Ma copine n’avale pas. Elle ne supporte pas le contact du sperme. Nous sommes deux jeunes, nous avons découvert l’amour et le sexe à deux, et je suis un homme comblé. Seulement, je rêve de pouvoir éjaculer un jour dans sa bouche.
Elle a 18 ans, j’en ai 20. Elle a encore un corps de jeune fille, deux seins de taille moyenne, fermes et ronds, une hanche fine et deux jolies fesses rebondies. Brune, elle attire le regard des hommes dans la rue et se fait parfois siffler. Elle a l’habitude de porter des pantalons moulants, des débardeurs qui laissent paraître la pointe de ses seins. Elle a tout pour exciter n’importe quel être humain masculin, voir même féminin.
Nous faisons régulièrement l’amour, sans tabous aucun, sauf en ce qui concerne ma semence. Je suis bien décidé à la faire changer d’avis.
Un soir après une longue journée et un bon petit repas, j’entreprends de l’embrasser alors que nous regardions une émission stupide à la télévision. Ma langue passe entre ses lèvres, touche sa propre langue dans un ballet sensuel. Mes mains se glissent sous son t-shirt, les paumes se posent sur les seins, les doigts sur les tétons. Elle se laisse faire, m’attire à elle et nous nous enlaçons. Je sens son souffle chaud contre moi, tout comme elle doit sentir mon érection.
Dans la bataille de nos gestes, j’ôte son haut, dévoilant ses seins. Ma bouche descend alors vers son cou, ses épaules, doucement, tendrement. Puis elle s’empare d’un téton, ma langue tapissant de salive une auréole. Son téton commence à se durcir, se dresser au contact de mes lèvres, comme un petit sexe auquel on ferait une fellation. Ma copine se cambre, elle aime ça. Je vais l’embrasser, mais elle murmure un « encore ». Je m’attaque alors à l’autre qui m’attend déjà dressé, désireux d’accueillir ma langue. Elle gémit de plaisir. Je devrais continuer, je pense qu’elle pourrait avoir un orgasme de cette façon, mais j’ai un plan à mettre en pratique.
Je me fais glisser un peu en retrait, embrassant au passage son nombril, ses hanches. Je défait alors le bouton et la fermeture éclair de son pantalon et glisse une main entre le tissu noir de celui-ci et le coton de sa culotte. Elle ne se fait pas prier pour se débarrasser des ses vêtements, m’invitant à explorer d’avantage ce terrain. Mon visage se retrouve alors à quelques centimètres d’une fine toison découpée en triangle, et brillante de mouille. Doucement, délicatement, je passe un doigt entre ses lèvres, depuis l’entrée de son vagin vers son clitoris. Elle mouille abondamment, la cochonne. La cyprine lui coule presque le long des cuisses. Elle plante alors ses yeux sombres dans les miens, et me dit « mange moi, tu seras récompensé ». J’adore quand elle me parle comme ça, rien ne m’excite plus.
Je refais alors le chemin parcouru par mon doigt avec la langue, ma copine se cambre d’autant plus.
Ma langue explore, fouille, s’immisce dans chaque recoin. Elle soupire, gémit, apprécie… Ma bouche suce son clitoris, ma langue descend dans son trou et s’y glisse au plus profond, elle en ressort, y retourne… Aller, retour, va et vient… Les gémissements se transforment en cris, en halètement… Ma langue retourne sur son clitoris, mes lèvres l’aspirent pendant qu’un doigt s’enfonce en elle, et branlent son con… Elle aime ça, je la sens trembler. Mon menton, mes doigts, mes lèvres sont inondées… Mes doigts s’enfoncent en elle, au plus profond..
Un cri.. L’orgasme, la jouissance, un flot supplémentaire de liquide s’échappe et m’inonde.
Elle m’attire à elle, m’enlace comme pour me remercier, tremblante de plaisir.
Maintenant, à elle de me remercier… et d’avaler.