Florence se fait prendre de force au travail

– Merde, il me faut une gomme ! Où elle est ? Impossible de la retrouver… je vais en chercher une.

Florence se lève, secoue légèrement ses jambes pour éviter que son jean en cuir ne lui colle pas trop aux fesses, sort du bureau et se dirige vers le petit cagibi où sont ranger les fournitures. C’est elle qui les gère et elle sait exactement l’endroit où elle les a posées la dernière fois.

Il prit le téléphone et lança –ça y est, elle est partie.

– C’est la dernière fois que je mets ce foutu pantalon pour aller bosser, elle ne faisait qu’imaginer tous les regards de ses collègues portés sur son cul et a chaque fois qu’elle en croisait un elle sentait qu’il se retournait pour la mater. Cette sensation était vraiment étrange. Elle alluma le petit couloir sortit la clé et s’approcha de la porte du fond.

Elle l’ouvrit et à tâtons chercha l’interrupteur.

– Ce con ne l’a toujours pas changé de place.

Pour l’atteindre il fallait faire un pas dans la pièce obscure et à chaque fois elle éprouvait une sorte de malaise.

Enfin elle le trouva, appuya dessus mais rien ne se passa. Elle allait retenter sa chance quand elle sentit soudain une main qui se plaqua contre sa bouche et un poids énorme qui la poussa au fond de la petite pièce. Elle lança un cri sauvage complètement étouffé par la poigne de l’homme qui la plaquait contre l’étagère des rames de papier.

La porte claqua et l’obscurité envahit le cagibi.

La stupeur laissa place à la terreur et elle perçut à peine le murmure de celui qui la pressait.

– Alors, on prend deux heures pour se faire épiler…ça doit être drôlement doux la dessous, remarque, peut être pas aussi doux que ton cuir.

Sa main libre allait et venait le long de ses cuisses et comme elle essayait absolument de se dégager il put la passer sur ses fesses

– J’ai parié que t’avais un string la dessous.

Il glissa sa main sous son cul pour atteindre son sexe.

– Et ta petite chatte, elle est épilée aussi ?

Florence était horrifiée. Elle se répétait sans cesse –c’est pas possible, c’est pas possible.

– Mais c’est pas du cuir ça, ah voilà pourquoi ça te moule tellement, tu sais tu nous a excités à mort ce matin.

Florence essayait de repousser son bras mais il lui prit sa main pour la coller contre la bosse de son pantalon.

– Je suis sûr que derrière tes airs de petite sainte nitouche tu aimes ça…

Elle réfléchissait comme une folle pour essayer de reconnaître sa voix mais au boulot personne ne lui avait jamais murmuré quoi que ce soit.

Elle entendit le zip de son pantalon et à la faveur du rai de lumière qui filtrait sous la porte elle distingua un bouton de manchette et alors elle sut qui était l’homme qui la caressait si doucement Il sentit que la terreur qu’elle éprouvait laissait place à de la surprise et il en profita pour essayer de glisser une main dans son pantalon, mais son cuir synthétique était si serré qu’il n’y parvint pas.

Florence n’en revenait pas que cet homme si courtois qui lui avait écrit quelques mails très sympathique pouvait l’étreindre avec cette force. Elle en devinait le sens caché mais malgré une certaine attirance elle ne voulait absolument pas laisser l’adultère bouleverser sa vie, pour qui que ce soit. Et elle ignorait aussi que cet homme avait quelque don de télépathie et qu’il pouvait capter certaines de ses pensées…

Profitant de ce léger désarroi il put enfin faire glisser son pantalon sous ses fesses.

– C’est pas vrai mais t’as pas de culotte !!

Elle l’avait retiré en rentrant de chez l’esthéticienne pour éviter les démangeaisons car elle avait fait faire aussi le tour du maillot. Sa main était chaude sur son cul et c’était bon.

– Mais tu mouilles ma belle !

Elle eut honte d’éprouver du plaisir quand sa main effleura son clitoris mais elle ne put s’empêcher de toucher encore la bosse de son pantalon. A nouveau elle entendit un zip et fermant les yeux elle devina son sexe qui se libérait et elle le sentit quand il le pressa sur ses fesses, c’était dur et chaud mais elle n’osa pas le prendre dans sa main .Elle se détendait, mais lui continuait de la bâillonner et de la serrer très fort. Quand il lui prit la main il ne sentit pas de résistance pour la poser sur son sexe.

– Je savais que t’aimais la bite, Florence.

La façon dont elle le branlait ne laissait aucun doute, sa bite était aussi brûlante que son ventre.

– J’vais te baiser, Florence oui j’vais te mettre ma grosse bite! Il appuya fermement sur son dos et la pénétra facilement tant elle était excitée.

Le pantalon à mi cuisse, le nez s’impregant de l’odeur particulière du papier elle s’imagina la scène qu’elle était en train de vivre, celle que parfois elle faisait dans ses rêves les plus fous .Elle lacha un –c’est bon ! étouffée par sa main .

Il capta ses dernières pensées et la retira juste au moment où elle dit.

– Je vais jouir…

IL abandonna le sein qu’il caressait doucement pour prendre sa chatte à pleine main et appuyer fortement sur son clitoris jusqu’à ce qu’elle maîtrise un cri d’intense plaisir .

Quand elle rouvrit les yeux, la lumière l’aveugla et elle entendit la porte se fermer doucement.

Bart candoline

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