Rencontre avec une ancienne élève

Ce jour-là je me promenais au gré du courant d´une foule pressée par les courses du samedi. C´était une belle journée de mai ensoleillée, chaude car la température devait avoisiner les 30°C. Je me promenais dans les rues de Bordeaux, j´évitais tant bien que mal les étrons qui piégeaient tout le centre-ville. Je m´amusais de regarder tous ces gens vaquant chacun à leurs occupations. Le moral n´était pas au beau fixe, je cherchais un travail, une amie, une maîtresse. Ca faisait bientôt deux mois que j´étais au chômage et, mine de rien, ça travaille ! Et côté cœur, je sortais d´une courte aventure avec une femme de 30 ans, jolie mais avec qui le lit n´était pas agréable à partager.

Je m´arrêtais fréquemment devant des boutiques vendant des objets exotiques, des jeux, et du matériel informatique.

En fait, je regardais aussi beaucoup ces femmes qui défilaient devant moi, semblant ne jamais me regarder. Ce genre de femmes qui, parce qu´elles sont pas trop mal, se sentent obligés de mettre de la distance avec vous.

Je discernais tant bien que mal les culottes des passantes : culottes classiques, tanga ou string ? La parole est à la couture ! Les femmes portent de plus en plus de jolis sous-vêtements et ce n´est pas pour me déplaire. Ou bien est ce moi plutôt qui vieillit et qui regarde donc des femmes plus mûres, donc plus à même de mettre leur corps dans des sous-vêtements dignes de ce nom ?

Je m´égare. J´erre. Quand tout à coup une voix derrière moi m´interpelle :

» Bonjour Monsieur X !  »

Moi :  » Tiens, tiens comment vas-tu ? « . Je m´adressais à une de mes anciennes élèves qui venait de me saluer. Cette élève a longtemps été pour moi une source de fantasme du à une poitrine étonnamment grosse. Je ne vous cache pas que je me suis souvent régalé d´aller en cours sachant que de tels arguments m´y attendaient !

Elle  » Alors, comment allez-vous ??  »

Moi « Bien mais tu sais, maintenant, Laetitia, tu peux me tutoyer… Je ne suis plus ton prof !  »

Elle  » Oui, je sais, mais on a tellement lutté pour s´empêcher de vous tutoyer que maintenant, on a pris le pli … »

Pendant que nous discutions, nous marchions tranquillement dans la rue piétonne. Elle m´apprenait qu´elle était maintenant étudiante en école d´aide soignante, et qu´elle allait fêter ses 19 ans. Je prenais soin de la détailler malgré son regard dirigé vers moi. Elle portait un tee-shirt blanc serré, court, laissant apparaître son nombril, où était fiché un piercing. Sa poitrine tendait le coton et je pouvais voir les dessins de son soutien gorge blanc. En bas, elle portait un jean court élimé et des baskets blanches sans chaussette. Elle voyait mon regard qui s´égarait sur des seins, et ne se gêna pas pour m´en faire la remarque :

» Eh bien dites donc, vous voulez me gêner ou quoi ? Vous n´étiez pas si coquin en classe !  »

Moi  » détrompe-toi, dès le premier cours, j´avais eu tôt fait de repérer les jolies filles, enfin femmes maintenant…  »

» Ah oui ? ?  »

Je lui souris pour toute réponse, et elle m´indiqua qu´elle arrivait à son appartement qu´elle louait avec son copain.

Moi  » Bon, je vois que tu es arrivée à bon port, je vais te laisser…  »

Elle  » Vous voulez prendre un verre chez moi, vous devez avoir soif…  »

Moi  » Oui, c´est vrai… Comment refuser une telle proposition…  »

» Oui, c´est à prendre…ou à laisser » me fit elle dans un sourire qui en disait long….Elle me prit la main et m´entraîna dans le sombre couloir. Moi hésitant, elle se retourna vers moi :
» Je vous fais peur ?  »

Moi  » Non, bien sûr, mais comme tu as été une de mes élèves…et puis ton ami va peut être mal le prendre…  »

Elle  » Je suis fâchée avec lui depuis 15 jours maintenant, il s´est envoyé en l´air avec la mère d´un de ses copains…  »

Moi  » Et la compagnie d´un homme ne te manque pas trop ?  »

» Si  » fit elle en me tirant vers le haut de l´escalier. Elle se pencha pour fouiller dans son sac et me présenta un jean tendu par un fessier aux belles hanches. Sans réfléchir je posais mes mains sur son derrière.

» Celui là aussi vous l´aviez repéré en cours ? ?  » me demanda t´elle dans un large sourire.

Moi  » Pourquoi crois tu que tu sois allée si souvent au tableau ?  »

Elle rit de bon cœur en ouvrant la porte et alla directement fermer les fenêtres et les jalousies, ce qui en plus d´enlever le bruit de fond de la rue, la fit apparaître en contre jour. J´avais donc ses formes en ombres chinoises.

» Que voulez-vous à boire ? » me demanda t´elle ;.

Moi » Un lait fraise si tu as, s´il te plait  »

Elle partit dans la cuisine et revint après 5 minutes avec ce que je lui avais demandé. Mais un détail me fit sourire, ses tétons se dressaient fièrement sous son tee shirt, bougeant au rythme de ses seins récemment libérés. Elle s´assit près de moi, posa le verre sur la petite table, mais un vieux clic clac vous joue des tours et on se retrouva au milieu l´un contre l´autre. Ses seins étaient à ma portée et sans demander quoique ce soit, ma main se posa sur son sein droit. Elle devait faire 95 D ou E, et ils étaient malgré tout relativement fermes. Je façonnais son sein avec ma main, le soupesais. Je voyais dans son regard l´excitation monter. Je saisis son téton à travers l´étoffe entre mon pouce et mon index. Des soupirs montaient de sa bouche. Elle se laissait faire. Je me penchais sur ce sein pour le prendre dans ma bouche avec le tee shirt.  » Attends  » me fit elle dans un souffle. Ses bras se croisèrent pour soulever cette dernière barrière et elle découvrit ses seins, lieu de pèlerinage de ma bouche.

Pendant un quart d´heure je m´en suis occupé, léchant, suçant, aspirant ces belles mamelles. Enfin, je remontais à sa bouche et ce fut elle qui m´embrassa. Elle se tourna vers moi soulevant une jambe et finit à califourchon sur moi, me dominant, m´embrassant. J´avais la tête en arrière, et mes mains retrouvaient d´instinct ses globes tendus.

Très vite elle défit ma chemise. Elle caressa mon torse, mon ventre et voulant aller plus bas, elle fut contrainte de défaire les boutons de mon jeans. Mon sexe tendu derrière sortait sa tête. Elle du se mettre à genoux devant moi pour m´enlever plus facilement le pantalon. Mais quand elle voulut se remettre sur moi, je dirigeais sa tête sur mon sexe. Elle n´hésita pas et commença des coups de langue tout à fait réglementaires et m´emboucha jusqu´à la garde. Sa main droite disparut sous son ventre et je compris qu´elle avait décidé de se caresser.  » Ah non  » pensais je  » c´est mon rôle ça ! « .

Je me libérais de sa bouche pour me lever et rejoindre son fessier. Un Tanga blanc entourait de jolies fesses rebondies. Elle était toujours penchée sur le clic clac, m´offrant sa croupe. Son sexe gonflé avait humidifié sa culotte et une odeur de femme s´en dégageait. Cette odeur qui est très variable d´une femme à l´autre était chez cette jeune fille assez musquée, forte, sexuelle.

Je me saisis de sa culotte et la descendit sans autre forme de procès. Son sexe, poilu dont le maillot n´avait pas encore été fait pour la saison, s´exhibait à mon regard. Je lui saisis une cuisse pour les écarter et me donner à accès à son minou.

Je gouttais à ses lèvres, gonflées, tuméfiées, les aspirais dans ma bouche, les faisais jouer avec ma langue. Puis cette langue encore à l´abri, s´est décidée à une sortie. Une sortie périlleuse pour des papilles toujours étonnées des saveurs féminines. Mon muscle buccal dessina les plis et les replis du sexe offert. Seuls, ces plis-là sont tolérés par la plus maniaque des femmes. Elles laissent le soin aux hommes de les repasser.

Je buvais sa mouille, titillais son clitoris et enfonçais deux doigts dans cette grotte d´amour, où un ours trouve son miel.

Elle gémit de plus en plus fort, mes mains trituraient ses seins en même temps. Les sons montaient.

» Oui, oui  » exortait-elle.  » Continue, c´est bon « .

Je n´avais pas l´habitude d´abandonner une femme si ouverte. Je continuais donc mes lampées. Ses cris se firent perçants, elle se raidit et jouit littéralement dans ma bouche, et de crainte qu´elle se sauve après le plaisir je la maintenais par la taille pour continuer mon action. Elle se débattait car son sexe était devenu très sensible mais je maintenais ferme ma position, et après quelques dizaines de secondes, elle se mit à gémir de nouveau et un cri rauque vient ponctuer son second orgasme.

Je restais là derrière elle, à lui caresser ses cuisses ses fesses, frôlant de temps en temps son sexe.

Soudain l´interphone sonna. Son copain. Elle était toute perturbée, et m´interrogea du regard. Je lui dis dans un souffle de préciser qu´elle sortait de la douche, qu´elle lui ouvrait et qu´il attende qu´elle ait fini de se laver sur le clic clac.

Il dit :  » ok  » tout content, d´avoir selon lui une seconde chance.

Je bus d´un trait mon verre de lait fraise, l´embrassa à pleine bouche et fila vers les étages du haut de l´escalier avec mes vêtements sous le bras, tandis qu´elle filait dans sa douche en prenant ses affaires et emmenant le verre dans l´évier.

Je finis de m´habiller dans l´escalier, désert en plein après midi. J´entendis le copain rentrer dans l´appartement criant un :  » c´est moi !  » J´étais content d´avoir donner un peu de plaisir à une ancienne élève à moi…

Lancelot blocume

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