Vive les amis

De toutes mes amies, Annie est la seule femme qui m’ait autant préoccupé. En tout point de vue. Aussi bien sur ces atouts physiques aussi négligeables qu’un éléphant dans un appartement 3 pièces que par son comportement piquant et déroutant.

Nous nous étions donné Rendez-vous dans un café du centre ville. Là, d’autre ami devaient nous rejoindre. Lorsque nous y arrivâmes, nous fûmes surpris de constater que nos amis étaient déjà là. Ils étaient deux, Patricia et Jean-Marc, alias Azraël comme on aimait bien le surnommer. Ils étaient ensemble depuis presque 7 mois, et ne cachaient rien de leur fougue amoureuse, surtout en publique.

Annie était du même genre, mais elle, elle aimait choquer par dessus tout. Nous nous sommes assis et avons commencé la discussion tout en nous commandant des cafés serrés.

Annie m’avait tenu la main pendant tout le trajet, pourtant, à la base, nous ne somme que de simples amis. J’en conclu donc à un manque d’affection de sa part et ne me fit pas prier pour lui en donner. Annie portait un chandail blanc assez transparent, laissant distingué son soutient gorge en dentelles. Elle me surprit en train de la mater, comme un chat mate une souris, avec la même passion dévorante, si je peux dire. Elle redressa son buste, histoire de faire ressortir encore plus sa somptueuse poitrine.

N’y tenant plus, je lui passais une main sur la cuisse. Sa réaction fut un sourire de satisfaction de sa part. Ainsi, pendant plusieurs minutes, je lui caressais la jambe, remontant toujours un peu plus haut. Je pu donc de cette façon, qui est la meilleur je crois, découvrir qu’elle portait un string tout de dentelles vêtu.

Je la caressai entre les cuisses un moment. Nos deux amis ne se rendais compte de rien et continuais à discuter avec Annie qui ne laissait paraître aucune émotion sur son visage.

Sur la table, il y avait des olives noires. J’en prit une discrètement, et remit ma main en dessous de la table, de nouveau à la recherche de la partie de l’anatomie d’Annie qui devenait assez humide. Elle m’adressa de petit regard suspicieux lorsqu’elle comprit où je voulais en venir. C’est avec de grand yeux étonné et presque estomaquée qu’elle me fixa après lui avoir introduit l’olive dans le vagin où mon doigt se trouvait toujours.

En moins de deux minutes, nous quittâmes nos amis ainsi que le café. Elle m’entraina dans un petit bois non loin de là. En son milieu se trouvait une clairière d’herbes hautes bien isolée. Nous avançons jusqu’au milieu de la clairière et là, nous nous mettons à genoux, l’un en face de l’autre. Elle me prend le visage entre ses mains et rapproche ses lèvres de miennes. Je commence à caresser son corps de rêves, passant de sa croupe à sa poitrine, d’où pointait de plus en plus ses tétons. Des pipettes de camion comme aurait dit Azraël. Ayant une vue un peu plus érotique et un peu moins mécanique de la chose, je les lui flattai.

Son corps fut parcouru de frissons quand j’enlevai son chandail, mettant sa peau de pêche douce comme du satin sous le joug du vent caressant. Il n’y avait d’ailleurs pas que lui qui caressait, elle me mit la main sur mon entre jambes et me sourit de toutes ses dents quand elle sentit la bosse qui déformait mon pantalons. Je dépose de légers baisers sur sa poitrine, l’effleurant de mes lèvres. Je dégrafa son soutien gorge et me mit à lui exciter les mamelons avec ma langue, enfournant au passage son sein dans ma bouche.

Elle me prit la tête en ses mains et me pressa plus fort contre sa poitrine, me faisant passer d’un sein à l’autre. Ses tétons étaient tellement excitants que je lui mordillai sans lui faire mal. Chose qu’elle apprécia grandement, compte tenu de ses gémissements grandissant. Elle m’enleva ma chemise blanche aussi et me caressa les pectoraux, pinçant de ses doigts le bout de mes seins.

Je passa ma main dans son string tout trempé, caressa un moment le tissus, puis la passa entre son string et son sexe, lequel je commençais à masturber. Ses gémissements et ses petits cris m’incitèrent à continuer d’avantage.

Je la pris ensuite dans mes bras et la déposa sur le sol en écartant bien ses cuisses. J’arracha son string avec mes deux mains et baisa le haut de ses jambes, musclées et bien bronzées. Du bout de mes lèvres, j’effleurai sa toison où perlait son élixir d’amour. Je commençai à la lécher, lui excitant le clitoris d’une main. Elle se caressa les seins, gémissant de plus belle.

Elle essaya en vain de me déboutonner le pantalon. Je me redressa et m’approcha de son visage. Elle commença à me caresser mon sexe à travers mon pantalon, le faisant durcir de plus en plus. Je suis à genoux à ses côtés. Ses caresses me font un plaisir immense. Elle se relève un peu, s’appuyant sur un bras et empoignant mon pénis de son autre main, me masturbant doucement tout en me fixant bien droit dans les yeux.

Elle aimait lire le plaisir dans les yeux du partenaire. Ca, je le savais d’avant. Puis, elle me prit d’un trait dans sa bouche, continuant à me masturber avec ses lèvres. Je passe une jambe au dessus de son visage. Elle se remet sur le dos et je me couche sur elle. Face à son sexe et elle, face au mien. Je continuai à la lécher en la pénétrant de mes doigts.

Tout d’un coup, je sentis un objet insolite dans son sexe. L’olive que je lui avais introduite se décida pour aller prendre l’air. Je la pris entre mes dents et suça bien le liquide chaud qui l’entourait. Je lui caresse l’anus, et y introduisit un doigt. Ce qui la fit gémir encore plus. Je m’enlève de son corps et de son emprise. Elle se mit à quatre pattes, avec moi derrière elle. Je lui léchai vigoureusement le sillon de ses fesses, avant de me reculer. Pendant une minute, je ne la touchai pas, me masturbant à la vue de sa croupe magnifique et bien mouillée.

N’y tenant plus, elle me prit le sexe de force et se l’enfonça dans le vagin. Je me fis aller en elle, de plus en plus vite. Après un moment, elle me demanda d’arrêter et de ne plus faire de bruit. Elle scruta les environs avant d’apercevoir des mouvements dans les fourrée les plus proches de nous.

Se sentant découvert, Patricia et Jean Marc sortit de là à moitié nu. Le sexe bandé de mon ami et le liquide qui coulait le long des cuisses de Patricia ne nous laissa aucun doute sur leurs occupations des dernières 10 minutes. Patricia se mit à quatre pattes devant Annie. Elles s’embrassèrent fougueusement, puis Azraël vint pénétrer sa promise et lui faire un va et vient des plus jouissif pour elle.

Après quelque minutes, Annie me demanda de la prendre par derrière, entre les fesses. Je m’exécuta et introduis mon sexe bien dur dans son petit trou. Doucement, je lui enfonçai mon 8 pouces. Une fois entré à fond, je repris mon va et vient. Jean Marc fit de même avec Patricia. Pas longtemps, car après seulement quelques coups de rein, Jean Marc repris sa partenaire dans le vagin et jouit en elle de toutes ses forces.

Une fois cela fait, les deux femmes se regardèrent d’une air entendu, se libérant de mon sexe, Annie se tourna vers moi et me reprit dans sa bouche. Patricia vint se joindre à elle, se coucha sur le dos et me suça les testicules sauvagement. Azraël s’affaira maintenant à faire jouir sa promise de sa bouche. Chose qui ne tarda pas non plus. Celle ci hurla, mes couilles dans sa bouche. A peine avait-elle poussé son dernier gémissement du à son orgasme que j’explosait dans la bouche d’Annie qui n’arrêtai pas la cadence de son va et vient pour autant. Nous nous étalâmes de tout notre long dans l’herbes, complètement nu et épuisé. Depuis, j’ai épousé Annie…….

Balladin asiassion

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