Telle mère Telle fille

Depuis une semaine, chaque jour vers 11 heures, elles venaient s´installer sur la plage. Elles étaient aussi belles l´une que l´autre malgré leur différence d´âge. J´étais alors trop jeune et timide pour oser les aborder et ce, 35 ans, la mère de Sophie, qui la première m´adressa la parole.

Nous avons rapidement sympathisé. J´étais à la fois ravi et étonné que cette belle brune bien en chair s´intéresse à moi. Tandis qu´elle me questionnait sur mon âge (18 ans), ce que je faisais (étudiant), si j´étais en vacances avec ma famille (non, j´étais seul), je ne pouvais m´empêcher d´admirer sa belle et opulente poitrine dénudée, celle de Sophie était tout aussi généreuse et la jeune fille s´avérait aussi aimable que sa mère.

Trois ou quatre jours après avoir fait leur connaissance, Lydia m´a invité à faire une brasse jusqu´au radeau qui flottait à une centaine de mètres de la plage. Lorsque nous y sommes parvenus, elle s´y est agrippée d´une main et, de l´autre, elle m´a attiré vers elle.

– Sais-tu que tu es un très beau garçon, dit-elle avant de poser sa bouche sur la mienne.

J´étais stupéfait, ahuri. J´avais parfois entendu dire que certaines femmes mûres aimaient coucher avec de jeunes garçons, mais Lydia était si belle, si distinguée, que je n´aurais jamais pensé qu´elle pouvait jeter sur moi son dévolu. Le premier moment de surprise passé, en sentant ses seins nus sur ma poitrine, son pubis renflé frottait contre mon bas-ventre, et sa langue qui tournait voluptueusement autour de la mienne, je me suis mis à bander.

– Hm ! fit-elle. On dirait que je t´excite.

Comme pour mieux s´en assurer, elle a glissé ses doigts dans mon slip de bain pour palper ma queue raide.

Elle s´est ensuite écartée de moi pour grimper sur le radeau. Je me suis maintenu à hauteur que Lydia se couchait à plat ventre pour me faire face :

– Tu es choqué ?
– Non, seulement surpris…
– Tu dois me prendre pour une fieffée salope !
– Non, pas du tout !
– Et pourtant, dans un lit, c´est ce que je suis, du moins quand un homme m´attire. Je n´ai jamais fait l´amour avec un garçon de ton âge…
– Vous aimeriez qu´on le fasse ?
– Et toi ?
– Oui, bien sûr, mais Sophie ?
– Crois-tu que ma fille soit une oie blanche ? Les chiens ne font pas de chats !

Ce soir-là, Lydia et sa fille m´ont invité à dîner au restaurant de leur hôtel. Nous étions au début des années1970, le grand sujet de cette époque était  » la libération sexuelle « .Lydia me laissa entendre qu´elle et sa fille vivaient librement.

– Maman m´a dit qu´il s´était passé des choses entre vous ce matin au radeau ! Me dit Sophie d´un air amusé et provocant.
– En effet, répondis-je. Et ta mère m´a dit que tu n´étais plus une oie blanche.
– Tu aurais préféré que je sois vierge ? répliqua-t-elle sans sourciller.
Comme je restais sans voix, Lydia poursuivit :
– Au risque de te surprendre, et même de te choquer, Sophie et moi avons partagé un soir le même homme.

J´ai reçu cet aveu en buvant un verre de vin rosé qui faillit m´étouffer.

– Comment cela a-t-il pu se faire ? Questionnai-je.
– Ma chambre jouxtait celle de ma mère, Ce que j´entendais m´a tellement excitée que je sois allée regarder par la porte entrebâillée. Le type m´a vue. Je dois dire qu´il n´a pas eu beaucoup à insister pour que je le rejoigne.
– Et toi, Lydia, tu n´as rien dit ?
– C´était tellement inattendu et stupéfiant que je suis restée muette. Dans l´instant qui a suivi, j´ai vu Sophie embrasser mon amant d´un soir qui lui a retiré sa nuisette. Puis, il nous a caressées toutes les deux.
– Caressé ?
– Oui ! Tu veux des détails ? Il nous a bouffé la chatte et nous l´avons sucé.

Incrédule, j´ai regardé Sophie :

– Eh Bien ! Oui ! Faire ça avec cet inconnu et devant ma mère m´a fait jouir comme je n´avais jamais encore joui.

Je me suis enfin détendu pour entrer dans leur jeu :

– Je suppose que le type a dû lui aussi prendre beaucoup de plaisir, car tout de même, baiser la mère et la fille, ce n´est pas tous les jours qu´on peut profiter d´une telle aubaine.
– Ah ! Ça ! Pour en profiter, il en a profité le salaud !
– Un remarquable vicelard ! Ponctua Sophie.

J´ai passé ma main sous la table pour la glisser entre les cuisses de Sophie, cette belle petite pute ne portait pas de culotte et elle s´est mordue rageusement la lèvre inférieure quand j´ai touché sa chatte velue.

– Retire ta main, murmura-t-elle en jetant autour d´elle un regard affolé. On pourrait nous voir…
– Tu aimerais baiser Sophie, hein petit coquin ?
– J´aimerais vous baiser toutes les deux ! Répondis-je sans hésitation.
– Nous aussi on aimerait que tu nous baises ! Malheureusement, on risque de provoquer un scandale si nous allons tous les trois dans la même chambre, fit Lydia.
– Et je suppose que dans ton hôtel c´est la même chose ? S´enquit Sophie.
– C´est l´été, il fait chaud, la nuit est douce, on pourrait trouver un coin tranquille, fis-je remarquer.
– Notre vicieux est aussi un romantique, pouffa Lydia. Mais après tout, pourquoi pas ?

Nous sommes sortis du restaurant de l´hôtel pour aller au parking de celui-ci. Lydia s´est installée au volant de sa voiture tandis que Sophie et moi montions à l´arrière du véhicule. Dès que Lydia a démarré, sa fille s´est blottie contre moi. Je l´ai dépoitraillée pour sucer la pointe de ses seins tandis qu´elle ouvrait ma braguette pour cercler de ses doigts mon membre raide dont elle parut apprécier le volume.

– Viens sur moi, lui dis-je en la prenant par la taille pour l´aider à se placer à califourchon.

Merveilleusement indécente, elle a placé ses genoux de part et d´autre de mes hanches en remontant sa robe haut sur son ventre. Je l´ai prise aux fesses pour l´attirer en l´empalant lentement.

– Ho ! Patrice ! fit-elle. Ta queue, comme elle grosse et dure…

J´ai donné un coup de reins pour l´enfiler plus profondément en lui arrachant un râle de plaisir.

– Tu es rudement bonne, lui dis-je. Ta chatte me comprime délicieusement la bite.

Elle s´est mise à remuer en haletant comme une chienne.

– J´espère que tu en garderas un peu pour moi ! fit Lydia en jetant un coup d´œil dans le rétroviseur.

Tandis que je pinais Sophie en serrant les dents pour ne pas jouir, la voiture s´est arrêtée dans un coin désert, au sommet d´une petite colline qui dominait la mer.

– Laisse-le-moi un peu ! fit Lydia en sortant du véhicule.

Je me suis retirée d´entre les cuisses de Sophie, puis je me suis débarrassé de mon pantalon pour rejoindre Lydia qui, penchée sur le capot de la voiture, avait relevé sa jupe sur ses reins. Sans plus attendre, j´ai ouvert ses fesses rondes pour y planter ma queue.

– Ho ! Petit salaud ! jura-t-elle.
– Ce n´est tout de même pas la première fois que tu reçois ça dans ton bel oignon !

Elle n´a pas eu le temps de rétorquer. Je lui ai coupé le souffle en l´attirant par les hanches pour l´embrocher vigoureusement.

– Ma parole ! Il t´encule ! S´exclama Sophie.

Sans ménagement, j´ai empoigné les fesses de Lydia pour les lui écarter au maximum. Puis, j´ai commencé à la limer. Elle s´est alors masturbée en remuant de plus en plus vite. Près de nous, Sophie se régalait manifestement du spectacle auquel elle ne put s´empêcher de participer en me caressant les couilles. Lydia n´en finissait pas de gémir, comme sous l´effet de douleurs insupportables, mais elle semblait vouloir me rassurer en disant que je la faisais jouir de manière répétitive.

– Viens ! Me dit-elle au bout de quelques instants. Je veux te sentir gicler !
– Vas-y ! M´encouragea Sophie en me pressant davantage les couilles.

Ces deux belles nymphes m´ont alors fait décharger avec une telle abondance que j´ai cru me vider de toutes mes moelles.

A bout de souffle, je me suis écarté de Lydia. Sophie est allé quérir un paquet de kleenex dans la boîte à gant de la voiture pour m´essuyer la queue.
Elle faisait ça très gentiment.

Je ne bandais plus très fermement, mais quand elle a jeté le kleenex pour me caresser la bite comme un animal familier, je me suis remis à durcir.

– Tu as vraiment un bel engin ! S´extasia-t-elle.
– Tu en as dû en voir beaucoup pour faire la comparaison ?
– Quelques-uns ! fit-elle en me gratifiant d´un sourire malicieux. Que veux-tu ! Ce n´est pas parce que je suis encore très jeune que je n´ai pas le droit d´aimer ça ! Quand un type me plaît, comme toi, je suis toujours curieuse de découvrir comment il est fait. Cette curiosité ne me pousse pas systématiquement à me faire baiser. D´ailleurs, certains mâles n´en demandent pas tant, ils se contentent souvent d´une petite branlette. J´adore les voir juter sous mon massage, ça me fait jouir toute seule.

Pendant que nous conversions, Lydia étendit une couverture à même le sol, sur laquelle elle se coucha complètement nue pour allumer une cigarette.

– Allons, Sophie ! Intervint-elle. Tu ne vas pas me croire que tu les branles sans les sucer ?
– J´aime bien ça aussi ! Avoua-t-elle. Mais je ne le fais pas avec tous !

L´extraordinaire relation que la mère et la fille entretenaient ne cessait de me surprendre, mais elle me ravissait de manière tout à fait perverse.

– Mets-toi nue comme ta mère, dis-je à Sophie, et allons la rejoindre sur la couverture.

Pendant que Sophie se déshabillait, je me suis allongé à côté de Lydia qui, aussitôt, s´est penchée sur ma queue pour la cercler entre ses lèvres. Dans l´instant qui a suivi, c´est la bouche de Sophie qui a remplacé celle de Lydia. Cette dernière, suçait aussi bien qu´une professionnelle. Quand je fus raide à souhait, je me suis attelé entre ses jambes pour la piner pendant quelques minutes. Puis, ce fut au tourde Sophie dont la chatte étroite était encore plus savoureuse que celle de sa mère. Comme elle, elle a joui plusieurs fois. J´étais sur le point d´exploser quand cette merveilleuse salope a dégagé ma bite de son vagin pour la faire glisser entre ses fesses :

– Je suis vierge de ce côté-la, fit-elle, j´ai envie de connaître ça avec toi…
– Salive-moi bien le gland ! Ai-je demandé à Lydia qui s´est empressée de me satisfaire.

J´ai ensuite dit à Sophie de se mettre à quatre pattes et je me suis agenouillé derrière elle. Mon gland a buté son petit trou qui s´est un peu ouvert sous ma poussée.

– Ah ! Oui ! fit-elle en tendant la croupe.
– Tu aimes ? Dis-je en l´investissant lentement.
– Tu me fais un peu mal mais c´est bon…

Quand je suis arrivé en bout de course, elle a tendu le cou en râlant. J´avais ses fesses écrasées contre mon bas-ventre et les poils de sa chatte me brossaient les couilles. C´est elle, qui la première, s´est mise à remuer. En la suivant dans son mouvement, j´ai tenu le coup assez longtemps pour la faire jouir en lui massant activement l´entrecuisse. Quand elle a senti ma première décharge, elle a serré les fesses. Délicieusement coincé dans ce doux étau, je l´ai canonnée jusqu´à l´épuisement de mes forces.

J´ai levé les yeux vers la voûte étoilée, et j´ai eu le sentiment de contempler ce septième ciel dont on parle tant et que personne ne connaît….

LuneSoleil asiexy

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