Une crevaison providentielle

Bien qu’ayant 19 ans, je vais encore au lycée, pour cause de redoublements répétitifs (deux, en vérité)… De plus, suivant des options rares de type artistique, je suis obligée de parcourir 150 km pour aller au lycée et ai un petit appartement à proximité de celui-ci (mais ce lieu privilégié reste et restera mon petit nid… Et celui de mon ami. Aucune autre aventure n’y a droit de citer). Je ne rentre pas très souvent chez moi, sauf pour causes d’études ou pour quelques sorties entre copains…

C’était un vendredi, au début du printemps dernier. Je rentrais justement en direction du domicile de mes parents. J’étais encore à une bonne centaine de kilomètres de chez moi, c‚est alors que je me suis arrêtée pour faire le plein d’essence, car mon voyant commençait à clignoter de plus en plus régulièrement. Il pleuvait et je n’avais pas trop envie de me servir car j’étais en jupe collants fantaisie (rouges avec des arabesques) et ne portait en haut qu’un T-shirt moulant, ce qui laissait passer toute la fraîcheur de la journée. Cependant, je me décidais enfin à descendre de ma voiture pour faire le plein.

Comme d’habitude, je me suis un peu battue avec le bouchon de mon réservoir avant de parvenir à l’ouvrir, puis j’ai fais le plein… J’en ai eu pour près de 50 E, et j’étais furax parce que près du lycée, un plein ne me revient qu’à 40 E. Je suis allée payer, grelottante de froid. Le gars qui se trouvait à la caisse avait au moins une cinquantaine d’années, bien tassée et qui ne semblaient pas lui avoir réussi…

» Alors jeune fille, vous rentrez chez vos parents ?  »

Il a vu ça à ma plaque… Quant à savoir si j’allais effectivement chez mes parents, causes toujours !

Je m’empressais de sortir mon carnet de chèques et d’y inscrire la date, le montant etc…

» Je le fais à quel ordre ?  »

» Ne vous inquiétez pas pour ça ! »

Cet abruti était en train de reluquer mes seins avec insistance… Bon, c’est vrai que quand je sais que je vais conduire longtemps, je ne porte pas de soutien gorge parce que sinon je suis gênée. En plus, le frottement du tissu et le titillement du froid extérieur avaient fait pointer mes petits tétons…

» Dites, vous devez avoir froid, habillée comme ça ?  »

Si seulement il avait été un peu plus séduisant, je serais peut être restée lui faire la causette, mais là, je ne crevais vraiment pas de désir. Je lui ai tendu son chèque et suis remontée tranquillement dans mon auto…

À peine deux kilomètres plus loin, je sentais qu’un truc clochait… Au bord de la route, il y avait juste une grande maison et un semblant de parking. J’en profitais pour m’arrêter et essayer de comprendre ce qui n’allait pas… Un homme se tenait dans l’encadrement d’une petite porte attenante à un grand portail ouvragé… Je descendais de voiture et il me sourit d’un air désolé…

» Vous avez crevé… »

Et merde !

En plus, je ne savais même pas changer une roue, et puis, à quoi ça aurait servit, avec 100 bornes à faire dans la soirée. Je regardais un peu mieux le type qui me fixait toujours. Il était plutôt craquant… Bien fait, environ 1m70, svelte, châtain aux yeux verts (là, je craque !). Assez athlétique, mais pas trop musclé non plus… Il portait une simple chemise blanche dont les trois premiers boutons étaient ouverts sur le haut de son torse et un pantalon brun en lin. Vive les pneus crevés !

Je me décidais à briser la glace :

» Je suis embêtée : je dois faire 100 kilomètres dans la soirée… Même avec une roue de secours, ça n’est pas prudent.  » Comme le gars de la station essence, mon interlocuteur détaillait mon corsage, mon ventre, mes hanches. Il observait attentivement mes seins à peine dissimulés et mes jambes en collants. Mais être déshabillée du regard par ce beau mec ne me gênait pas du tout, bien au contraire. Je frissonnais, mais pas de froid. Il finit par regarder mon auto, et ma roue arrière droite complètement plate et me dit simplement :

» Ce ne doit être qu’un clou : demain soir ce sera réparé.  » Cela m’amenait au samedi soir et laissait présager un week-end bien trop court. Mieux valait rebrousser chemin directement.

» Si vous voulez, vous pouvez rentrer votre voiture dans ma cour… J’ai un ami garagiste, il viendra s’occuper de votre roue et je vous hébergerais d’ici à ce que ce soit réparé…  »

J’aurais dû hésiter, comme toute jeune fille prudente, mais je n’en fis rien et acceptais de bon cœur.

J’étais contente de me retrouver au chaud… Mes vêtements étaient gelés et humides. J’avais sortit mon sac de ma voiture et espérais pouvoir me changer… ou tout au moins me déshabiller. La maison était magnifique : à la fois moderne et  » rustique « . Le bois se mariait avec le métal. On pouvait sentir des inspirations orientales ou arabes, ainsi que celtes… Le mélange était précis et très réussi.

» Je m’appelle Charlotte.  »

Mon hôte, se rendant compte soudain qu’il ne s’était pas présenté se tourna vers moi :

» Andrew Bertin, mes parents étaient anglais et m’ont laissé cette maison en héritage. Je suis architecte et artiste à mes heures perdues…  » Nous avons commencé à discuter… Il me proposa un thé que j’acceptai de bon cœur et nous parlâmes de mon lycée, des études en général, de la pluie qui ne cessait pas de tomber, des arts… Durant tout ce temps, je prenais mon thé, tranquillement, souriante, et lui me dévorait du regard. Nous finîmes par aller nous asseoir dans le salon, près d’une magnifique cheminée ouvragée dans laquelle un bon feu lançait ses petites lances de flamme vers le ciel en délivrant une chaleur délicieuse. J’étais absorbée par les flammes orangées lorsque je sentis (enfin !) La main d’Andrew se poser sur mon épaule. Je tournais alors la tête pour recevoir un baiser fougueux, déchaîné par le désir. Je posai ma main sur son épaule et me tournai de façon à croiser mes jambes avec les siennes. Je sentis ses mains descendre le long de mon dos, me caresser les fesses, les masser avec volupté tandis qu’il me suçait la langue… Il m’enfonça la sienne dans la bouche, m’aspira les lèvres, me les suça doucement. Ce baiser, à lui seul m’excita au plus haut point. Je sentis ses mains passer sur mon ventre… Avec l’une, il remonta sous mon T-shirt pour me masser la poitrine et me pincer mes tétons déjà bien durs… L’autre main descendit vers mon pubis… Il me pencha en arrière et se mit à genoux sur le tapis pour me retirer ma jupe, puis, délicatement, mes collants… Une belle auréole de mouille décorait le devant de ma petite culotte. Andrew se pencha sur le morceau de tissu et le renifla comme un bouquet de fleurs. Il appuya dessus avec ses doigts tout en me caressant la poitrine. De temps à autre, il dirigeait ses doigts vers ma bouche et je le léchais et le suçais consciencieusement comme je l‚aurais fait avec sa bitte… Je le sentais me tâter le pubis. Il écartait enfin la bande de tissu qui lui cachait ma fente du regard et il plongea sans retenue deux doigts dans ma chatte détrempée. Il les retira avec délicatesse pour les amener à ma bouche. Pendant que je me goûtais, il en faisait autant, transformant sa langue en sonde. Je le sentais s’enfouir dans mes chairs, s’agiter avec souplesse. J’avais envie de le sentir dans ma bouche, de le prendre entre mes lèvres, de lui lécher la pine et les boules gonflées comme j’aurais eu envie d’une belle sucette. Je me laissais glisser du divan sur le sol. Andrew comprit tout de suite et s’allongea à mon coté pour me permettre d’accéder à l’objet de mon désir. J’écartai mes cuisses pour qu’il puisse me manger le plus profondément possible. Je recouvrai mes dents de mes lèvres humides et commençai à le sucer en le branlant lentement. Peu à peu, j’accélérais le rythme et essayais de le prendre tout entier. Je collais mon sexe à son visage en l’écoutant laper mon jus qui s‚écoulait de ma fente. Je m’abandonnais à lui. Il s’était dévêtu mais ne m’avais pas encore ôtée ma culotte et il tirait dessus pour avoir plus de place pour sa langue et ses doigts qu’il me glissait dans la chatte pour me les faire sucer de temps en temps, me faisant du même coup délaisser sa belle queue.

» J’ai envie de te défoncer la chatte  »

» Vas-y ! Je veux te sentir me remplir de ta bitte ! »

» Je vais te défoncer petite salope !  »

Alliant le geste à la parole, il se retourna et se plaça au-dessus de moi. Ma culotte était toujours en place, bien qu’elle ne cachait plus grand chose. Une fois de plus, Andrew poussa sur le côté la bande de tissu, mais cette fois pour me caresser la fente avec son gland. Je voulais l’avoir toute entière pour moi… Je voulais la sentir rentrer doucement. Je remontai donc mes fesses pour la faire rentrer bien profond. Il compris et se serra peu à peu contre moi. Je sentis son gland pénétrer et se frayer un chemin dans mon ventre tendu par le désir. Nous restâmes quelques instant ainsi, emboîtés l’un dans l’autre puis il commença des va et viens, de plus en plus rapide, tout en m’embrassant à pleine bouche.

Comme on dit, ce n’est pas la taille qui compte, mais la façon de s’en servir. J’atteste ! Sa bitte ne battait pas des records en longueur ou de largeur, mais elle m’entrait dedans et me faisait autant de bien, si ce n’est plus, que si j’en avais eu une  » grosse  » entre les jambes !

Je criais déjà de plaisir.

Il sortit de moi pour replonger aussitôt dans ma chatte débordante de mouille. Il renouvela plusieurs fois cette manœuvre délicieuse. Je le sentais chaque fois s’enfoncer plus loin, comme s’il avait creusé un tunnel dans mon ventre à grands coups de butoir. Je jouissais déjà. Nous étions tous les deux en sueur. Il se retira pour m’arracher ma culotte, la déchirant dans l’impatience de me replonger son pieu dans le corps. Il alla même jusqu’à recommencer à me branler, plongeant presque tous ses doigts dans ma chatte tandis que je m’étais plongée en avant pour déguster son sexe parfumé du mien. Je serrais les cuisses pour mieux sentir sa main. Je l’encourageais à l’enfoncer un peu plus en levant les fesses et en appuyant avec ma main sur son coude. J’aurais voulu le sentir à l’intérieur de moi jusqu’au poignet, mais il ne faisait que faire des allers et retours avec ses doigts, ce qui me fit cependant jouir une seconde fois. Il s’allongea sur le tapis et me fit le chevaucher. Je me pliais contre sa poitrine, m’enfonçant toujours plus sur sa queue. Il me serrait, me griffait même le dos, m’offrant la douleur comme un plaisir. Je poussais des cris de possédée. Enfin, Andrew cria à son tour :

» Je viens, je vais jouir, petite pute ! Chevauche-moi ! Encore ! Serre-moi dans ta chatte ! Inonde-moi !  »

Puis, soudain, dans un éclair de lucidité il me dit d’arrêter, qu’il ne voulait pas jouir en moi si je ne le voulais pas… Et à dire vrai, sans capote, je n’étais pas vraiment rassurée, bien que complètement déchaînée. Je levais les fesses pour le faire sortir de moi et je l’embouchais juste à temps pour sentir son sperme emplir ma bouche. Le jet était si puissant que j’ai bien faillis m’étouffer. Je finissais de le nettoyer et m’écroulais sur sa poitrine, épuisée.

La chaleur du feu rayonnait sur nos peaux nues. Au bout d’environ un quart d’heure, Andrew pris la parole :

» Tu veux prendre une douche ?  »

» Mmmm… oui…  »

Déjà requinqué, il me prit dans ses bras pour me monter au premier étage. La salle de bain était immense. Il y avait une douche dans laquelle auraient put tenir cinq ou six personnes sans être serrées ainsi qu’une grande baignoire de trois ou quatre personnes. Andrew me porta jusqu’à la douche et actionna le mitigeur. Une eau délicieusement chaude jaillit. Elle tombait violemment, me maintenant excitée en stimulant ma peau d’un merveilleux massage. Andrew m’avait remise sur mes jambes et me tenait debout tout contre lui en me frottant la peau. Contre mon ventre, je le sentais déjà reprendre des proportions toutes à fait appréciables… Il me caressait en me nettoyant la peau, me massait les fesses. J’en faisais tout autant et je pris même la liberté de prendre sa queue à pleine main pour recommencer à le branler. Je ne pus cependant pas continuer très longtemps car il me serrait contre lui, attrapant mes fesses à pleines mains et me soulevant du sol. Je serrais mes cuisses autour de sa taille tandis qu’il m’appuyait contre le mur en m’embrassant. Sa bitte pointait déjà toute seule vers ma chatte. Il l’enfonça sans la moindre difficulté et recommença à me labourer. La sensation de l’eau flagellant ma peau et de cette queue que je serrais à l’intérieur de moi était merveilleuse cependant Andrew se retira. Il me fit me pencher en avant, les mains à plat sur le mur, les jambes écartées et me prit ainsi par derrière en me pinçant délicatement le clitoris. Cette fois-ci, il fut brutal, agissant rapidement comme s’il ne se concentrait que sur son plaisir. Etre ainsi traitée en objet sexuel m’amena pourtant au bord de l’orgasme. Il se retira brusquement et m’éjacula sur les fesses. Sa semence fut vite balayée par la pression de la douche et il me retourna pour m’embrasser. Il coupa le jet de la douche et m’aida à m’essuyer.

» Je suppose que la chambre d’amis est inutile ?  »

Sa question était accompagnée d’un regard étrange, mi amusé, mi inquiet, comme s’il eut douté de la réponse. Ma réponse devait le rassurer totalement :

» Pourquoi ? Ton lit est trop petit ?  »

Une fois dans la chambre, j’aperçus un poste de téléphone. Il était déjà 20 heures et mes parents devaient commencer à se poser des questions. Je demandais à Andrew si je pouvais appeler chez moi, puis composais le numéro de la maison. Je prétextais une invitation à un anniversaire que j’avais oublié pour expliquer mon absence du week-end. J’entendis ma mère me dire de bien m’amuser et je souhaitai à tout le monde une bonne fin de semaine.

J’aurai bien prolongé nos ébats, mais je mourrai de fatigue et m’endormis presque aussitôt après m’être glissée entre les draps. Au matin, je m’éveillais fraîche et reposée comme rarement. Une main me caressait l’intérieur des cuisses, remontant peu à peu vers mon coquillage déjà tout humide, comme tous les matins. Je n’ouvrais pas immédiatement les yeux et préférais me laisser aller aux caresses. Quand mon souffle accéléra, les mouvements de la main se firent plus précis, remontant vers ma chatte, en effleurant les lèvres gonflées. Glissant un doigt indiscret. Je me joignais aux caresses, massant mes seins et écartant les jambes.

» Tu es réveillée ?  »

» Ouiii… Mmm  »

Andrew se fit alors plus précis dans ses caresses, commençant des va et viens avec ses doigts, appuyant délicatement à l’entrée de ma grotte pour me faire mouiller un peu plus. Ses caresses durèrent longtemps. Tout d’abord, il ne me pénétra que d’un doigt, puis de deux, doucement, tout en me regardant me caresser, me masser, me griffer, même, parfois. Je sentais une sorte d’admiration dans son regard. Ses allers et retours dans ma chatte n’en finissaient pas. Il accéléra le rythme tandis que trois de ses doigts étaient plongés en moi. Nous pouvions entendre un petit bruit humide à chaque fois qu’il reculait son poignet pour replonger aussitôt, presque avec violence, sa main. J’avais déjà un orgasme. Il continua à me prodiguer ses délicates attentions jusqu’à ce que j’en ai eu un ou deux autres puis m’embrassa et se leva.

» Tu es une lève-tard ! Il est plus de midi ! Mon ami est venu chercher ta roue vers huit heures ce matin. Il ne devrait pas tarder à la ramener. Quant à moi, je dois partir pour Bordeaux à 14 heures : j’ai un avion à prendre  » Le fait qu’il parte ainsi ne m’étonna guère et ne me gêna pas le moins du monde.

Je me dépêchais d’aller prendre une bonne douche et puisais une culotte propre dans mon sac de voyage, avant de me vêtir d’un pantalon léger et d’un justaucorps beige bien moulant puis descendais au rez-de-chaussée où était descendu Andrew. Je le vis, par la fenêtre, aider un autre type à remonter ma roue fraîchement réparée sur ma petite voiture. Une fois que ce fut fait, les deux hommes s’échangèrent une poignée de main puis celui qui était apparemment le garagiste repartit dans une quatre L déjà bien amochée par le temps.

Il était déjà près de 13heure. Mon hôte providentiel passa la porte.  » Je suis vraiment désolé de te mettre à la porte ainsi. Si tu veux, je t’ai préparé des sandwichs et un peu de thé pour la route. Je dois partir un peu plus tôt que prévu.  » Il ne me donna guère plus d’explications. Les adieux furent un peu courts, mais je n’en étais pas gênée. Je repartais simplement pour le campus, ne regrettant pas le moins du monde d’avoir crevé un pneu ce jour là !

Charlotte cuidique

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