Un bel éphèbe à dépuceler

Ca vous est déjà arrivé de suivre un mec, de vous arranger pour vous trouver souvent sur son chemin, comme par hasard ? Moi, jamais. Jamais, avant lui. Lui, c’est un grand brun longiligne, les cheveux noirs brillants tires en arrière, avec une gueule incroyablement lisse et pure. D’ordinaire, je laisse les minets venir à moi, ça marche toujours, mais cette fois, le bellâtre semblait totalement m’ignorer, et ça m’a vraiment excite. D’ailleurs, il ne regardait jamais personne, perdu dans sa rêverie, ses grands yeux verts sombres plongés dans le vide.

J’en ai fait des trajets avec lui, assis à côté, ou derrière, dans le bus bondé. Mais la merveille ne voyait rien. Je commençais à m’impatienter, mais je voulais absolument me le taper. Quel beau petit con !

Au bout de deux semaines de filatures poussées, j’ai su des choses sur lui : il s’appelait Christophe, avait dix-neuf ans, habitait un studio, rue de Picardie, faisait des études d’arts plastiques. Mais ça ne m’avançait guère, je le voulais entièrement. Alors, j’ai décidé de ruer dans les brancards. Je l’ai suivi jusque chez lui, j’ai monté les escaliers derrière lui, me suis arrêté en même temps que lui, alors qu’il déverrouillait sa porte.

– Mais enfin, qu’est-ce que vous voulez ?

Il s’était retourné, et j’avais reçu sa beauté courroucée en pleine face.

– Faire l’amour avec toi.

J’y allais souvent au culot, conscient des risques, mais connaissant l’efficacité de la méthode.

– Ca va pas, non ?!!

Il a voulu refermer la porte, mais je l’ai coincée avec mon pied, et je suis rentré de force.

-Sortez d’ici ! Ou j’appelle!

-T’auras pas le temps.

J’ai écrasé mes lèvres sur les siennes, l’enlaçant, l’emprisonnant dans mes bras musclés. La douleur m’a fait lâcher prise. Ce petit salaud venait de me taper dans les burnes.

– Salopard ! Tu vas voir !

A cet instant, j’étais plutôt une bête qu’autre chose. Je ne réfléchissais plus, livré à ma colère, ma rage et mon désir. Je l’ai couché par terre sous moi, la main plaquée sur sa bouche. Je pesais de tout mon poids sur ses jambes. Il ouvrait de grands yeux dilatés par la haine.
J’ai fait sauter les boutons de sa braguette, et j’y ai plongé ma main.

– Tiens, tiens ! T’es pas intéressé mais tu bandes dur ! Et la nature a été généreuse avec toi, dis donc.

Je me suis tu pour occuper autrement ma bouche. J’ai léché le gland lisse, la longue tige vibrante. Je l’ai senti se détendre, frissonner de plaisir. J’ai dégagé ma main de sa bouche.

– Mais bon sang ! Je suis puceau !

Une décharge électrique m’a fait me redresser. Sans que je comprenne pourquoi, nous nous sommes retrouvés enlacés, nos bouches soudées l’une a l’autre. Sa langue répondait à la mienne, en de douces frictions chaudes et humides. J’ai ouvert mes yeux pour regarder les siens, grands, vert profond, perles de petites larmes. C’était un bel éphèbe à dépuceler, mais en plus, chose inhabituelle chez moi, il remuait autre chose que ma bite.

– On va faire ça en douceur !

J’ai léché ses larmes, déposé une pluie de petits baisers sur son visage. Ses mains fébriles ont ôté ma veste en cuir puis ma chemise. Nous nous sommes retrouves torses nus, emmêlés. J’ai mordillé les pastilles brunes de ses seins. J’ai mouillé son ventre de ma salive, puis retiré son jean, et son slip. Sa bite était douce sous ma langue, ses couilles roulaient doucement dans ma bouche.

Nous en revenions toujours aux baisers affames de nos deux bouches. Il s’épanouissait, souriait, de toutes ses dents blanches. Sa main caressait ma braguette. J’étais debout devant lui. A genoux, il avait passé ses bras autour de ma taille, pressait ses lèvres contre mon entrecuisse. Sous la pression de ma bite, le fermeture-éclair descendait toute seule. Il a défait mon ceinturon, mon jean est tombé sur mes chevilles.

– Ca fait deux semaines que je rêve de ça, me dit-il

J’en suis reste interloqué.

-J’t’avais remarqué! poursuivit-il

Ses lèvres effleuraient mon gland. Ses doigts taquinaient mes couilles, les soupesaient, les étiraient. Puis il a gobé ma hampe d’un seul coup, y promenant doucement ses lèvres. C’était une pipe tout en douceur, et je fondais dans sa bouche.

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Aurelien

Coquin amoureux de la plume et des belles photos, Erosto, m' est comme un petit boudoir coquin permettant de mettre par écrit les plaisirs sexuels, les histoires érotiques et les nombreux conseils coquins pour les couples, les hommes et les femmes qui aiment comme moi pimenter leur vie sexuelle et agrémenter les soirées torrides pour le seul plaisir du partenaire

1 réflexion sur “Un bel éphèbe à dépuceler”

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