Une nuit jouissive dans le train vers Paris

Je dois une énième fois me rendre à Paris pour le travail, et en train de nuit pour enjoliver le tout. Je n’en peu vraiment plus de ce travail de commercial. Rarement à la maison pour profiter de ma petite femme, rarement à la maison pour finir les travaux, etc.

J’arrive donc à la gare un peu avant 19 heures, heure de départ du train. Je suis habillé d’un pantalon léger en coton pour être à l’aise durant le trajet ; j’ai chargé mon Galaxy Note à fond, je vais pouvoir regarder un film de cul durant le trajet. J’arrive dans le wagon, la secrétaire a au moins fait l’effort de réserver un compartiment avec couchette pour ce trajet de nuit. Je m’installe confortablement, déplie la tablette pour installer le Galaxy et j’attends le départ.

Le chef de quai siffle le départ, la porte s’ouvre à cet instant. Une charmante femme brune entre dans le compartiment et n’a juste que le temps de s’asseoir avant que le train n’avance.
Un simple bonjour l’histoire d’être poli et je me plonge dans mon film. Un film français de sexe, je les préfère en français c’est mieux, même pour l’histoire diront nous.

Le film avance, elle me fait bander la salope du porno, elle se fait défoncer par tout ce qui bouge dans ce film. J’envie les mecs qui viennent profiter de sa belle chatte toute lisse et de son cul rebondi à la perfection. Avec ses hanches larges, elle doit être un véritable bonheur à culbuter et à faire couiner, sans parler de ses seins bien ronds et lourds au naturel. Bref, je bande.

C’est à ce moment que je remarque le visage de mon accompagnatrice. Elle ne regarde pas le paysage qui défile sous nos yeux, mais plutôt en direction de mon entre jambes.

-Veuillez m’excuser. Je suis confuse.

-Pardon ?

-Je ne devrais pas regarder, mais c’est plus fort que moi…

-Expliquez-vous !

-Je ne sais pas ce qui vous met dans cet état, mais c’est incroyable vu d’ici. Veuillez m’excuser

Je comprends ce qu’elle dit, elle dévore mon entre jambes du regard. C’est vrai que je bande comme un fou, et aussi que je suis plutôt bien fourni par la nature.

-Voulez-vous regarder avec moi ? C’est un film coquin, juste avec des français et des françaises, c’est bien mieux que les américains.

-Un film porno ! Je ne suis pas vraiment attirée.

-Vous loupez quelque chose.

Joignant le geste à la parole, je me lève pour venir m’assoir à coté d’elle. Je ne m’occupe même pas de mon érection en me levant. Je m’assois à sa droite, lui donne un des écouteurs qu’elle porte à son oreille sans attendre plus longtemps.

Je relance la lecture du film. Nous regardons tous les deux. Je bande toujours. Ma voisine commence certainement à être échauffer par le film, elle se trémousse de plus en plus sur le siège.

-Je vois que le film ne vous laisse pas indifférente non plus.

-Je dois dire que c’est plus agréable que ce que je pensais. Ces hommes sont bien agréables à regarder, et j’avoue qu’ils m’excitent, que je me sens jalouse qu’un homme ne me fasse pas l’amour de ces façons.

-Ah bon, même pas un petit ami assez imaginatif qui pense à votre plaisir avant le sien ?

-Vous êtes indiscret… Mais en effet. Personne pour cela.

-Quel dommage une si belle femme.

Nous nous replongeons dans le film. Sa main finit par venir se poser sur ma cuisse. Elle remonte lentement vers mon sexe. Je la laisse faire volontiers.

-Vous savez, je préfère la réalité à la fiction.

-Vous n’êtes pas la seule.

Nous commençons à nous caresser de plus en plus. Nous nous embrassons au point d’en retirer les écouteurs. Le Galaxy posé sur le troisième siège maintenant. Nous nous enlaçons sans jamais nous lâcher la bouche. Elle embrasse divinement bien avec sa bouche pulpeuse recouverte d’un rouge à lèvres sucré. Je passe ma main dans ses cheveux pour lui retirer les différentes barrettes. Elle ouvre mon pantalon pour découvrir mon sexe et se mettre à le caresser de haut en bas, délicatement, mais sûrement.

Quand j’ouvre les yeux, je la reconnais. Je suis sûr que c’est une des filles du film. Cette belle brune aux cheveux bruns, avec des seins lourds et des hanches parfaites. Comment ai-je pu ne pas la reconnaitre ?

-Mais c’est vous dans le film

-Je vous ai dit que je préférais la réalité à la fiction. Tout en me disant cela, elle se baisse sur mon sexe et me prend en bouche.

Une sacrée suceuse qui se rempli la bouche de ma verge. Une femme qui participe à des films de cul qui se met à me sucer. Est-ce un rêve, non, ça n’en a pas l’air.

Je la laisse m’offrir une des meilleures fellations de ma vie, si ce n’est la meilleure. Après quelques minutes, je prends tout de même le contrôle et lui baisse sa culotte pour déguster son petit abricot. Une belle fente toute lisse et adorablement sucrée, le rêve à lécher. Pas besoin de me guider pour savoir comment offrir un merveilleux cunnilingus.

A chaque coup e langue, à chaque fois que je passe de ses petites lèvres à son clito en glissant par moment jusqu’à la pétale de rose, elle ondule et me caresse les cheveux. Elle mouille de plus en plus.

Elle comme moi en voulons plus maintenant. En appuie sur les fauteuils, le visage tourné vers l’extérieur, elle m’offre une vision incroyable sur sa croupe, ses hanches, son cul de reine. Je ne peux pas m’empêcher de lui coller quelques coups de langues avant de la pénétrer.

Ma belle brune sexy s’offre à moi. Je glisse ma queue violacée et encore humide de la pipe dans sa chatte. J’entre en elle délicatement pour sentir chaque partie de son intimité, mais aussi pour lui offrir un merveilleux morceau de chair veiné et gonflé en elle. Elle préfère la réalité à la fiction, moi aussi, et je compte bien lui apporter plus de jouissance qu’elle ne peut m’en donner.

Je la pénètre de plus en plus profondément, variant l’intensité et la profondeur des coups de reins. Elle ondule et gémit. Sa crinière brune s’agite au rythme de ses seins dont je vois le reflet dans le miroir.

-Continuez, vous êtes merveilleux

-Ne vous inquiétez pas, je ne vais pas abréger le trajet, madame.

Agrippée à ses hanches depuis quelques minutes, en la laissant gémir de plaisir, je ne peux m’empêcher de rapprocher mon pouce de ce si bel anus tout rose qu’elle me présente. Je glisse mon pouce dedans, le faisant tournoyer en elle pour aller toucher ma verge.

-Ne vous contentez pas d’un pouce. Je ne suis pas de celles là. Enculez moi avec grand plaisir.

Je sors ma verge de son vagin pour l’engager en elle, par son cul tout rond. Je n’ai le temps que de lui présenter mon gland turgescent, qu’elle n’attend pas plus et vient s’empaler d’un trait dessus. Elle augmente la cadence sauvagement, d’avant en arrière, ses fesses claques sur mes hanches.

-Vous êtes si pressée que ça ?

-Non pas du tout, simplement gourmande, laissez vous faire, je sais ce que je fais.

En effet, au moment où je crois me répandre dans son cul par un flot de semence, elle s’arrête net et contracte ses muscles autour de ma queue. J’en souffre, j’entre mes ongles dans ses hanches, mais l’effet recherché est réussi. J’en oublie d’éjaculer.

-Alors, convaincu ?

-Terrible !

-A mon tour. Reposez vous.

Assis sur le fauteuil, maintenant, c’est elle qui vient s’assoir sur moi. Elle s’assoit d’abord face à moi, j’en profite pour lui pétrir délicatement ses gros seins laiteux. Ensuite, elle se tourne, dos à moi, je ne vois que ses magnifiques courbes, ses hanches, son bassin, elle ondule de gauche à droite, d’avant en arrière, de haut en bas. Par moment je vois ses seins passer d’un coté et de l’autre.

Il fait nuit maintenant, et je n’ai toujours pas éjaculé. Nous changeons maintes et maintes fois de positions. Changeant également de plaisir, tantôt, elle me prend en bouche pour me sucer, tantôt, je lui offre un cunnilingus et un anulingus, tantôt, je la pénètre par les fesses ou le vagin. Nous baisons comme deux vieux amants, sur tous les sièges du compartiment. Nous sommes couverts tous les deux de sueurs, nos corps luisent à la lumière de la lune.

Je n’en peux plus, elle non plus. Elle m’offre une dernière fois ses magnifiques fesses mais cette fois sans contrôler mon éjaculation. Je me répands en elle dans un râle que je ne me pensais pas capable de faire un jour, elle jouit en criant de plaisir. Il est certain que nous avons réveillés nos voisins de compartiment, si toutefois il y en a.

Arrivés à Paris le lendemain matin, avec une très courte nuit de repos, nous nous quittons après un dernier baiser sur la bouche. Depuis, je ne regarde plus ses films de culs, rien que de la voir en photo, je bande. Je ne peux bien sûr pas donner son nom, mais moi je sais, et elle aussi. J’espère à bientôt.

Aurelien

Coquin amoureux de la plume et des belles photos, Erosto, m' est comme un petit boudoir coquin permettant de mettre par écrit les plaisirs sexuels, les histoires érotiques et les nombreux conseils coquins pour les couples, les hommes et les femmes qui aiment comme moi pimenter leur vie sexuelle et agrémenter les soirées torrides pour le seul plaisir du partenaire

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