Il est des situations au cours desquelles se révèlent en vous des choses dont vous ne vous seriez jamais douté. Mieux encore, si quiconque s´était aventuré à vous prédire ces actes auxquels vous vous êtes finalement adonnés, vous auriez bondi de fureur, certain de ne jamais boire l´eau de cette fontaine là.
Voici donc comment j´ai découvert l´homosexualité chez nous les hommes… et comment je l´ai aimé et l´aime encore malgré le fait que je sois marié depuis déjà longtemps.
Tout a démarré en octobre 1991, date de mon incorporation dans un régiment dont je tairai le nom, histoire de rester un peu anonyme. Pour ceux qui connaissent, une incorporation n´est jamais une partie de plaisir. Il y a ceux qui, comme moi, ont déjà un peu vécu et qui se plient tant bien que mal à la rigueur des obligations militaires. Mais il y aussi les fragiles qui versent leur larme sous le regard amusé des gradés. En tout cas, personne ne s´amuse pendant les 2 premières semaines et l´ambiance n´est pas des plus détendues comme vous l´imaginez. Après, les choses rentrent dans l´ordre… vous apprenez deux ou trois trucs pour donner le change puis vous vaquez à vos occupations en tirant au cul si possible et… tout se passe bien.
Les choses ont commencé à devenir intéressantes au mois de décembre. C´est à cette époque en effet que, brigadier devenu, j´eus droit à une chambre double à partager avec mon camarade Dominique. Cela allait me changer des douches et toilettes collectives sans portes ! Je me sentais en effet assez mal à l´aise dans les douches où nous étions parfois 5 en même temps. La promiscuité faisait alors que nos fesses ou nos sexes se touchaient parfois… et j´avais justement remarqué que le pénis de Dominique venait souvent se frotter à mes poils pubiens… car il convient de préciser que ce beau garçon était bien plus grand que moi. Mais ce qui me gênait le plus, c´était les toilettes. Il y avait en tout et pour tout 2 WC turcs sans porte, ce qui obligeait chacun à un manque d´intimité vraiment difficile. Même si jamais personne n´a rigolé de voir son camarade les cuisses écartées, dans une position des plus romantiques, en train pousser… je ne vous fais pas un dessin pour vous expliquer la situation embarrassante…
Donc, nous voilà installés, Dominique et moi, dans notre petite chambrée avec une douche sur WC turcs (encore ! ! !) et un lavabo rien qu´à nous… le top par rapport à ce que nous avions connu.
Et au bout de trois jours se produisit une scène qui allait sérieusement changer ma façon de voir les choses. Nous revenions de trois jours de manœuvres harassantes sur le terrain et toute la compagnie était franchement épuisée. Une fois armes et matériels divers déposés aux magasins, nous nous rendîmes dans nos chambres et Dominique alla en premier à la douche dont il ressortit 15 minutes plus tard vêtu de son seul slip militaire (une horreur style années 20 qui vous met le paquet dans un confort extrêmement discutable).
Je me rendis donc à la douche à mon tour pour me décrasser et j´en ressortis enfin pour tomber sur un spectacle qui me fit battre le cœur à 200 coups/minute.
Dominique était allongé sur son lit les cuisses légèrement ouvertes et avait laissé son pénis enflé sortir de l´ouverture prévue pour uriner avec ces affreux slips kangourou. Son membre n´était pas gonflé par hasard puisque mon camarade était plongé dans la lecture d´un magazine dont la couverture représentait un homme à quatre pattes, ouvrant ses fesses à deux mains pour exposer un anus manifestement rompu à de nombreux exercices salaces.
Je restai prostré sentant des fourmis naviguer dans mon bas ventre lorsque Dominique baissa légèrement le magazine pour me demander si cela me gênait qu´il se soulage en ma présence.
Je bredouillais que non et mon Dominique retira carrément sa culotte pour exposer sans la moindre gêne un sexe que je qualifierai de splendeur. Commençons par le bas : deux testicules incroyablement pleins pendaient lourdement entre les cuisses. Ils étaient ridés, assez velus et, comme souvent chez les hommes, le gauche pendait légèrement plus bas que le droit. Les bourses se tendaient et se relâchaient comme si elles étaient dotées d´une vie propre. Ces usines à semence étaient surmontées d´un pénis pas très long, peut-être 15 cm, mais d´une largeur et d´une vigueur extraordinaires. De puissantes veines montaient de la base vers le prépuce qui recouvrait la presque totalité du gland malgré une érection très soutenue. Dominique commença sa masturbation sans toucher au gland. Il saisit en effet la base de son pénis pour faire descendre la peau, ce qui eut pour effet justement de découvrir et d´exposer l´épicentre de son plaisir… ce chapeau rose et luisant, terminaison nerveuse d´exception, capable de vous transformer un homme en bête haletante.
Le retrait du prépuce me présenta cette merveille qui m´attira comme le miel attire les abeilles… la peau rouge, presque écarlate, luisait car elle était enduite d´un peu de sperme qui avait commencé à monter. Le méat était deux fois plus long que le mien… il partait du sommet pour descendre très bas sur le frein. Cet organe dégageait une énergie telle que je m´entendis prononcer d´une petite voix étranglée : » Je peux t´aider si tu veux… »
Dominique me fit un grand sourire et m´invita à faire tout ce que je désirais pendant qu´il poursuivrait sa lecture. Je m´approchais donc de ses cuisses ouvertes et je commis un acte dont je ne me serais jamais cru capable : je vins en effet lover mon visage entre ses cuisses, tout contre ses testicules, en me remplissant de son odeur et de sa présence comme un bébé l´aurait fait contre le sein de sa mère. C´était donc ça, ce besoin physique que l´on pouvait ressentir entre hommes, quelle merveille ! Et quel regret de le découvrir si tard après l´avoir tant méprisé. Après quelques secondes de ce gros câlin dans le giron de ce bel homme, je pris un peu de recul pour embrasser ses boules bien dures maintenant. Et je me mis à ronronner contre ces deux poires, les prenant dans ma bouche, les suçant, les léchant avec la volupté d´une femme en chaleur. Cela devait plaire à Dominique car je l´entendais respirer de plus en plus fort et je commençais à sentir de bien douces ondulations dans son bassin.
Je fis le tour des testicules pour lécher l´intérieur des cuisses puis pour enfin remonter au-dessus du gros sexe. Je n´avais pas assez de mes deux yeux pour découvrir cette merveille et j´aurais voulu avoir des milliers de caméras pour enregistrer l´apparition du gland alors que je tirais la peau du zob vers le bas.
Les odeurs de l´organe me jaillirent au visage en même temps que mes yeux imprimaient dans mon cerveau la vision de ce champignon écarlate, prêt à tout lâcher. Je descendis donc ma bouche ouverte au maximum autour de membre en faisant en sorte de ne surtout pas le toucher. Une fois mes lèvres parvenues à la jonction du gland et de la verge, je le mis à souffler et aspirer doucement de l´air, ce qui provoqua un gémissement franchement obscène de la part de Dominique. Il m´encourageait à poursuivre par des mots doux : » Vas-y ma petite femme. J´étais sûr que tu savais faire ça. Allez, soulage bien ma queue ma petite pédale adorée. Sois bien sage et tu verras comme je saurai te récompenser… « .
En effet, je m´étonnais moi-même d´être amoureux de ce sexe d´homme au point de savoir le satisfaire aussi bien, peut être mieux, que la plus expérimentée des putes d´Amsterdam.
Je resserrai donc mes lèvres autour du gland pour enfin goûter. La saveur était inracontable, salée et forte tout d´abord puis de plus en plus suave avec en fond le goût omniprésent du sperme dont j´attendais l´émission. Je passais tout doucement ma langue dans le sillon du méat, puis je faisais le tour des replis du prépuce pour reprendre en bouche son gros champignon d´amour et commencer mon travail.
J´ignore si vous avez déjà songé au sens profond du verbe sucer. Si vous m´aviez vu ce jour là, jamais plus vous n´auriez pu prononcer ce verbe sans vous sentir très très chaud. Ceci est tellement vrai que c´est au bureau de je suis en train d´écrire ce message et que je viens de lâcher ma semence dans mon slip avec la douleur et le plaisir que vous imaginez.
(Pause vu l´état de mes sous-vêtements… je reviendrai demain en espérant aller jusqu´au bout…)
Donc, je me mis à sucer, pomper, aspirer ce gland en ne cherchant qu´une seule chose : combler mon Dominique et obtenir de lui la giclée tant attendue. Mes lèvres épousaient parfaitement le zob, émettant des bruits obscènes lorsque je descendais à la rencontre des poires dures comme le bois maintenant. Dominique ondulait régulièrement maintenant, il venait à la rencontre de ma bouche d´amour comme il aurait pris le vagin d´une femme à califourchon sur lui. Je décidais de l´aider en soutenant ses fesses de mes mains pour mieux recevoir son pieu au fond de ma gorge.
Dominique délirait complètement de plaisir : » Oh oui ma petite, suce moi suce moi. J´ai pas vidé depuis une semaine, je vais t´engrosser la bouche ma p´tite pédale. Oooooohhh je vais toute faire, aspiiiiiiiiiiire sale pute, aspiiiiiiiiiirehmmmmmmm « .
Je sentais bien ce qui arrivait, l´ondulation régulière de ses reins était devenue anarchique, presque violente. Ses noyaux avaient disparu, remontant loin dans son ventre. La peau de ses bourses vidées de leur contenu, était tendue à craquer et avait pris une teinte très blanche comme lorsque l´on maintien le bout de ses doigts appuyés très longtemps sur une table. Le gland me remplissait la bouche à la distendre tant je ne voulais pas que mes dents viennent écorcher son tuyau d´amour. Il creusait son ventre en haletant alors que le bouquin de cul qu´il lisait avait rejoint le sol depuis longtemps.
Vous avez compris… l´éjaculation arrivait, irrésistible car, comme seul un autre homme peut le sentir, il avait dépassé le point de non retour. Sa vidange dura assez pour que j´en prenne toute la mesure mais pas suffisamment pour que je ne la regrette pas déjà.
Dans un ultime coup de rein, Dominique se vida dans ma bouche. Son gland me remplissait aussi bien la cavité buccale que le ferait une grosse prune. Sauf que cette prune là crachait de longs jets de semence. C´était un délice… il grognait en lâchant son sperme comme il devait le faire couché dans le vagin d´une femme. Sauf que là, c´était ma langue et ma gorge qui recevaient sa laitance et non un col d´utérus bien ouvert. Je ne parvenais pas à compter les jets, peut-être y en eu-t-il six ou sept vraiment généreux, le reste sortant comme une petit filet de liquide. En tout cas, ma bouche était plus que pleine et un peu de son lait avait coulé le long de ses testicules qui redescendaient tout doucement. Je ne lâchais pas le zob pour autant et je continuais à pomper les dernières gouttes en faisant rouler le sperme au fond de ma bouche, en avalant de toutes petites gorgées. Je me régalais comme jamais de déguster ce que les couilles de Dominique avaient mis une semaine à produire pour moi… rien que pour moi.
Les commentaires étaient élogieux : » Oooooo ma belle, comme tu m´as vidé le foutre. Oooo que tu es bonne ma petite femme. Comme tu aimes le sperme ma petite putain. Putain putain lèche moi le tube encore, mon petit amour, hmmmmmmmm où as-tu appris tout ça petite merdeuse ? « .
Enfin, après avoir tout déglutit et parfaitement nettoyé la queue, Dominique me dit, » allez, quitte vite ta culotte, toi aussi tu dois encore jouir, tu vas voir… tu l´as bien mérité ma petite éponge « .
Je me mis à poil sans un mot avec la queue dans un état de turgescence que vous devez avoir du mal à imaginer si vous êtes une lectrice. Dominique fit alors un truc inattendu. Il ouvrit le prépuce de son sexe maintenant redevenu flacide et me dit : » Tu vas voir comme c´est bon… vient juter dans mon gland ! ».
Les yeux exorbités, je me mis donc à me branler à pleine main en dirigeant le bout de ma queue vers le prépuce ouvert de Dominique. Ce ne fût pas long… au bout de 10 secondes, mon sperme gicla à son tour pour venir remplir le prépuce distendu de mon homme. Inutile de vous décrire ma jouissance car vous imaginez sans effort à quel point ce fut intense… au point que mes jambes furent coupées et que je me retrouvais pratiquement dans les pommes à coté de mon amant.
Dominique me dit alors : » Je sais maintenant que tu aimes le sperme ma petite salope, alors viens vite en prendre un deuxième dose ! « . Et il introduisit son sexe mou dont le gland était gorgé de mon propre sperme dans ma bouche ouverte à tous ses caprices.
Pendant une bonne heure encore, nous restâmes tous deux à nous lécher cuisses, fesses et pénis… nous reconnaissant enfin pour ce que nous étions… des amateurs d´hommes.
Une seule crainte à ce moment là… que j´ai tout donné dans cette seule fellation. Mais Dominique me prouva à de multiples reprises à quel point il restait encore à faire… Si cela vous intéresse…
Trop bandante votre histoire