impression de grandeur était encore accentuée par la couleur foncée. Elle était assise sur le lit, la tête à la hauteur des queues raides et naturellement celle de Roger s’appuya sur ses lèvres qu’elle n’eut qu’à ouvrir pour avaler l’engin. Joseph pris sa main et la posa sur sa queue et ma femme commença à le branler en cadence avec sa bouche. Sa chatte s’était ouverte elle sentait son excitation mouiller ses poils pubiens.
Et à ce moment là dans une rapide et brève prise de conscience elle s’est dit que pour la première fois elle me trompait, elle ne le faisait pas à moitié.
Joseph la fit pivoter, la bouche toujours pleine, la plaça à quatre pattes sur le lit, se plaça derrière elle et enfonça sa queue dans la moule chaude, déjà préparée à l’intrusion.
La queue du grand noir ainsi que ses mains sur ses tétons ravissaient mon épouse, qui s’activaient sur le membre de joseph en lui effleurant les couilles de ses doigts.
Cette dernière caresse, jointe à la pression des lèvres sur le gland, vinrent à bout de la résistance de Roger qui laissa son membre répandre sa semence dans la bouche de mon épouse.
Elle avait bloqué ses lèvres contre la hampe rigide et avalait, en déglutissant, le liquide tiède et onctueux, reprenant sa fellation au fur et à mesure que le jaillissement se faisait moins important.
Subitement elle rel‚cha le membre poussa un r‚le, la bite de joseph avait grossi quand le sperme sous pression avait été expulsé par la minette, et cela rajouté à l’accélération de la cadence des coups de boutoirs lui avait procuré un orgasme court et violent.
Aline se retourna et déposa un baiser sur la bite qui l’avait si bien fait jouir, Joseph s’étendit sur le lit et mon épouse se mit à l’embrasser et à le caresser, sa langue s’attardant sur la poitrine du jeune homme, sur son ventre, puis s’enroulait autour de son sexe avant de recommencer son périple sur le corps parfait de son jeune amant.
Entre temps Roger s’était rhabillé et avait quitté la pièce, et quelques secondes après son départ, Gaspard entra à son tour dans la chambre Sa première vision fut celle de ma femme, enjambant le corps allongé et s’empalant sur le mât au-dessous d’elle le faisant entrer en gémissant de plaisir dans son étui intime et brûlant.
En un instant Gaspard fut nu et rejoint le couple sur le lit. Aline montait et descendait sur le tronc et ses seins se balançaient à la cadence de ses mouvements.
Gaspard enjamba à son tour le corps de son frère et posa son sexe bandé comme un arc entre les seins de ma femme. En montant et descendant sur la queue de Joseph, Aline branlait en même temps avec sa poitrine le sexe de Gaspard. Pour accentuer la pression sur le membre, elle avait pris ses seins entre ses mains et les pressait autour de l’organe viril.
Le jeune homme ne résista pas et éjacula sur la poitrine le menton et le cou de mon épouse. Le liquide onctueux coulait lentement entre les seins vers le nombril et Aline plongeant à plusieurs reprises ses doigts dans le petit ruisselet les porta à sa bouche pour goûter et déguster le foutre qui la mouillait.
Puis sentant le sexe de joseph s’accélérer, elle mit la main sur son clitoris et se caressait en même temps qu’elle était ramonée par le piston et jouit avec des feulements longuement, en vibrant tandis que Joseph lui faisait don de sa semence pour la deuxième fois.
Elle bascula sur le côté, lasse, et tandis que Joseph se levait, Gaspard, lui mettait sa pine dans la bouche.
Aline se mit plus à téter qu’à sucer la verge gluante qui reprit aussitôt des proportions en rapport avec les caresses qu’elle lui prodiguait.
La soirée n’était pas terminée, joseph aussitôt parti, Roger était de retour avec une bite dure comme un bout de bois.
Ma femme devait comprendre plus tard qu’ils montaient la garde à tour de rôle devant la télé pour ne pas être surpris par leur mère et épouse… Roger prit ma femme par les hanches, la plaqua sur le lit à plat ventre, lui écarta largement les cuisses, souleva ses fesses et mit sa bite à l’entrée de son cul.
J’avais déjà enculé Aline, son cul n’était pas vierge mais jamais une aussi grosse queue ne lui avait défoncé la pastille.
Roger poussait vigoureusement et son organe se faisait un passage dans le cul de mon épouse, qui heureusement s’était relaché et acceptait l’intrusion sans trop de douleur.
Quand ses couilles butèrent sur les fesses, il s’assit entraînant ma femme sur lui et dit à son fils:
» Baises là par-devant, je suis sur qu’elle n’a jamais était prise par deux hommes à la fois. »
Gaspard ne se fit pas prier pour s’installer entre les cuisses largement écartées et enfoncer sa queue dans l’orifice resté disponible.
Aline gémissait de plus en plus fort, Roger du lui mettre la main sur la bouche pour étouffer ses râles, Gaspard pilonnait de plus en plus vite, de plus en plus fort les mains accrochées aux hanches pour aller le plus profond possible, et à chaque coup de boutoir de l’homme, son anus glissait sur le membre planté en lui.
Ma femme atteint l’extase quand les deux hommes à quelques instant d’intervalles, inondèrent sa chatte et son cul ; Gaspard se retira, Aline se releva, la queue glissa lentement hors de ses entrailles, et Aline s’écroula sur le lit pantelante, épuisée, l’entrejambe trempée et collante, du foutre des deux hommes qui séchait lentement.
Aline rentra à la maison le lendemain soir, elle ne me dit rien et ne laissa rien paraître de ses aventures sexuelles, du week end et me faisant un récit de la fête complètement expurgé.
Quelques temps après, Aline du remonter à Paris pour une nouvelle réunion, on lui avait réservé une chambre dans un hôtel pour la veille au soir. Aline arriva donc à Paris Michelle vint la chercher, elles devaient dîner chez elle et rejoindre son Hôtel après.
Après le repas Simon se proposa de raccompagner Aline à son hôtel situé à l’opposé de la capitale, et il partirent tous les deux.
Au bout de quelques kilomètres, Simon s’arrêta près d’un petit immeuble, et dit à ma femme:
» Il faut que je m’arrête quelques minutes chez un ami, viens ne reste pas seule dans la voiture »
Aline le suivit et quelle ne fut pas surprise de se retrouver dans le studio de Gaspard qui l’attendait avec Joseph.
A peine entrée les trois hommes l’entourèrent, Simon prit la parole le premier:
» Depuis le mariage, il ne rêve que de te revoir, ils savaient que tu venais, je ne pouvais les décevoir surtout mon petit frère « .
Aline bafouillait, surprise, se rendant compte que joseph et Gaspard allaient vouloir la prendre à nouveau.
D’ailleurs, ils commençaient à passer les mains sur ses fesses, à insinuer leur main sous sa jupe, à l’embrasser dans le cou.
Sous le regard de Simon, Aline se défendait mollement, elle savait qu’en montant à Paris, en s’étant proposée comme volontaire, elle désirait vivre une nouvelle expérience avec ces jeunes noirs qui l’avaient si bien fait jouir.
C’est alors que stupéfaite elle entendit dire Simon:
» Moi le premier vous avez toute la nuit, moi ma femme m’attend »
Aline avait été repoussée contre la table, Simon de ses mains puissantes lui écarta les cuisses, souleva la jupe de son tailleur, sortit sa queue de son pantalon.
Seule la culotte de ma femme faisait un dernier rempart entre l’engin érigé en face d’elle et sa minette.
Simon avec ses doigts repoussa le tissu sur le côté, plaça sa bite et l’enfonça dans la fente de mon épouse.
Elle n’était pas encore bien ouverte, mais puissamment le vier de l’homme se fraya un passage jusqu’au fond du vagin.
Aline poussa un long cri, sa source se mit à sécréter un liquide abondant, qui lubrifiait le gros piston qui la tringlait. Simon et Gaspard avaient déboutonné la veste de son tailleur, sa chemisette, dégrafé son soutien gorge, et suçaient chacun un de ses seins.
Simon ne la lima pas longtemps, très vite son sexe éructa sa semence, la chatte de ma femme en était pleine et le surplus avait débordé sur son pubis collant sa toison noire à la culotte qu’elle portait toujours.
Simon était au comble de l’excitation, il cria:
» Penche toi suces, suces moi maintenant »
Aline se plia en deux et pris le sexe dans sa bouche, Simon était grand et elle n’avait pas besoin de se mettre à genou pour les caresses buccales qu’elle prodiguait au mari de sa soeur.
Pendant qu’elle suçait les mains cramponnées aux fesses de l’homme, elle sentit qu’on lui baissait la culotte, et que tout de suite après, une nouvelle queue s’enfonçait dans sa moule, Gaspard avait pris le même chemin que son frère, laissant Joseph s’occuper des seins de mon épouse.
Dans la bouche de ma femme la queue de Simon repris immédiatement sa dureté et ses imposantes dimensions, et c’est avec un plaisir certain qu’elle enroulait sa langue autour de la fève brune.
» Elle suce bien, la salope, bien mieux que sa soeur, vous aviez raison les frérots, je ne regrette pas de la baiser, en plus elle prend son pied, je vais lui envoyer ma gelée dans la bouche, vas-y Gaspard, tronches là, éclates lui la moule, la prochaine fois, je lui défoncerais le cul, haaa!!!!! je viens »
Ma femme reçut le liquide chaud dans la bouche, elle réussit à tout avaler et garda la pine jusqu’à ce qu’il ne reste plus une goutte. Puis quand elle sentit le sexe débander. Simon remonta son slip et son pantalon, et dit :
» Il faut que je rentre, je vous la laisse, occupez-vous bien d’elle, ce soir je crois que Michelle n’aura pas sa dose, au revoir chéri à une autre fois, on s’est bien fait jouir tous les deux. »
Il embrassa Aline sur la bouche et sortit du studio.
Gaspard et Joseph besognèrent ma femme encore une partie de la nuit et la raccompagnèrent à son hôtel vers 4h du matin, le reste de la journée, elle arriva difficilement à se concentrer sur l’objet de la réunion.
Début juin le même scénario se reproduisit, Aline cette fois volontaire sans ambiguïté, savait qu’une chaude nuit l’attendait. Elle dîna à nouveau chez sa soeur, et Simon la raccompagna.
Au moment de partir, sa soeur dit à son mari:
» Rentre tout de suite, ne traîne pas avec des copains en revenant. »
A peine dans la voiture Simon dit à mon épouse:
» Suce-moi maintenant, tu as entendu je n’ai pas beaucoup de temps »
Aline lui sourit, déposa un court baiser sur sa bouche, dégrafa son pantalon, se pencha et engloutit la belle queue.
Elle le suça pendant le quart d’heure que dura le trajet, le maintenant au bord de l’orgasme jusqu’à l’arrivée devant la porte de l’immeuble, et quand la voiture s’arrêta, elle plaqua sa langue fortement sur sa fève, et en trois va et vient, elle le fit venir dans sa bouche. Cette fois elle ne put tout avaler et le sperme de l’homme coula le long de la bite, faisant une tache sur le pantalon près de la braguette.
Aline se releva, quitta son amant et rejoint Joseph et Gaspard pour une nouvelle de nuit de folie.
La suite vous la connaissez, Aline et Simon surpris, et cette histoire que je raconte avec Aline à côté de moi qui me donne les détails que seul je n’aurais pu connaître.
Quelle va être la suite, Aline m’affirme, qu’elle resterait sage, mais maintenant qu’elle a goûté à des plaisirs que seul je ne peux lui donner, va t’elle tenir parole? on verra bien !