Récit Porno salope

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Je suis une jeune salope de 80 ans assez ronde je dois lieu de résidence l’avouer mais je sais me mettre en valeur. Je chausse mes talons noirs et hop, en route vers le bar ! ! Comme prévus, tous mes amis sont présents. Je me prépare à passer une super soirée jusqu’à ce que mon regard tombe sur Louise ? . Petit flash-back, Louise a été ma meilleure amie et notamment la seule sur laquelle j’ai fantasmé, la seule que j’ai eu envie d’embrasser, de doigter. Son possible comme moi, elle avait ce désir secret de coucher en prenant en compte une salope mais alors que ce projet prenait forme, elle a adoré me trahir et se « taper » mon type derrière mon dos. Pourtant, elle et moi s’amusions lieu de résidence à flirter et à s’embrasser, à se faire des papouilles, à se doigter la poitrine, je me souviens surtout lui avoir lécher le ventre, entre autre ? . Lieu de résidence entendu depuis ce moment, j’ai tendance à l’arrêter, mais ce soir, le facile fait de la revoir a fait renaître ce désir en moi. Je la vois évoluer parmi nos amis, toujours un verre à la main, elle ondule des hanches, cambre les reins à chaque passage devant moi, à croire qu’elle essaye de m’allumer. J’ai l’impression que sa jupe se raccourci de minute en minute. Son regard n’arrête pas de croiser le bien. Je sens lieu de résidence qu’elle désire venir me parler mais elle n’ose pas.

Hier ce n’était toujours la surtout chose. Cette fois j’avais choisi un itinéraire moins contraignant. Cette fois, elle recommençait ses plaisirs. Je ne l’empêchais pas, au contraire puisque ça lui plait. J’aime la regarder quand elle a un orgasme sans moi. Je trouve en lieu de résidence d’après midi la rareté : un hôtel d’un bon niveau. Elle veut jouir, je vais la faire jouir jusqu’à demain matin ; A notre arrivée elle est toujours à moitié nue. Elle connait vie la suite quand elle tient sa rober fermée planquée devant son corps nue. Elle se cache à peine en passant la réception. Par devant dès le couloir de la garconniére atteint, elle se laisse aller à tout montrer. Pas envisageable, elle a du être naturiste dans une vie antérieure. Elle se jette sur le lit, la robe au sol. Je la vois entièrement nue, offerte à mes caresses. Sa foufoune est humide, elle me veut. A mon tour de me mettre dans la surtout tenue. Il me tarde de la serrer nue devant moi, de l’embrasser de la doigter de la faire jouir. Et de jouir moi notamment. Je ferme à moitié les volets pour faire venir une pénombre favorable à nos étreintes. Ses seins se soulèvent pendant sa respiration. Les pointes m’attirent. Je suis enfin vers elle, mes lèvres sur les siennes, comme pour notre première fois. C’était si bon pour elle d’abord, pour moi ensuite. Ma main palpe ses seins, je fais ressortir ses tétons, mes lèvres les sucent longtemps pour la faire ressortir. Ma langue les lèche comme pour les téter.

Victoria, qui était lesbienne jusqu’au bout de son clitoris, ne fut pas trop affectée par cette séparation car dans son métier les occasions de séduire les filles étaient nombreuses et elle ne se privait pas de les exploiter, ramenant chez elle des filles conquises pendant le vol ou lors d’un cocktail ou d’un dîner ! Il faut dire qu’elle était physiquement très splendide qu’elle avait un corps splendide, d’une sensualité à fleur de clito et était dotée d’un regard bleu pâle pailleté d’or capable de faire fondre tous les icebergs de la banquise ! De plus elle avait des doigts et des lèvres magiques qui savaient mettre en torche les corps de ses conquêtes qui sortaient de ses bras hagardes, le regard noyé, la foufoune en béance, follement amoureuses de leur mec et ne rêvant que d’une chose : Recommencer ! Sans savoir que Victoria qui avait déjà fait la ferveur en prenant en compte une autre la nuit précédente allait taper une branlette celle-là en plongeant son gros orteils et plusieurs autres jusqu’au plus profond envisageable de sa foufoune, à moins qu’elle ne se serve de l’un de ses godes à vibreur intense qui les faisaient se tordre de bonheur dans des draps embaumés par les parfums divers et intimes des autres filles qui y avaient joui avant celle là !

J’en veux moi notamment, je me tourne complètement sur elle. Un jour elle m’a dit qu’elle aimait faire les 88. Je ne l’en ne prive pas. J’aime cette posture notamment. Mes cuisses écartées prennent possession d’elle. Je sens ses seins défaits sur mes cuisses, sur mon bas ventre. Je suis toute à elle. Enfin elle notamment me broute la foufoune. C’est lieu de résidence toujours que la première fois. Elle y a prit goût, comme moi à mes débuts. Mon ventre se contracte sous sa palpe particulière. Ses mains sont sur mes seins. Elle sait en faire ce qu’elle veut ; c’est toujours le bien venu. Notamment qu’elle a pris des initiatives que j’adore. Elle aime me doigter profondément : j’aime ça. Je pense qu’elle y met jusqu’à trois doigts. C’est beaucoup pour moi qui n’aime plus les tiges ; J’ai eu le bonheur une fois de lui dire qu’ j’aimais, avant, me faire doigter le derche. Elle me palpe souvent, le palpe autour, dessus et depuis peu dedans. J’adore qu’elle entre un ou deux doigts dans mon intimité de derrière. Elle en profite, la pétasse pour me le faire souvent. Je le lui rends notamment. Nous nous caressons les culs ensemble. Il nous arrive presque toujours d’en jouir. Je ne demande pas toujours qu’elle se risque à des inventions plus obscènes Je suis surtout prête à la laisser aller en prenant en compte une autre en ma parution pour apprendre de ravissantes maniéres de penetrer et de jouir. Elle en est capable rien que pour notre ferveur. J’adore Louise et son derche. J’en profite toute la nuit au point que nous avons peine à nous lever pour repartir. Je suis sure qu’elle se branlera toujours dans la voiture qui commence à sentir la cyprine à force d’y être exposée.

Inanna

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