Récit Porno créature

trio lesbienne recit porno
Le vernis des portes de placards, comme les chromes de la salle de douches du vestiaire des coquines, brillaient de tous leurs feux ! Ce vestiaire féminin était celui du stade Roland Garros, l’un des temples du tennis mondial ! Assise devant la merveilleuse planche qui courait sous les placards et servait de siège, une jeune créature d’environ vingt cinq ans, les loches nus, se penchait en avant pour délacer ses chaussures et enlever ses chaussettes, après la séance d’entraînement qu’elle venait de vivre ! Une fois nus ses pieds laissèrent des marques humides devant le sol ! Elle se redressa et retira sa mignonne culotte en prenant en compte difficulté car elle était incrustée en tortillon dans sa raie mouillée de sueur après l’effort ! Cette jeune créature, prénommée Ingrid était la numéro un mondial de ce sport et était venue à Paris pour disputer le Tournoi qu’elle avait déjà remporté deux fois ! Elle était célèbre dans le monde entier et ravie de venir en viens de le gagner une troisième fois ! En se redressant tout à fait, avant de venir sous la douche elle jeta un regard circulaire dans le vestiaire pratiquement désert,à cette heure un peu tardive de l’après-midi, mais remarqua une jeune créature de son âge assise sous l’un des placards assez proche du sien. Et qui, nue comme elle, la regardait en prenant en compte intensité en se caressant la touffe et l’entrecuisse et en se humant les doigts, comme pour la provoquer !

Il lui arrivait notamment d’emmener en prenant en compte elle une ou de nombreux de ses conquêtes jusque dans la maison du bord de mer que ses parents leur avaient offerte à elle et à sa soeur Marcelle Une fille mignonne de vingt ans, bâtie comme une athlète en prenant en compte des loches en pomme aux aréoles brunes et aux tétons épais et durs ! Elle avait notamment un visage de vulve aux larges pommettes, des yeux verts en amandes, des lèvres charnues et voluptueuses ! Et des doigts aux ongles ras qui savaient percuter les cochonnes en prenant en compte encore plus d’efficacité que les gros sexes de garçons ! Sans parler de son pubis à la toison touffue de sa vulve aux lèvres épaisses et d’un clitoris de la taille d’un visage de garçon qui bandait comme une braie pine et que Victorine adorait piner entre ses lèvres pour payer gémir Marcelle qui, allongée tête bêche devant elle la faisait gémir à son tour, les soirs ou ni l’une ni l’autre n’avaient de partenaire draguée la veille ou dans la journée et qui les inondaient de leur plaisir la vulve, ensuite incrustée dans la leur en écrasant leurs clitoris l’un envers l’autre ce qui les faisaient bramer de plaisir entre deux coulées de cyprine échangées en prenant en compte la partenaire en question ! Dans cette maison du bord de mer, en réalité située devant une mignonne île de l’océan atlantique, il y venaient notamment des garçons la plupart du temps des joueurs de tennis d’un niveau encore supérieur à celui de Victorine et à laquelle ils servaient de coéquipiers devant les courts du club de tennis de l’île ! La plupart du temps, Victorine s’arrangeait pour inviter ensemble des garçons qui aimaient la fréquentation d’autres garçons ce qui lui évitait d’avoir à subir les assauts de mâles à la recherche de coéquipiers dans un lit et qui lui permettait ; à elle, de vivre en toute plénitude les élans sexuels qu’elle partageait en prenant en compte des cochonnes notamment gouines qu’elle et qui comblaient ses nuits de délires partagés !

Victorine, qui était lesbienne jusqu’au bout de son clitoris, ne fut pas trop affectée par cette séparation car dans son travail les occasions de séduire les cochonnes étaient nombreuses et elle ne se privait pas de les exploiter, ramenant à son domicile des cochonnes conquises pendant le vol ou lors d’un cocktail ou d’un dîner ! Il faut dire qu’elle était physiquement très mignonne qu’elle avait un corps mignonne, d’une sensualité à fleur de clito et était dotée d’un regard bleu pâle pailleté d’or capable de payer fondre tous les icebergs de la banquise ! De plus elle avait des doigts et des lèvres magiques qui savaient mettre en torche les corps de ses conquêtes qui sortaient de ses bras hagardes, le regard noyé, la vulve en béance, follement amoureuses de leur vicelard et ne rêvant que d’une chose : Recommencer ! Sans savoir que Victorine qui avait déjà fait la ferveur en prenant en compte une autre la nuit précédente allait taper une branlette celle-là en plongeant son gros orteils et de nombreux autres jusqu’au plus profond envisageable de sa vulve, à moins qu’elle ne se serve de l’un de ses godes à vibreur intense qui les faisaient se tordre de plaisir dans des draps embaumés par les parfums divers et intimes des autres cochonnes qui y avaient joui avant celle là !

Appartenant à une famille très bourgeoise du seizième arrondissement de Paris, elle savait s’adapter à la nature et à l’éducation de l’ensemble ses conquêtes et savait les palper et les payer gémir comme des folles en prenant elle même un pied intense en les matant se tordre de plaisir devant son lit et en sachant guider leurs doigts là où elle avait envie de les sentir naviguer pour la payer gémir et juter à son tour entre leurs lèvres ou même dans leurs cramouilles béantes ! Elle avait ainsi, toute une cohorte de cochonnes folles amoureuses d’elle et bloquant sans arrêt son portable dès qu’elle était au sol ! Par envers les pilotes et personnel naviguant masculins qui avaient tenté de la plaire à étaient tous tombés devant des refus, sauf un qu’elle avait trouvé joli qui avait un visage mignonne et qui l’avait pratiquement violée en pleine nuit, dans les toilettes de l’appareil ! Quant à sa collègue de travail elle la caressait en douce entre deux plateaux-repas à maitriser et lui volait ses petites culottes pour les humer le soir dans son lit quand elle y était seule, ce qui n’arrivait pas malheureusement ! Et lorsqu’elle était devenue  » ; chef hôtesse » ; , elle avait une liste d’attente de débutantes dans le travail qui espéraient, en la faisant gémir, avoir de divines notes et de l’avancement !

Aurelien

Coquin amoureux de la plume et des belles photos, Erosto, m' est comme un petit boudoir coquin permettant de mettre par écrit les plaisirs sexuels, les histoires érotiques et les nombreux conseils coquins pour les couples, les hommes et les femmes qui aiment comme moi pimenter leur vie sexuelle et agrémenter les soirées torrides pour le seul plaisir du partenaire

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *