Se faire démettre le cul par de la jeune bite allemande

Il est en train de me sauter royalement lorsque j’entends la voix d’Emilie me dire :

– T’es là ?

Comme je ne réponds rien, elle soulève le pan de la tente et comprends tout de suite ce qui est train de sa passer.

Emmerich a l’air de s’en foutre complètement, il continue de me bourrer le cul et de plus en plus fort. Je sens qu’il ne va pas tarder à jouir à son tour. Ses râles de plaisir sont de plus en plus rapprochés, signe qu’il va bientôt vider ses couilles.

Effectivement, je le sens retirer son gros manche de mon anus pour m’asperger aussitôt les fesses avec son jus.

Jusqu’à ce qu’on reparte du camping, Emilie et moi, je suis allé me faire tirer par Emmerich au moins une fois par jour dans sa caravane. Ca pouvait être à n’importe quelle heure de la journée. Les nuits, je me les réservais pour niquer Emilie.

La première fois que j’ai rejoint Emmerich dans sa caravane, il m’a montré toute sa collection de godes et de plugs. Tous de très grande taille, XXL, des engins de fous furieux. Sans mentir, il me les a presque tous fait essayer. Ce mec était fou des fions à ouvrir.

La première fois que je lui ai rendu visite, il m’a fait m’accroupir et m’asseoir sur une gode d’une largeur démente, et tellement long que je n’ai pas pu le prendre entier dans le cul. J’ai souffert du cul, mais je savais que ce serait seulement un préambule à l’enculade, alors je me suis laissé empalé sur l’énorme truc.

Une fois bien installé sur l’engin, j’ai eu droit à sucer sa belle grosse bite imberbe ainsi que ses couilles glabres qu’il me fourrait simultanément dans la bouche. Ca n’a pas duré bien longtemps, Emmerich était trop pressé de me défoncer avec sa grosse tige d’allemand.

Pour cette première fois dans sa caravane, il m’a défoncé sans mentir pendant plus de deux heures, et ce n’est qu’après sa deuxième jouissance qu’il m’a laissé repartir. Moi, j’avais le cul tellement ouvert et endolori que c’était une jouissance annale perpétuelle. Je réagissais à peine, je me laissais tirer à mort.

Aurelien

Coquin amoureux de la plume et des belles photos, Erosto, m' est comme un petit boudoir coquin permettant de mettre par écrit les plaisirs sexuels, les histoires érotiques et les nombreux conseils coquins pour les couples, les hommes et les femmes qui aiment comme moi pimenter leur vie sexuelle et agrémenter les soirées torrides pour le seul plaisir du partenaire

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